Une maîtresse femme
Après avoir été une femme maîtresse, la dulcinée du bon François se révèle une maîtresse femme. Nous la connaissions : jalouse, autoritaire. Avec justesse, María Laura Avignolo(1) dénonce également le double statut d’une femme qui se prétend journaliste indépendante mais qui bénéficie d’un bureau à l’Élysée. Elle précise que Paris match, où travaille Trierweiler, est un journal people où Trierweiler s’est faite connaitre pour avoir inventé la « politique célébrité », en allant interroger Ségolène Royal à la maternité quelques heures après son accouchement.
Elle se présente comme une bonne maîtresse de maison et ne lâchera pas une bonne sinécure. D’ailleurs, Eléanor Roosevelt (son modèle), n'a pas quitté ses pensées, une sorte d'idée fixe !
"Je compte publier mes mémoires comme journaliste à l’Elysée, à la manière des carnets que tenait à la maison blanche Eléanor Roosevelt" Une ex-maitresse le menace de divulguer des secrets d’états pouvant mettre la France en difficultés, ce qui est parfaitement inadmissible. Bientôt en vente « Confidence sur l’oreiller à l’Elysée ».
Valérie Trierweiler se préoccupe - comme il est normal - de sa situation matérielle. Déjà divorcée deux fois, la journaliste de Paris Match "a trois enfants à charge : les deux aînés, dont l'un poursuit des études à l'étranger, sont majeurs ; le benjamin est encore en âge scolaire", précise Le Figaro qui ajoute qu'une amie fait valoir à cet égard que "Valérie a toujours assumé". "Je gère encore le linge sale de mes fils. En venant en voiture ici, j'ai l'un de mes fils qui m'a demandé comment il ferait pour son linge sale, ce soir", elle aime passer l'aspirateur et assure que "vider et remplir son lave-vaisselle de temps en temps, ça fait du bien". Pour un certain temps, elle n’a pas ce problème dans la résidence (des maitresses) secondaire de la République.
Concrètement se pose pour la journaliste la question de savoir où elle va habiter après sa séparation, et comment elle va subvenir à ses besoins en respectant une certaine discrétion et autant de sérénité. Son avocate conclut : "Valérie reste une femme de gauche. Je ne pense pas qu'elle souhaite que les difficultés actuelles viennent ternir le quinquennat de François Hollande." En publiant ses mémoires si le cheque de compensation n’est pas suffisamment important !
Ces discussions prendront évidemment un temps certain et ne devraient pas faire l'objet de documents écrits afin d'éviter les fuites et les "pseudo-révélations fracassantes". Reste donc à attendre plusieurs jours - quelques semaines au plus - avant de lire le fameux communiqué commun qui entérinera la rupture entre François Hollande et Valérie Trierweiler.
« C’est une des grandes différences entre Ségolène Royal et Valérie Trierweiler : la première est armée grâce à sa situation de femme politique, tandis que Valérie Trierweiler perd pied lorsqu’elle est en danger », tranche l’auteure. Quant à l’avenir du couple, difficile de prédire ce que François Hollande annoncera demain. Mais pour Nadia Le Brun, la réaction de la Première dame est de mauvais augure. Officiellement, son chef de cabinet a confié au Figaro qu’elle « n'a pas eu le temps de réfléchir à ça ». Bien qu’affaiblie, il serait hors de question pour elle de renoncer à livrer bataille croit savoir Nadia le Brun qui affirme http://www.legossip.net/valerie-trierweiler-rendra-coup-sur-coup-francois-hollande/213632/Valérie Trierweiler décidée à « se venger ».
Problèmes des plus mesquins : Qui va payer l’avocate de Valérie. Plus loin encore, qui défend notre pauvre François et sur quels crédits. Un citoyen normal doit assumer s’il veut batifoler. Pas un président ?
Valérie et François, vidéo du couple :
(1)María Laura Avignolo, correspondante à Paris du célèbre journal espagnol Clarin
57 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON