@pallas
Je comprends bien ce que vous écrivez sur la dystopie. L’année passée, après avoir dormi un mois (Olivier me préparait mes repas), je me suis levée comme au premier jour et j’ai vu défiler toute ma vie en me disant : j’ai tout faux. Quand j’ai quitté Folcoche en 1967, alors que son fils, mon demi-frère pleurait, la monstresse ou gendarmesse m’a dit : Michèle, un jour, tu me remercieras.... Merci Fernande. Ma vie quoique cahotique fut une parfaite réussite. J’ai su tendre la main à ceux qui en avaient besoin. Mission accomplie.