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Orélien Péréol

Orélien Péréol

Auteur, essayiste, écrit nouvelles, pièces de théâtre... Acteur. Ex enseignant, participe de la sociologie de l'Analyse Institutionnelle...

Tableau de bord

  • Premier article le 09/12/2008
  • Modérateur depuis le 26/03/2009
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Derniers commentaires



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 10 mai 2009 23:45

    Vous ne tarissez par d’éloges pour vous même, tandis que moi, je ne fais que vouloir vous enfoncer, selon vous. Ben voyons !
    Ben voyons ce que vous avez écrit : « Que personne ne fabrique l’opinion, qu’il n’y a aucune caste politique qui cherche à manipuler les « citoyens », qu’il est donc une perte de temps d’essayer de dénoncer cela en se basant sur les mots que cette caste emploie, alors que son intention de les utiliser dans une rhétorique qui la met à son avantage, dans la volonté d’influencer, est patente ? Que le pouvoir en place a pour seule préoccupation la bienfaisance envers un peuple qui ne comprend pas bien en quoi prendre des coups de bâton est bon pour lui ? Désolé vous ne me ferez jamais avaler cela. »

    Je n’ai jamais écrit les propos que vous me prêtez. Vous êtes dangereux pour moi. Vous pourriez colporter que j’ai dit toutes ces choses, que je les pense... à des gens que je ne connais pas et cela pourrait me porter tort.

    Vous osez écrire : « Je tolère la contradiction, la critique, le débat, » Non, vous ne tolérez pas la contradiction et vous ne portez pas arguments dans un débat d’idées.
    Ecrire ce que vous avez écrit et que j’ai copié-collé n’est ni tolérant ni respectueux : je n’ai jamais dit ça. 

    Répondez à mes questions, varier votre angle de vue en répondant aux questions au lieu de répéter que vous ne voulez pas avaler des choses que personne ne veut vous faire avaler.

    Les citoyens ne sont pas des imbéciles et le sens des mots ne vous appartient pas. Et la parole des autres non plus.



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 10 mai 2009 19:37

    à Nycolas
    Vous voulez bien arrêter la discussion, mais à condition d’avoir le dernier mot (sourire).



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 10 mai 2009 19:36

    A Céline Ertalif


    Nycolas se pose en gardien du sens des mots et donne des cartons rouges catastrophiques au parlement.
    Celles et ceux qui parlent doivent avoir le souci de se faire comprendre, ça n’a rien de remarquable ni problématique.
    Nycolas ne répond pas aux questions, il répète obstinément qu’il ne changera pas de point de vue. Dont acte.
    Il dit qu’il est atterré. C’est excessif. Si je croyais en ses formulations, je dirai que c’est un abus de langage.

    Quant à l’autisme, les familles d’autistes se sont plaintes de l’abus de ce mot.
    Réfléchissez, essayez d’imaginer ce qu’est avoir un enfant autiste (les enfants ne restent pas petits).

    On peut combattre l’idée que les problèmes politiques seraient des problèmes de communication. Je suis d’accord avec ce combat, les différends politiques ne se réduisent pas à des questions de compréhension réciproque et les combats politiques ne se réduisent pas à du langage.
    Mais il faut mener ce combat sans pratiquer soi-même ce que l’on dénonce. Me semble-t-il.



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 10 mai 2009 07:50

    Restons en là, en effet.
    Vous ne répondez pas aux questions, vous paraphrasez votre texte.
    « Abus de pédagogie » est un oxymore.
    Puisque vous savez le sens des mots, proposez la création d’une police du bon emploi des mots, des stages de rééducation... Vous ne perdrez plus votre temps avec des opposants comme moi à qui vous ne savez que redire la même chose tout le temps.
    Avec une police du bon emploi des mots, la démocratie sera unifiée à la source.
    La novlangue, c’est vous.

    Vous pensez que le fait que le citoyen n’est pas un imbécile est un prétexte. Eh bien pour moi, ce n’est pas un prétexte, c’est le fondement de la démocratie.
    Bien à vous.



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 mai 2009 15:53

    Vous écrivez : « si l’idéologie démocratique pose que le peuple est souverain, les élus n’ont pas à instruire le peuple. Naturellement. »

    On apprend de ses élèves, de ses étudiants, de ses enfants, non ?

    Il y a de la rétro-action dans tous les phénomènes. Penser que les flux et les mouvements ne coulent que dans un sens, n’est pas très analytique. Le monde est complexe et il n’y a pas de rôles, tombés du ciel, naturellement, qui établiraient des sens uniques aux énergies, aux actions, aux paroles...

    Dire « j’ai voté pour toi, je t’ai institué représentant, c’est le flux, il n’y a aucun flux inverse tu n’as pas le droit de tenter de m’instruire... » ne me paraît pas susceptible de décrire le réel.

    Ne croyez pas Nycolas quand il parle de ce que j’aurais selon lui dit. Il n’a aucun droit à me faire parler, à me prêter des intentions... demandez-moi à moi.

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