Un(e) membre de ma famille, très investie dans la solidarité et les assocs d’entraide à Toulouse est écoeurée de voir débarquer des masses de SdF/Demandeurs d’asile ou équivalent expédiés depuis Paris alors que, de son propre aveu, ils n’arrivent déjà pas à faire face aux besoins
Les jeux originels c’était nu, sur du sable. Tous le reste est un infâme gaspillage, un fleuve d’argent détourné d’une usage intelligent, la grande fête des pubs et des marques, des « sportifs » bardés de logos qui vont être complaisamment filmés ( alors que dans le moindre reportage d’information on floute le nom Panzani et William Saurin !!!!! summum d’hypocrisie et de foutage de g....)
Après, il y a malheureusement des gogos pour payer des billets ou se vautrer devant la télé . C’est comme la Beuh : pas de consommateurs = pas de trafiquants . Tant qu’il y aura des abrutis pour regarder celà ( ou le foot, ou tout autre néant décérébré ) on nous l’assénera
Bonne nouvelle, dans ma région les dates et lieux de passage de la « flamme » sont publiés. Donc les jours où il faudra fuir. Hélas il faudra quand même payer, avec nos impôts.
Et si on les obligeaient à rembourser de leur poche ?
Il n’y a pas que des veuves, il y a aussi des veufs ( 3 autour de moi ! )
La retraite est en théorie proportionnelle aux cotisations versées. Ne pas en tenir compte est du vol pur et simple
Le patrimoine est un produit ( aussi ) de l’économie et des efforts d’épargne. Une génération sans patrimoine est une génération candidate à l’assistanat social
Pour beaucoup de conjoints, se retrouver veuf/veuve correspond à une chute sévère des revenus, la pension de reversion n’étant qu’un fragment de la pension originelle.
Heureusement il y a France Inter et France Info pour avoir des informations équilibrées, jamais partisanes, jamais tronquées, jamais ignorées, jamais bidonnées
La seule chose qui est vrai dans cet article est que les sondages n’ont aucune signification...les élections sont pliées après dépouillement. Le reste c’est du vent
Quand à la Bardellaphobie pathologique de l’auteur elle fleure bon la détestation du raté devant celui qui réussit, indépendamment de toute considération politique positive ou négative