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morvan

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Tableau de bord

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Derniers commentaires



  • morvan 23 février 2012 07:47

    D’abord, tout d’abord, merci à vous de nous avoir embarqués « à bord » de ce balcon, où rien me semble-t-il n’est dérisoire, même pas l’oeillet unique. Bien des commentaires ont été de même qualité que ce qui les a suscités, donc double merci, également, des échanges ex post.
    Ce qui me nourrit au delà de ce beau billet, ce qui nourrit, et ma révolte, et l’espoir ténu que, malgré toutes les apparences, chacune de nos solitudes puisse s’unir, faire force, dans les limites que chacun voudrait y mettre, ce sont bien ces échanges et commentaires, même les quelques « opposants d’espérance ». 
    Peut-être ai-je voulu y voir ce qui n’y serait pas tout à fait, - peut-être, parce que tout espoir est, dit-on, fol par nature, ai-je voulu y voir plus qu’un simple encouragement à brailler chacun de notre balcon, quelle que soit la forme de celui-ci et son éventuel fleurissement, et fût-ce à la même heure pour faire voix ensemble, que ce soit d’Australie, de métropole ou autres composantes françaises, ou de tout autre Petit Liré constitué par l’un ou l’autre, dans tout coin de cette planète finie ? Peut-être. Mais voilà, je veux effectivement croire que cet article, et les commentaires et échanges qui s’en sont ensuivis, étaient aussi un appel à la lutte ensemble, et à la méthodologie de cette lutte.
    Je veux croire qu’il a ici été rappelé qu’il n’y a pas d’âge, ni de datation, à cette lutte, que nous perdrions sa substance à entrer dans des clivages intergénérationnels. Je veux croire avoir lu solitude, - que j’ai retraduit isolement - et que la réponse a été « union, recherchez les vôtres, ceux d’une communauté d’esprit, et/ou d’une communauté physique », de préférence un peu préservée, non par début de « communautarisme », mais pour être plus fort, enfin. Je veux croire que j’ai bien lu la méthode de l’établissement du lien, et de sa consolidation/pérennisation, celle de savoir d’abord « bien cultiver SON jardin », quelle que soit la nature de celui-ci, ce que l’un ou l’autre nomme jardin.
    Voilà, j’ai cru lire un appel dans cet ensemble, un appel à ne pas passer à autre chose une fois quelques jours écoulés, un appel à se rejoindre - et rester en lien, dès « l’aurore » ,dont nous déciderions, « armés d’une ardente patience » autant que d’un calme furieux. Ai-je bien lu - ou m’a-t-on aussi émoussé cette faculté-là ?



  • morvan 1er septembre 2011 06:33

    Bonjour à tous, bonjour bigglop - et merci de cet article Santi. Je suis Morvan, coauteur avec aobc de l’article en juillet « l’UE, le FESF et la »Banque-MES«  » rappelé ici. En réaction au commentaire de bigglop - il nous semble primordial de ne surtout pas « LEUR » prêter le flanc, en leur fournissant nous-mêmes des armes pour nous contredire, ou dévier l’attention de leurs manoeuvres d’instauration à marche forcée de l’« ordre » qu’ils veulent nous imposer. Dans cette logique, deux points essentiels sont à rappeler ou repréciser :
    1) Dans les documents « mis à disposition » (voir les liens vers les documents joints à notre article [6]), les statuts juridiques respectivement du FESF et prévisionnellement de la « Banque-MES » sont :
    a) Pour le FESF la forme juridique Société Anonyme (SA)
    b) Pour la « Banque-MES », une ORGANISATION INTERNATIONALE (OI), en aucun cas une SA.
    C’est une différence fondamentale : une SA doit se conformer au cadre juridique transnational bien établi des SA, alors qu’une OI « s’invente » son propre corpus juridique proposé à la validation par Traité.
    2) Nous, les peuples, et tout particulièrement les peuples de langue française, NE DISPOSONS TOUJOURS PAS DES TEXTES DES ACCORDS SUR LE FESF ET LA « Banque-MES », SIGNES respectivement le 21/06/2011 par les Ministres des Finances, et le 24/06/2011 par les Chefs d’Etat.

    C’est cette publication/mise à disposition que nous devons, que les peuples doivent revendiquer en tout premier lieu, nous devons EXIGER D’AVOIR ACCES A CES DOCUMENTS SIGNES EN NOTRE NOM.

    Et tant que ce premier pas n’a pas été franchi, tant que cette exigence minimale n’a pas été posée, ne nous laissons pas embarquer dans d’autres débats, ne nous laissons pas dévier vers des polémiques dérivatives, par lesquelles ce que l’on nous présente comme blanc dans l’instant sera noir dans l’heure suivante.
    Nous, qui n’appartenons à aucun groupe, n’avons ni blog, ni livre ou autre à vendre, n’avons publié dans notre article que des points vérifiables et incontournables - précisément pour ne pas ouvrir .....le piège à c...
    Merci à tous de votre engagement - pour le rétablissement des droits des peuples, pour le bien des peuples. Notre BIEN COMMUN.




  • morvan 14 juillet 2011 11:12

    Contrairement au FESF, la future Organisation Internationale « Banque-MES » ne disposera pas seulement de garanties, mais de capitaux appelés (article 8 du projet de création, voir article « le FESF, l’UE et la Banque-MES »...) à hauteur de 80 milliards d’euros, versés par tranches de 20%. Compte tenu des clefs de répartition prévues, la France devra ainsi dégager réellement un montant de plus de 16 milliards d’euros.
    Engageant les dépenses de l’Etat à l’horizon proche 2013-2018, l’accord entre chefs d’Etat du 26 juin dernier bafoue la prérogative constitutionnelle du Parlement français en matière de Lois de Finances.
    Par ailleurs, les garanties prévues initialement à hauteur de 700 milliards d’euros sont des garanties solidaires : un seul Etat membre peut être appelé en garantie par les banques créancières (.....comme le seul auteur connu d’un délit ou crime commis en réunion peut être condamné seul en responsabilité de ce crime ou délit.....)..
    Et ces garanties ont toutes les « chances » d’avoir à s’exercer : les remboursements, par les pays soit disant « aidés », de leur dette et des intérêts afférents, sont rendus mécaniquement impossibles par les « ajustements structurels » (doux euphémisme..) exigés d’eux. L’application du plan « de rigueur » (ou de dépeçage) entraîne forcément, dans le malheureux pays « aidé », une spirale récessive, laquelle augmente le poids de la dette et du déficit du pays par rapport à un PIB lui régressif (indicateur utilisé par... les agences de notation, donc les banques « prêteuses »). Voyez la Grèce, dont la dette représentait 133% de son PIB en 2010, et qui la voit aujourd’hui avoisiner les 160% (Source = indicateurs par F. Chesnais, économiste, Professeur d’Université Paris, article l’Humanité Dimanche N° 269) .....Le remède, générique concocté à partir de ceux du bon Docteur FMI, a donc toutes les chances, non seulement de rendre chronique et mortelle une affection peut-être initialement bénigne, mais encore d’initier une superbe épidémie. Un petit vaccin ?



  • morvan 14 juillet 2011 02:49

    Ayant déjà perdu un message, pour avoir voulu trop bien faire (ah, l’inexpérience, ah, le perfectionnisme !), je ne réponds, sur celui-ci, qu’à la question de marcvandemergel - en citant d’ailleurs aobc : SI des hommes et femmes politiques - intègres ou non - NE SONT PAS AU COURANT DE CECI, ils sont radicalement incompétents à prétendre nous gouverner.......
     
    Un co-traducteur - plutôt que co-auteur - de aobc ;


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