Européenne par conviction, mais pour une Europe sociale, sans concurrence déloyale entre les différents membres, adepte de l'esprit des lumières, laïque militante.
Démocrate et républicaine.
Adepte de la philosophie d'Epicure.
Tout à fait d’accord. Pour rappel, cette citation reprise ici par Ibanez, mais que j’ai déjà lue chez d’autres auteurs sous une forme analogue : « La charité est le moyen d’entretenir la pauvreté, de la fomenter, de la pérenniser. » (Vicente Blasco Ibanez)
L’écrivain satirique
allemand Heinrich Böll avait écrit cette fable sous le titre « Anekdote
zur Senkung der Arbeitsmoral » (titre officiel en français, qui ne me
satisfait pas vraiment :
« Anecdote en vue de diminuer
l’au-travail-moral »
Cette nouvelle date des années
60, époque du « Wirtschaftswunder » (miracle économique) où l’idéologie
de la performance à tout prix et du profit sans limite avait été érigée en
religion officielle dans l’Allemagne d’après-guerre.
A l’heure actuelle, la droite
allemande croit (ou veut faire croire) qu’il suffirait de remettre les recettes
de l’époque au goût du jour pour nous sauver de la « crise », en
oubliant (ou voulant oublier) qu’en Europe occidentale tout n’est plus à
reconstruire comme après la 2e guerre mondiale…
Même D. de Villepin y croit. A voir les arguments sur son site :
Elle englobe
-la production légale française qui est la seule taxée
actuellement,
-la production à l’étranger à bas coût, le plus souvent au mépris
du respect humain, c’est un souci honorable du peuple de gauche,
mais aussi
-la production illégale en France, travail au noir, drogue,
prostitution, racket ce qui je ne pense pas puisse être cautionné
par le peuple de gauche….
Alors qu’attend la gauche pour s’y mettre ?Si les Socialistes n’ont pas cette CSCA dans leurs cartons, ils sont mal partis. Il faut trouver la solution pour relancer l’activité en France.
Il faut absolument faire comprendre aux opposants à cette mesure (notamment ceux qui se disent de gauche) que déjà, dans le système actuel, ce ne sont pas les patrons qui paient les charges sociales mais les acheteurs du produit fini.
Les patrons ne sont que des percepteurs pour l’Etat des charges sociales.