@Octave Lebel@Eric F
Le en-même-temps
droite (version macronie et autres)/extrême-droite.
Les caricatures qui traînent dans les
généreuses poubelles de l’extrême-droite, ramassées de plus en plus par ceux
qui en sont réduits maintenant, pour défendre leurs intérêts croient-ils, à
devoir manger dans ses mains. Dans un lent et pénible dévoilement sans
véritable surprise qui donne sa véritable dimension aux postures moralisantes
présentes et passées, notamment lors du
front républicain faisant office maintenant de cache-sexe de la honte.
Une invitation ici à la tentation de
la bassesse, vieux procédé pour prendre le pas sur des esprits présumés fragiles
et timorés, influençables, avec ses pauvres tentateurs et ses suiveurs. Des
abusés d’un jour et de vrais imbéciles protégés par le contentement de soi ou
une pseudo réputation à tenir.
Rien de bien neuf. Qui va se servir
de qui ? Les deux, chacun au détriment de l’autre.
Comme une création collective qui rassemble
une fine-fleur d’amateurs de commérage, jouant au jeu des caricatures pour se rassurer et se conforter en
tapant sur une figure dédiée au rituel du lynchage médiatique, avec le prétexte
du bouc émissaire pour entretenir l’illusion d’être d’accord et d’avoir quelque
chose au moins à partager. Des émotions, des phantasmes, une forme de haine et
propension à la déshumanisation, le plaisir pervers et sadique d’un défoulement
bon marché et un peu lâche. Ce n’est pas vraiment moi, ce sont les autres. La meilleure
liqueur des réseaux sociaux pour
quelques-uns.
Ceux qui réduisent ainsi
la vie politique, qui ont besoin de ce genre de propagande, nous montrent tous
les jours la conception qu’ils s’en font