@ l’auteur
« ..raisonnements fallacieux l’antisionisme en ferment d’antisémitisme. »
Pas vraiment.
Condamner l’antisémitisme au motif d’un négationnisme de la shoah avec les souffrances pour les rescapé ne pouvait que s’entendre.
Sauf que ce faisant, des juifs ont exploité ce concept de victimisation légitime pour l’élargir ;
- à un groupe ethnique juif inexistant,
- aux personnes de religion juive, quand la christianophobie et l’islamophobie sont autorisees,
- racial, alors que les juifs ashkénazes, séfarades, Falashas... ne sont pas de la même race
Il devenait interdit de s’opposer à la communauté juive, sauf pour ses décisions politiques.
Le Crif a « failli » obtenir obtenir de la France (*) la condamnation de l’antisionisme, au motif d’un antisémitisme caché.
Si on a admis légitime d’en vouloir aux allemands pour les tragédies de l’Allemagne, comment ceux qui considèrent les tragédies dont Israël serait responsable, peuvent-ils ne pas en vouloir aux israéliens = citoyens de l’état juifs ?
L’antisémitisme ne distinguant pas un israélien d’un juif, parler d’antisémitisme lorsque qu’un individu s’en prend à un israélien s’impose alors.
Ce syllogisme a bien été perçu par les musulmans qui voulaient exploiter aussi une victimisation islamique avec les manifestations contre l’islamophobie.
L’antisionisme a l’obligation d’être explicité pour ne pas être condamnable.