Pascal L

« Il ne faut pas vouloir « être sauvé » donc, et par conséquent il n’y a ni à demander pardon, ni à être pardonné »

Vous touchez du doigt la raison pour laquelle une bonne partie de l’humanité fuit le christianisme. Le christianisme prétend que Dieu est totalement et immensément amour. Si Dieu est amour, il ne peut que nous avoir créé libre par amour et qui dit liberté, dit responsabilité, même de nos actes les plus vils. 

Il ne s’agit donc pas d’opposer monothéisme et polythéisme, mais d’éviter ou d’’accepter les conséquences de nos manques d’amour. Le Dieu des chrétiens ne juge pas parce qu’il est amour mais nous ne pouvons accepter cet amour que si nous aimons à notre tour, y compris nos ennemis. Et si nous les aimons, la conséquence directe est de pardonner et de demander pardon..

Plus l’orgueil est présent, plus il est difficile d’entrer dans un chemin de pardon. St Augustin disait que l’enfer est le paradis des orgueilleux. Mettez deux orgueilleux ensemble et vous avez la guerre.

Face à un Dieu amour, l’humanité préfère souvent un dieu très puissant qui décide de tout (cas de l’islam), préfère se faire Dieu (gnosticisme), voire pas de dieu du tout. Ça, c’est ce que l’humanité veut, l’existence ou non de Dieu n’est pas de notre compétence.Il est ou il n’est pas.

Le christianisme ne nie pas l’existence d’esprits ou de démons qui ont été à la base de tous les polythéismes. Il est possible de communiquer avec eux et d’en obtenir des avantages. Les polythéistes se basent donc sur des faits tout ce qu’il y a de plus réel. Ces esprits ne pratiquent pas l’amour de Dieu et sont de fait bien plus acceptables pour la part de l’humanité qui refuse l’amour de Dieu. D’un autre côté, il font tout pour nous éloigner de ce Dieu qui en plus respecte notre liberté. Il est bien plus facile d’obtenir une image venant d’un esprit qui cherche à nous impressionner que de Dieu qui attend que nous soyons prêts. Néanmoins, ceux qui cherchent Dieu et qui n’ont pas peur des conséquences de son amour finissent également par le rencontrer et cette première rencontre est souvent spectaculaire, histoire d’enlever toute forme de doute.

@Gollum
Ce qui est amusant, c’est que vous faites de l’inversion accusatoire depuis le début que vous illustrez magnifiquement par cette réponse. Votre poste précédant était également une confirmation de ce que j’avais écrit parce que vous avez produit une excuse pour justifier que vous aviez raison d’être violent et donc que faire le mal pour atteindre le bien est normal. Il y a bien une inversion des notions de bien et de mal. Cela montre à quel point vous êtes imprégné de votre idéologie.

@Gollum
«  éclairer les autres sur leurs erreurs non ? » Erreurs ? Quelles erreurs ? Qu’en savez-vous ? Que savez-vous de la vérité ?
En fait, vous êtes dans la négation de la pensée des autres, pas dans la construction qui passe par l’écoute et le respect. Vos critiques sont toujours à côté de la plaque parce que vous ne prenez même pas le temps de m’écouter. Elles sont tellement insignifiantes que je peux même pas répondre sur le fond. Si j’ai faux, proposez-moi votre vérité et donnez-moi des faits que je puisse vérifier. La vérité ne peut être basée que sur des faits.

@Gollum
Votre acharnement à détruire le christianisme démontre votre appartenance à un système de valeurs basé sur des croyances car vous ne démontrez rien. Si vous n’aviez pas de croyances, vous seriez indifférents aux opinions différentes. Toute idéologie est une croyance, car systématiquement basée sur l’idée que le bien ne peut être atteint qu’en détruisant le mal identifié à des personnes. Mais en voulant détruire le mal, vous faites le mal vous-même. C’est bien là la tactique de Satan. Vous ne pourrez atteindre le bien qu’en faisant systématiquement du bien autour de vous.

@Gollum
Vous me faites penser à ces islamistes qui ont toujours une excuse pour justifier leurs croyances face aux impossibilités techniques et historiques. Les vôtres ne sont pas plus fondées.
Un miracle ne se décrète pas. il faut du discernement pour analyser le contexte et comprendre les objectifs de Dieu qui ne fait rien qui ne puisse conduire à son salut. C’est pour cela que l’Eglise Catholique ne parle presque jamais de miracles, même quand la science est bien incapable d’avancer une hypothèse. C’est aux fruits que nous pouvons juger l’arbre et il faut toujours attendre que la guérison ait porté des fruits pour la comprendre.