« IL FAUT QUE S’UNISSENTles républicains fidèles à Valmy et à Jean Moulin, les
syndicalistes respectueux de leurs revendications, les socialistes dignes de
l’héritage patriotique et internationaliste de Jaurès, les communistes qui
continuent le combat de la Commune et des Francs-Tireurs et Partisans (FTPF et
FTP-MOI), les gaullistes fidèles à l’esprit du 18 Juin 1940, les chrétiens
laïques, héritiers d’Estiennes d’Orves, les amis de la paix qui refusent que le
nom français serve à couvrir des guerres pour la domination, sans oublier les
résidents étrangers qui ont au cœur la Révolution française et le combat
deManouchian. »
Vouloir faire renaître le communisme sur la base de l’UNION
de toute cette galaxie d’icônes patriotardes foncièrement et historiquement anti-communistes
hétérogènes, mon vieux, le PRCF a vraiment du grain à moudre ! Pour un groupe militant qui se définit comme communiste, c’est très grave de confondre communisme et patriotisme ou chauvinisme.
« Depuis la défaite subie par le
Mouvement Communiste International en RDA, en URSS et en Europe de l’Est… »
Ce bout de phrase qui introduit
cet article mérite quelques éclaircissements. D’abord, on a l’impression que la
RDA se situe en dehors de l’Europe de l’Est. Ce qui n’est pas exact. Ensuite, l’épicentre
de la défaite du Mouvement Communiste International (MCI) ne se situe pas en
RDA ni en Europe de l’Est en général. Cet épicentre se situe en URSS.
Ensuite, on ne peut parler de la
défaite du MCI sans évoquer, ne serait-ce que subrepticement, l’événement
majeur qui constitue le point de départ de cette défaite, à savoir le coup
d’Etat sanglant trotskiste-khrouchtchévien contre Staline et la direction de l’Etat de l’URSS en mars 1953.
On donne ainsi l’impression que la défaite du MCI est
venue indifféremment et uniformément de la RDA, des pays de l’Europe de l’Est
en général. Ce qui n’est pas exact car l’explosion du MCI est partie de l’URSS
sous l’action de la contre-révolution trotskiste-khrouchtchévienne cheval de
Troie de l’impérialisme mondial. Cette désagréable impression est de nature à
entretenir la confusion dans la compréhension du processus de la défaite du MCI.
Néanmoins, le contenue de cet
article participe des bonnes intentions. Affaire à suivre.
Votre article décrit, avec
justesse et dans tous les aspects, le contenu et le contour de l’idéologie
homosexuelle. L’un des aspects importants, si ce n’est l’aspect le plus
déterminant, de cette idéologie, est sa
propagande. Vous avez évoqué cet aspect déterminant de la propagande
homosexuelle en parlant de la sémantique.
Pour pénétrer, s’incruster et
phagocyter les esprits, cette funeste idéologie commence par s’attaquer aux
codes du langage. Elle s’empare des mots, des expressions conventionnelles du
langage pour en dénaturer et détourner le sens. Dans la guerre, le brouillage
des codes d’information et systèmes de communication est l’arme mentale par
excellence pour désorganiser et paralyser son ennemi. Le point de départ de la
technique homosexuelle de brouillage des codes linguistiques consiste à transformer
la sensualité (les sensations) en sexualité (le sexe).
A partir de ce brouillage
sémantique, le fion devient un sexe, la bouche un sexe, le nez un sexe, le
cerveau un sexe, la main un sexe, bref tout organe du corps humain devient un
sexe. Par ailleurs, le père adoptif
devient le père ; la mère adoptive
devient la mère, le parent d’adoption
devient le parent biologique, la
parentalité devient l’homoparentalité,
etc.
Le terme même d’homo-« SEXUALITÉ » utilisé pour désigner
l’accouplement de personne de même sexe relève de cette technique homo« sexuelle » de brouillage des codes de
communication, de brouillage du langage. Il faudrait plutôt désigner ce
phénomène par le terme HOMOSENSUALITÉ,
car la sexualité est une notion binaire qui n’a de sens qu’en présence de deux
sexes différents.
Si tous les humains n’étaient constitués que d’un seul sexe, la notion même de sexe n’aurait aucun sens et
n’existerait probablement pas. L’idéologie homosexuelle repose donc sur la
désorganisation des codes du langage, des codes de communication de la société.
C’est du parasitage idéologique, de l’escobarderie idéologique.
Annie Lacroix-Riz doit être à juste
titre considérée comme pionnière de la lutte contre le révisionnisme actuel de
l’Histoire, particulièrement le révisionnisme en matière d’Histoire du
mouvement ouvrier révolutionnaire de la période après la seconde guerre
mondiale. Ce révisionnisme historique a pris son essor à partir de mars 1953 suite
au renversement de l’URSS par le gang capitaliste trotskiste-khrouchtchévien
camouflé dans l’appareil d’Etat soviétique sous le patronage des puissances
impérialistes euro-américains et sionistes.
Dans cette période où
l’impérialisme domine le monde entier sans partage, où le mouvement
d’émancipation des peuples est au plus bas, complètement à plat semblant ne
plus pouvoir se relever, où le révisionnisme tient lieu de méthode
d’investigation, d’acquisition et d’affirmation des connaissances historiques,
le travail d’Annie Lacroix-Riz, travail qui consiste à dépoussiérer ce
révisionnisme, est une contribution inestimable à la restauration et la
sauvegarde de la mémoire historique authentique.
Annie Lacroix-Riz a d’autant plus
de mérite que, par choix du chemin de la connaissance véritable, par choix de
la science, elle se démarque nettement à contre-pied de la doxa des hautes
sphères de l’institution universitaire, cette crème de l’intelligentsia bourgeoise
française, dont elle est issue. Cette grande qualité, la probité intellectuelle,
plutôt rare et exceptionnelle dans l’université française, ne pouvait que conduire
tout naturellement Annie Lacroix-Riz à prendre la voie du léninisme-stalinisme,
c’est-à-dire le marxisme authentique.
Annie Lacroix-Riz est incontestablement une pionnière du mouvement ouvrier authentique qui peine
encore actuellement à se remettre debout sous les coups du révisionnisme, de
l’anarchisme et du trotskisme sous toutes leurs formes.
Il faut qu’elle soit passée ! Et très vite, sans
rester ! Comme un météore dans le ciel !
« La frange minoritaire et jusqu’au boutiste… »
Le
combat politique ne se résume pas en termes de majorité et de minorité.
Une
preuve. Dans le programme présidentiel de François Hollande en 2012,
l’instauration de l’homosexualité était un point, un tout petit point rikiki,
parmi 60 autres points rédigés en long. Un seul point sur 60, ce n’est pas la
majeure partie du programme de Hollande, à ce que l’on sache jusqu’à preuve du
contraire ! Pourtant, ce tout petit point minoritaire, un sur 60, aura
occupé à lui tout seul un an du quinquennat de Hollande, un cinquième du
quinquennat !
Une
preuve encore. L’Union Européenne compte 27 pays. A ce jour, seuls 6 pays ont
instauré l’homosexualité dont la France en dernier. La minorité des pays de
l’Union Européenne, moins d’un quart, est donc homosexuelle, jusqu’à preuve du
contraire !
Une
preuve encore. L’Europe compte entre 46 et 50 pays. Seuls 9 pays ont instauré
l’homosexualité à ce jour dont la France en dernier. Donc, la minorité des pays
de l’Europe, moins d’un cinquième, est homosexuelle, jusqu’à preuve du contraire.
Cela
montre à quel point les considérations de majorité et de minorité sont souvent
ridicules en matière politique voire de civilisation. Dans une société de lutte
de classes, une société basée sur la manipulation et l’exploitation des uns par
les autres, la guerre de tous contre tous, les minorités et les majorités
s’alternent au pouvoir, les minorités politiques d’aujourd’hui étant les
majorités de demain et vice-versa.
« A un moment, il faut savoir si on préfère préserver les parts de marché
du pays sur le marché du tourisme, ou si on privilégie une lutte à outrance qui
dessert la cause défendue. »
C’est donc pour préserver les parts de marché, en
particulier le marché du tourisme, que toute la gauche politique combat pour la
civilisation homosexuelle, de la gauche extrême à gauche jusqu’à la gauche
extrême à droite, en passant par le Front De Gauche et les écologistes ! L’homosexualité
est donc la caverne d’Ali Baba, le grand gisement de trésors de la société
capitaliste promis par l’Homme-Dieu, le dieu homosexuel, illuminateur de la
gauche son prophète.