Il y a un problème dans votre phrase « Émilie König, jihadiste française de 30 ans », parce qu’en réalité les deux mots expriment une idée contraire. On ne peut pas être à la fois un terroriste et avoir une nationalité. Impossible d’appartenir à un Etat et à la fois décapiter des gens, réduire les autres en esclavage, ou les vendre ou bien les violer, détruire le patrimoine de ce pays.

Moi ça ne me gêne pas qu’ils les rapatrient...dans des housses mortuaires.

D’ailleurs la meilleure solution - en dehors de continuer à voter des lois pour faire de la France un Etat policier (c’est presque le cas avec le fichier national sur tous les citoyens et la récente loi sur la « sécurité) - est qu’ils soient jugés et éliminés sur place, enterrés dans des fosses communes anonymes pour ne pas provoquer de pèlerinages de fanatiques qui recommenceront, en leur nom, le nettoyage »ethnique« ou »religieux« de l’Humanité.

J’entends déjà certains dire »oui mais les femmes et les enfants alors ?« , mais est-il logique de rapatrier des gosses qui ont été changés à jamais ? Qui ont appris à haïr tout ce qui n’est pas extrême et qui coupaient des têtes au petit déjeuner ? Qui ont été irrémédiablement bousillés par ces horreurs quotidiennes et ce lavage de cerveau ?

Ils ont détruit des générations entières (jeunes ou vieux) sous des prétextes fallacieux de »religion« et de »recherche d’un idéal« alors qu’il n’y a dessous que haine et violence envers...tout - ah oui à part les armes bien sûr, sinon le décor ne tient pas. Il est improbable voire grotesque de »les remettre dans le circuit« parce qu’ils ne feront que soit propager l’extrémisme et la haine, soit ce sera une bombe à retardement.

* »Si la France avait remis en vigueur la législation de haute trahison et intelligence avec l’ennemi qui prévoit une peine minimum de 30 ans de réclusion, la plupart d’entre eux ne demanderaient pas à revenir en France.« 

C’est encore trop »gentil". L’isolement à vie devrait être la seule peine à appliquer, étant donné que la peine de mort n’existe plus (on se demande bien pourquoi d’ailleurs). On ne peut pas prendre le risque qu’ils sortent un jour ou qu’ils trouvent une manière d’échapper à leur peine.