« Ce qu’on exige de la mère du XXIème siècle est exorbitant... »
Elisabeth Badinter était l'invitée de La Grande Librairie ce mercredi 24 avril : elle a présenté son ouvrage intitulé Messieurs, encore un effort :
"Faire un bébé aujourd'hui, c'est accepter une moindre rémunération tout en assumant les contraintes de la double journée, c'est supporter, bien davantage que le père, le poids psychologique de la parentalité. Les mentalités évoluent, dit-on... Pas assez, et sûrement pas assez vite, et même les politiques natalistes sont insuffisantes, qui ciblent les aides à la petite enfance, alors que la charge mentale des mères se prolonge bien au-delà."
"Le problème qui se pose actuellement concerne avant tout les hommes qui, hélas, ne font pas les efforts nécessaires pour que les femmes aient envie d'avoir un enfant de plus, parce que, dans la famille, il y a encore une inégalité des sexes qui est très lourde pour les femmes...
Pourquoi cette persistante inégalité des sexes dans la famille ?
C'est dû en grande partie à ce qu'on appelle les stéréotypes de genre, à savoir si une femme fait des enfants, elle est mère, elle s'occupe de son bébé, il faut constamment penser à mille choses qui vous prennent la vie, j'avais envie de dire, qui vous bouffent la vie.
Et c'est fatigant, surtout quand on travaille à temps complet. Ce qui est quand même le cas de beaucoup de femmes aujourd'hui en France. Et donc, trop c'est trop...
Au fond, il ressort de tout cela au bout du bout, que les femmes en font toujours plus que les hommes."
Ménage, vaisselle, entretien du linge, rangements, cuisine : le travail accompli par les femmes reste très lourd et pesant.
Même si les hommes prennent part à certains de ces travaux, les femmes accomplissent le plus souvent la plupart de ces tâches...
C'est à elles que reste dévolu l'entretien de la maison, c'est à elles que sont réservés cuisine, ménage.
Et, en même temps, dorénavant les femmes travaillent...
Mais quel boulot d'être une femme ! C'est un travail à part entière...
Les femmes qui ont des enfants, qui travaillent, doivent jongler sans arrêt entre les obligations de leur profession et le temps dévolu à leur famille.
Alors, bien sûr, certains hommes font des efforts mais le partage des tâches reste très inégalitaire.
Voyez-vous beaucoup d'hommes faire le ménage, la vaisselle, la cuisine ?
Dans ce domaine, les habitudes restent bien ancrées : les hommes répugnent à faire le ménage ou la cuisine...
Il est même des hommes qui adorent voir leurs femmes s'adonner à ces activités ménagères : ils regardent, avec bonheur, leur femme s'activer, tandis qu'ils s'affalent sur un canapé.
"La charge mentale : toutes ces pressions, toutes ces injonctions, comment les femmes réagissent face à cela ? Une partie des femmes se laisse faire, elles se laissent happer par cette nouvelle éducation qu'on appelle éducation positive, éducation bienveillante qui est née au début du XXIème siècle et qui avait pour objectif de tracer les postulats de la "bonne mère".
Et alors, au lieu de soulager les mères, cette nouvelle éducation apporte un surplus d'angoisses, d'anxiété, d'exaspération des femmes.
L'une des causes principales de la dénatalité serait la révolution féministe inachevée. On n'en a pas pris assez compte.
Pendant 40 ans, il y a eu des progrès considérables pour les femmes, à la fin du vingtième siècle, les trente dernières années, l'influence de Simone de Beauvoir, les féministes américaines ont été extrêmement bien entendues des femmes, et ainsi, on a fait des études plus longues, les femmes ont compris qu'il y avait là un moyen d'accéder à plus de liberté, à plus d'indépendance.
Et ce qui est très intéressant, c'est que le phénomène de dénatalité est le même dans tous les pays industrialisés, de l'ouest à l'est, de l'Italie à la Corée du sud, partout où l'on confond femme et mère, la natalité chute.
J'habite devant un jardin et j'avais remarqué quelque chose : c'est qu'on emmenait nos enfants au bac à sable et les mères montraient un ennui stupéfiant, et j'ai senti là une lassitude de la maternité. Je ne partageais pas cet ennui parce que je n'étais pas une mère à temps complet, je travaillais.
Il y a 50 ans, beaucoup de femmes ne travaillaient pas, elles étaient à plein temps à la maison.
Depuis 20 ans, 30 ans, on fait vraiment de gros efforts pour reculpabiliser les femmes. Pourquoi ? Parce qu'aujourd'hui, on peut ne pas avoir d'enfants, c'est votre choix. Les femmes françaises se posent de plus en plus la question : est-ce que vraiment j'ai envie d'avoir un enfant ? Et elles font une chose qu'il était impensable de faire avant, c'est à dire le calcul des plaisirs et des peines... Qu'est-ce qu'un enfant va m'apporter et aussi quel prix je dois payer ?
Les femmes de ma génération jamais n'ont imaginé se poser la question : est-ce que je vais faire un enfant ou pas ? Cela allait de soi... d'abord pour beaucoup, la maternité représentait l'achèvement d'une nature féminine, on allait jusqu'au bout de sa nature, et donc on était une femme, comme disait Beauvoir, complète. Si on n'avait pas d'enfant, on était un pruneau sec.
Tout change dans le début des années 70, avec la loi Veil et le droit de prendre une pilule comme contraception.
Il y a aussi un risque qui pèse sur les droits des femmes, y compris le droit à disposer de leur corps. Ce droit à disposer de son corps, à mes yeux, n'est pas négociable. C'est une liberté obtenue après des siècles de non liberté. Je considère, pour ma part, qu'une femme dispose entièrement de son corps, et je me suis même heurtée à certaines collègues féministes : si une femme voulait se prostituer, à condition qu'elle n'y soit pas contrainte par des proxénètes ou autres, elle faisait ce qu'elle voulait.
Je suis inquiète : il faut aussi tenir compte du contexte international, du contexte politique... il y a quand même de plus en plus de pays même en Europe, qui deviennent ultra conservateurs, on pourrait dire d'extrême droite, et avec l'extrême droite, souvent apparaissent des exigences religieuses extrêmement strictes...
Et cela me fait peur, je me dis que si on devait voir arriver majoritairement en Europe des réticences, voire des interdictions, voire des limitations de la maîtrise du corps des femmes, cela serait, à mes yeux, une catastrophe.
Le monde ne va pas bien, il est en révolution, est-ce que ce sera au bénéfice des libertés ou le contraire ? Il y a trop de bouleversements politiques, économiques, démographiques et je me dis que peut-être nous achevons une grande période de libertés... je ne suis pas tellement optimiste.
Je ne serais pas si étonnée que d'ici quelque temps certains pays abandonnent l'abolition pour rétablir la peine de mort, je ne pense pas à la France, mais à une atmosphère générale dans les pays occidentaux en fonction de la montée des extrémismes."
Le blog :
http://rosemar.over-blog.com/2024/04/ce-qu-on-exige-de-la-mere-du-xxie-siecle-est-exorbitant.html
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70 réactions à cet article
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Bonjour, rosemar
Votre article n’est pas assez nuancé sur la répartition des tâches dans les couples.
Elisabeth Badinter reconnaît elle-même qu’il y a eu de gros progrès chez les jeunes adultes, au point que l’on peut parler de situation équilibrée ou presque. Et de fait, les choses ont évolué, nombre de jeunes hommes s’étant par exemple s’étant mis à la cuisine, ce qui n’était quasiment jamais le cas auparavant.
Là où le déséquilibre s’installe, c’est, dit Elisabeth Badinter, lorsque l’enfant paraît. Dès lors, la charge de travail de la femme augmente de manière significative dans le couple là où celle de l’homme n’augmente qu’à la marge dans la plupart des cas.
Dans de telles conditions, il est facile de comprendre que les femmes soient rétives à avoir un 2e ou a fortiori un 3e enfant.
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@Fergus
Des progrès, certes... mais Elisabeth Badinter dit aussi :
« il ressort de tout cela au bout du bout, que les femmes en font toujours plus que les hommes. »
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@rosemar
Ya aussi autre chose qui « ressort du bout du bout », tout dépend du moment et de quel bout il s’agit.
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@rosemar
Finalement tout bien réfléchi .. et si c’etais les freres qui avaient raison -
@Seth
C’est deux jeunes mariés ....
Au bout de quelques temps le marié dis a son quart , enfin sa moitié..
Dis cherie si tu te tournais ....
la moitié du quart du tiers « Non jamais ! »
L’etre supérieur ...
« Mais alors comment veut tu avoir des enfants » -
@Fergus :
L’analyse d’Elisabeth est fausse quand elle dit : « Et, en même temps, dorénavant les femmes travaillent... »
Ce qui est nouveau, c’est pas que les femmes travaillent, c’est qu’elles ont un travail qui est devenu salarié, mercenaire, et qui est séparé de l’intérêt de leur maison, il en est souvent éloigné, avec des horaires différents, c’est une forme de prostitution, elle n’a plus son temps pour elle, elle le vend.
D’où la concurrence et l’antinomie du travail salarié d’entreprise avec une vie de maîtresse de maison et de mère, il en prend la place.La boulangère, la fermière, la châtelaine, la meunière, la couturière, la romancière, la bergère, la laitière, la salonnière,.. travaillent, mais à domicile, pour elles et en famille, le travail pour vendre est second, il concerne les surplus.
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@Et hop !
La mot prostitution me semble un peu raide....
Il faut faire bouillir la marmite !
Aliénation peut être ? -
@chantecler
En se mariant, une femme créée une société domestique, une maison, une famille, et s’engage à y investir son travail, à l’enrichir avec son autoproduction, dont les enfants. C’est au mari qu’il appartient d’aller chercher des ressources extérieures.
En prenant un emploi salarié elle détoune le temps dû à la prospérité et au dévelopement de sa maison pour le vendre à une autre maison, c’est bien de la prostitution, pour les hommes on parle de mercenariat. -
@Et hop !
Le problème, c’est que dans nombre de familles, un seul salaire ne suffit pas...
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Comme d’hab ton corps est à toi pour la prostitution ou l’IVG mais pour la Rosemar et ses mentors, ton corps ne t appartient pas quand c’est pour Pfizer ...
deux poids deux mesures en absurdie.
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Elizabeth Badinter n’est en rien représentative de la condition des femmes.
Née dans une famille de la haute bourgeoisie, elle a bénéficié d’une aisance matérielle, d’une education de qualité et d’un réseau social et professionnel favorable. Par la suite elle exercera diverses activités intellectuelles de ci de là qui ne devaient pas trop la fatiguer. Elle n’a sans doute jamais dû se lever à l’aube pour habiller et faire manger les enfants avant de se précipiter à l’arrêt de bus, à la bourre comme chaque jour. Je ne la vois pas repasser les chemises de Monsieur son époux Robert le soir, en même temps qu’elle aide le plus petit aux devoirs et surveille le ragoût qui mijote sur le gaz, pour ensuite aller s’écrouler sur le lit en pensant aux courses qu’elle devra faire demain et au rendez-vous médical de l’aîné.
J’en, apprends infiniment plus sur la condition des femmes depuis une cinquantaine d’années en parlant à des voisines, des connaissances et lors de rencontres diverses, des femmes de mon âge ou plus âgées, qui toutes ont été en contact étroit avec le réel.
Tout ça pour dire que je n’apprécie pas les personnes qui parlent au nom des autres. Si vous voulez en savoir plus sur les femmes et ce qu’elles font de leur vie, ce qu’elles attendent, ce qu’elles espèrent, écoutez plutôt les secrétaires, les vendeuses, les commerçantes, les enseignantes, les infirmières, les sages-femmes, les chargées d’affaires, bref, les femmes qui bossent, vraiment, tout en élevant leur progéniture et en tenant un foyer.
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@ZenZoe >> Badinter n’est en rien représentative de la condition des femmes.
On va dire que Badinter la bourgeoise et rosemar la vieille fille se complètent... Toutes les deux parlent de choses qu’elles n’ont pas connues.
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@ZenZoe
Bien d’accord.
Mais de plus j’ai du mal à comprendre comment elle arrive à concilier la « philosophie » (on ne rit pas) avec les terribles charges de la surveillance de l’actif de Publicis et le calcul et le compte des bénéfices reçus.
C’est une dame qui va cracher dans le poste pour parlotter de ce qu’elle ne connaît pas comme d’autres causent des différentes techniques de l’ourlet ou de la vidange auto.
Tout à fait le genre de personne vaine qui impressionne la demoiselle Rosemar.
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@Seth
pour la vidange t’a deux méthodes...
La gravitation classique ou faut bien mettre les doigts lorsque tu tripotes un peu a l’aveugle ou il faut...
sinon t’a le risque d’en avoir plein les mains et parfois meme des flaques ou ca pisses de l’huile de partout ^^
Et celle par aspiration bien plus propre dans son princope et moins fatiquante , c’est la ou tu peut juger de l’efficacité du systeme et si on t’a pas refilé un nanar enfin un modele tres usé avec une qui pisse l’huileMethode breveté ouam de controle facile pour les noobs
Tu t’assoies sur le lit, tu teste la pompe à vide (à quatre pattes par terre)...
qui est sa place toujours plus bas que le chef de famille (non mêêh)
Si lors de l’aspiration un drap te rentre dans fion, c’est que t’a eu un modele en bon etat de fonctionnement... tu gardes encore un peu ^^Dans le cas contraire la pompe à vide semble avoir qques signes d’usure ...
il est temps d’en aquérir une nouvelle bien moins vieille et usagée en bon etat -
@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
Et pour l’ourlet ?
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Oui mais bon, en même temps, c’est la femme qui est coupable que l’homme a été chassé du paradis terrestre, alors qu’elle en chie un peu . . .
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@Gégène
Et en plus c’est qu’une côte, même pas une cervelle.
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Bonjour, Gégène
Cerise sur le gâteau : ces dames ont une espérance de vie très supérieure à celle des messieurs. D’où la nécessité vitale pour les hommes de se ménager !
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@Fergus
Poutr une fois je suis d’accord avec toi
Puiis les hommes participent au PIB du pays et du monde paysan dans l’est
C’est qui qui bois les bieres et fais rentrer de la tva devanbt om<> psg hein quiPuis si elle ne se remueaient pas a faire de longues heures de ménage, courses etendre le linge, torcher les momes (qu’elles onyt voulue comme certaines autres prennet des chats ou des hamster)
elles boufferaient comme nous des chips en buvant des bieres devant un truc ou ca chante faux et c’est pas bbon pour la planete l’exes d’eau dans le nord elles ont beacoup chanté cette année en faisant le menahge, la catastrophe
Puis en plus c’est pas écolo ca necessiterai deux Tvs donc deux fois plus d’impact sur gaya
Bref si nous lachions la bride , elles prendraient un embompoint incontrolable, nous les aimons telles que nous les avons eues non mêêhh sans blââgueu ^^La mienne je ne fais que la fouetter de temps à autres,
lui dis lorsquelle proteste attaché au radiateur en menace ultime,
si tu cries je te baches avec un sac poubelle comme Rachida (la voisine) et tu conduis plus la tuture seule et j’enleve le totoradioi car le voisin a dis que c’est harram la musique des mécreants et que ca files de mauvaises z’idées ...
C’est dans ces petits moments, apres mure réflexioin comparaison à l’appui qu’elle apprécie son immense chance d’etre avec mouahh et pas le voisin d’en face ^^Pff les mégères c’est simple tout le temps en train de chouiner
Signé : Le PDG du club du bon matcho qui se respecte ^^ -
@Fergus
Alors là désolé, mais ils va s’en trouver pour te répliquer que c’est justement le travail qui fait vivre alors si les keums veulent durer, faudrait qu’ils s’y mettent...
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@Seth
Va pas nous démotiver Fergus toi, pour une fois qu’il dis un truc un peu sencé ^^ -
@Fergus
Ben j’essaie de le calmer un peu. Tu sais que Fergus est un total extrémiste dans ses explications et ses jugements .
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@Fergus
Mais :
« Si les hommes maintiennent une moyenne plus basse, c’est à cause de leurs comportements à risque. Ils sont plus sujets aux accidents et homicides entre 20 et 40 ans. Ils ont aussi tendance à fumer et à boire davantage, entraînant une prévalence plus élevée de cancer et de décès dans la soixantaine. »
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@rosemar
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Bonjour, rosemar
Rassurez-vous, je suis très largement d’accord avec cette affirmation : « Si les hommes maintiennent une moyenne plus basse, c’est à cause de leurs comportements à risque ». Mon commentaire ci-dessus relevait évidemment de la boutade.
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@Gégène
Tout cela prouve que les keums meurent de leur excès d’imagination alors que les meufs sont planplan et limitées par leurs talons aiguille. CQFD
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@Gégène
Préférer une pomme quand on a un gland à sa portée... Tu me diras pas...
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@rosemar
Vous qui êtes, (ou avez été) enseignante, vous évoluiez dans la même grille de salaire que les enseignants hommes. Aucune discrimination possible. Dans la fonction publique également.
Sur les rémunérations des femmes, c’est assez mal venu de faire des généralités, tout dépend des secteurs d’activité, dans le bâtiment elles sont peu nombreuses, dans l’enseignement ou les soins aux personnes c’est l’inverse.
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@njama
ah ben oui, mais les femmes enseignantes, il faut qu’elles fassent le ménage chez elles, alors elles devraient avoir moins d’heures de cours pour le même salaire !
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@njama
Et les métiers de soins sont parmi les plus mal payés...
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@njama
et plus de 70% de femmes dans l’enseignement : un métier mal payé...
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@rosemar
demandez à votre idole si il n’a pas un poste de libre chez mckinzey -
@Brutus
Non mais ça va pas ? Déjà qu’elles réclament à cor(ps) et à cri des jours ragnagna, jusqu’où va-t-on aller ?
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@Seth
à propos de corps et de ragnagnas, tu sais que les tampons sortent du corps en saignant ?
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@Brutus
On est très au fait de ces choses ici avec tous les anglais qui débarquant nombreux l’été, c’est une règle.
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@rosemar
Pas plus mal payés que les maçons, les marin-pêcheurs, les sidérurgistes, les ouvriers agricoles, mais beaucoup moins pénibles.
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@Eh hop !
Vouais mais c’est normal : eux c’est des primaires : y zont pas fait des zétudes.
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Égalité des sexes, c’est un peu fourre tout. L’homme et la femme sont différents dans leurs domaines de prédilections originelles.
Dans le monde industrialisé, je préférerais égalité des tâches et reconnaissance de la maternité.
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@Gasty
« Égalité des sexes, c’est un peu fourre tout. »
Dans un monde non woke lgbtqia+ en principe non -
Je voulais...Si, si....
Mais après je me suis dit....Je dis rien !
Mais « rien », est ce vraiment « rien », quand on ne le dit pas , mais qu’on l’écrit ?
Tenez, même « trois fois rien », c’est une soustraction par l’absurde, qui vous laisse un rien, pantois, avec pas grand chose de rien .
Mais peut être que si je ne dis rien, c’est parce que si je rajoute un « T » à ce rien, cela feras rire tout le monde !
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@L’auteur
« Ce qu’on exige de la mère du XXIème siècle est exorbitant... »
Une citation qui prouve, que le plus grand drame du XXIème siècle sur ce domaine, comme les autres, c’est l’amnésie.
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@rosemar
Vous auriez pu écrire ce qu’on « exige des mères est exhorbitant ».
Le au « XXIè siècle » est de trop, car il laisse entendre qu’il serait pire que les précédents.Précédents où les mariages arrangés étaient de mise.
Ou la femme avait pour seul horizon sa cuisine et éventuellement pour les plus riches, sa buanderie.Ce sont finalement les allemands qui l’ont le mieux résumé par l’acronyme KKK : Küche, Kirche, Kinder.
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@titi
Au XXème siècle, les mariages étaient arrangés ?
De plus, s’il est vrai que le travail a, d’une certaine façon, libéré les femmes, il ne les a pas vraiment délivrées des tâches ménagères qui leur restent essentiellement dévolues. -
@rosemar : " s’il est vrai que le travail a libéré les femmes
C’est bien connu que le travail aliène l’homme, mais qu’il libère la femme.
Libère de quoi d’ailleurs ?Les femmes ne travaillaient pas avant 1950 ?
Il n’y avait pas de reines, d’abbesses, de modistes, d’institutrices, de boulangères, de bergères, de sabotières, de couturières, de potières, de romancières, de dentellières, de jardinières, de meunières, de vannières, de laitières, de matelassières, ou des ... salonnières qui réunissaient et faisaient vivre une ou plusieurs fois par semaine l’élite de leur milieu social ? -
@rosemar
"Au XXème siècle, les mariages étaient arrangés ?
"
Le XXème il débute en 1900... pas en 1968.
D’après Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Mariage_arrang%C3%A9
les mariages arrangés étaient majoritaires jusqu’à la seconde guerre mondiale.Moi je dirai jusqu’au remembrement des années 50.
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@titi
Le choix d’un employeur est arrangé, c’est-à-dire trouvé en utilisant ses relations familiales et en prenant en compte des considérations d’intérêt, c’est un choix prémédité et réfléchi, pas sur un coup de hazard ou sur un coup de tête.
Pourquoi ce ne serait pas le cas pour le choix d’un époux ou d’une épouse ? Pourquoi le seul critère serait le coup de tête individuel ? -
Pourquoi , vous avez des enfants , un mari , un aspirateur , une machine à laver le linge , frigo , congèle, le droit de faire la vaisselle , le permis de conduire, un abri .... !
Et le droit de vieillir, ridée, flasque et repoussante ....lol
Surtout que l’ on vous a juridiquement protégé toute votre vie durant, en ayant le droit de mentir ?( sur l"identité des ou du vrai géniteur de vos enfants ) ...
Que vous faut-il de plus à vôtre bonheur ??
N’est ce pas ...et en votant Macron , Macron a fait voter une loi pour mobiliser vos enfants dans une guerre quelconque où ils seront certains de mourir ???
Voilà le bonheur, la satisfaction d’une vie bien remplit , pleine de promesses ...
Heureuse ..... !
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On ne résoudra pas le problème démographique français ( entre autres ) sans s’attaquer à la question de l’éducation de l’enfant et de la coparentalité. Sérieusement, trop de femmes sacrifient carrière, revenus et retraite pour élever des enfants. Sans compter la fatigue et, dès que ça dérape, la culpabilité puisqu’en France, la mère est tenue pour responsable de tout. Sur ce coup, Badinter - que j’apprécie modérément - a raison dans le constat. Quant à la solution ...
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@Brunehaut
Le pb démographique est résolu avec vos nouvelles esclaves africaines, seules, elles ont 3/4 gosses, ne se plaignent pas.
Le pb démographique français est la chouin chouin des bourgeoises blanches. -
@Montdragon
Qu’est-ce qui vous autorise à me prendre pour une bourgeoise ? Et à penser que j’emploie des esclaves africaines ?
Vous connaissez beaucoup de couples français qui s’en tirent sans l’emploi féminin à plein temps ? Et vous connaissez beaucoup de mères de 4 enfants d’origine immigrée qui exerce un métier à plein temps ?
Choin choin, je ne sais pas ce que ça veut dire. Mais l’incompatibilité entre le travail féminin dicté par la situation socio-économique et le renouvellement des générations, ça, je connais. Pour avoir payé de ma personne. Sans autres esclave que moi-même.
Maintenant, si votre horizon pour la France, c’est « Métisse » de Y. Noah, effectivement, il n’y a pas de souci à se faire ! -
@Brunehaut
Vous en avez des autres des conneries de ce niveau à écrire ? Vous faites pitié. -
@Brunehaut : « Sérieusement, trop de femmes sacrifient carrière, revenus et retraite pour élever des enfants. »
Sérieusement, si c’était le cas, il n’y aurait pas un gigantesque déficit démographique chez les Français de souche, un vieillissement accéléré de la population qui va faire qu’il y aura bientôt 4 retraités pour 1 actif, une disparition complète de la population français (eu aussi italienne, allemande,...) à échéance de deux générations.La carrière normale d’une femme c’est de développer une famille, d’élever le plus d’enfants possible, d’en faire des saints, des héros, des artistes, des savants,.. C’est pas de devenir DRH dans une compagnie d’assurance et de faire une psychanalyse. L’individualisme narcissique et hédoniste n’apportent pas le bonheur, c’est au contraire l’idéalisme, le sacrifice et l’héroïsme.
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@Com une outre
Vous pouvez préciser autrement que par la vulgarité qui vous tient lieu d’argument ? -
@Et hop !
Vision sacrificielle de la femme, hors de toute réalité. -
@Com une outre
Vous devriez lire plus haut le message de Montdragon avant de m’insulter grossièrement. -
@Brunehaut
Pas sacrificielle, héroïque.
Pas hors de toute réalité, hors de la société de consommation.Exactement le contraire de la morale narcissique-hédoniste des soixante-huitard(e)s entretenue par les magazines de consommatrices : Elle, Cosmopolitan, Vogue, Marie-France, etc...
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C’est bon de parler des tâches ménagères, du partage des devoirs lorsqu’on est née avec une cuillère d’argent dans la bouche !Pour mémoire Mme Badinter est la fille du fondateur de Publicis, une compagnie qui a payé 350 millions $ dans la crise des opiacés ( « Publicis a aidé des fabricants comme Purdue Pharma à convaincre les médecins de sur-prescrire des opiacés »).« Selon les données des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), plus de 700 000 personnes ont succombé entre 1999 et 2022 à une overdose liée à la prise d’opiacés, obtenus sur ordonnance ou de manière illégale. »-
Une généralisation outrancière sur la seule base de « moyennes » qui sur ce sujet ne valent rien tellement les comportements sont divers !!!
Et ce n’est surement pas une question de génération, mais une question d’éducation ... Dans les couples que je côtoie, de tous ages, de ma famille et d’ailleurs, le partage est plutôt « équitable » et il tient compte des contraintes de chacun. Des gouts aussi ....
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En plus faut qu’elle vote pour Renaissance la pauvre ....
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Elles font comment les femmes occidentales qui veulent être mère, elles demandent un permis au patron pour pas se faire virer ou faut aussi l’autorisation de Badinter ?
... Je veux dire celles pour qui le fait d’être mère est un choix un but.... ! Pour faire râler les je sais pas quoi je connais des femmes qui veulent des gosses à foison parce que ça les rend heureuse , oh le vilain mot, j’en connaissais une en particulier qui avait eu trois enfants de trois pères différents de trois ethnies différentes et qui en attendait un quatrième ( serieux...) et qui rêvait d’en avoir une dizaine... Je ne sais pas ce qu’elle est devenu les années 80 sont loin mais j’ai croisé beaucoup de ces femmes à la maternité épanouie des qui faisaient des bébés toutes seules d’autres qui accouchaient sans médecin dans la nature, d’autres qui allient boulot et gamins bref pleins de femmes vaillantes comme des ours...
Aujourd’hui si tu veux pas de gosses c’est possible et si ton mec est trop con tu peux partir y’a toujours moyen mais j’ai l’impression que les intellos bourgeois sont restés bloques sur un représentation du monde mi siècle dernier... Plus ça va plus la féminité gagne droit de cité et plus ça va, comme pour les hommes, j’ai comme l’impression que c’est le pire de la femme qui s’exprime. Y’a des moments mieux vaut partir en claquant la porte sans faire de bruit... !
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Très bon article, qui va déclencher l’ire des ultra-machistes.
Nous sommes en pleine période de régression. Les jeunes paraissent de plus en plus machistes, et les vieux le sont restés.
Le partage, l’attention à l’autre, la compréhension semblent s’éclipser devant la performance, le narcissisme, la lutte.
Dans la vie quotidienne, grâce aux écolos, entre autre, tout semble se resserrer. Quant à l’éducation, la nationale ne fait plus son travail et les familles sont soumises à l’idéologie positive, qui refuse toute limite au pouvoir de l’enfant-roi qui devient un monstre.
Faire moins d’enfants, devant le fiasco de la néo-société, reste la seule solution. Cela va dans le bon sens car l’emprise démographique de l’humanité est trop importante.
Et puis à quoi bon pour les voir détruits par des guerres idiotes où l’humanité joue sa survie pour combler les ego de dirigeants devenus fou ?
Peut-être les femmes devraient-elles faire comme dans le pièce d’Aristophane Lysistrata, où les femmes de Sparte et Athènes font la grève du sexe pour réclamer la paix.-
https://www.youtube.com/watch?v=AM-efEao7ds&t=64s
RI Zap du 27.04 : Un plan de dissolution des États européens va être annoncé
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Les femmes et les pas ..........
Public Sénat prend l’Élysée au mot en étalant la prétendue « fake news » du brigittegate. Très fort !
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La femme et les trois déviances ; La jalousie, le mensonge, le parjure ....
https://www.youtube.com/watch?v=jGCy4gcPABo
Rachida Dati : itinéraire d’une ambitieuse
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@Rosemar :
Un commentaire ?Vladimir Poutine n’aurait pas ordonné directement la mort de Alexeï Navalny en février, selon les informations du Wall Street Journal publiées samedi matin. Le journal américain, qui se réfère aux conclusions de plusieurs agences de renseignement américaines, précise toutefois que cela ne décharge pas le dirigeant russe de sa responsabilité. Cela « épaissit le mystère entourant la mort du dissident dans le goulag de l’Arctique », écrit-il.
Le WSJ est-il complotiste ?
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Il y a eu de très nombreuses améliorations de la condition des femmes, mais Il y a un point sur lequel il y a au contraire aggravation au XXIè siècle pour les mères : c’est la proportion de femmes élevant seules leur enfant (le terme monoparental est trop neutre). Il ne s’agit plus de cas marginaux, mais d’un phénomène croissant de société ...près du quart des foyers !!! (10% en 1980)
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D’habitude, je défends plutôt la famille et la natalité, même si j’en ai expérimenté dans le monde d’aujourd’hui toutes les difficultés ( comme beaucoup d’autres ).
Mais là, en lisant le contenu des interventions qui, pour beaucoup raillent ou nient la réalité vécue par les femmes et les mères, qui imposent lourdement leur point de vue d’homme et leurs exhortations morales à l’autre sexe, je suis presque contente que nous disposions à votre nez et à votre barbe d’un si grand pouvoir, celui de donner la vie si nous voulons et quand nous voulons.
Et vu l’incompréhension, ce n’est pas près de s’arranger !
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Je ne vois pas trop ou est le problème des femmes, rosemar !
Vraiment pas !
Bientôt réduites à la simple fonction de mère porteuses, ET, pondeuses, ou de commerce d’ovocyte,(du latin « ovum » oeuf, et du grec « kutos » cellule ) tout seras sous nomenclature stricte, pour protéger ces « pondeuses » (oeuf ) en batterie, et permettre aux « kutos » Achille et Patrocle " véritables coqs stériles, d’avoir leur talon d’affectivité, payé, par Amazon, sur un clic de choix, géniteur sur mesure !
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