Julien30

@siatom
Il n’est pas de gauche il ne peut donc être qu’un « facho », c’est quand même pas compliqué !

@Lynwec
A travers l’histoire l’extrême-gauche a aussi mené des actions de même nature voir encore pires envers le peuple, en France et ailleurs, je ne suis pas sûr que ce soit spécialement un marqueur d’extrême-droite, par ailleurs les LFI crachaient sur les gilets jaunes au début du mouvement avant d’essayer de le récupérer.

@OJBA
En tout cas c’est toute la gauche qui est pour continuer à accueillir toujours plus d’immigrés, et la droite qui s’y oppose. Le mondialisme multi-culturaliste métisseur à marche forcée n’est quoiqu’il arrive sûrement pas de droite, il est aujourd’hui promu à gauche. Nous avons depuis 1983, et avant, une politique de gauche (de la nouvelle gauche tout du moins) sur le sociétal, c’est incontestable : en plus du discours dominant sur l’immigration : avortement, mariage homosexuel, promotion du féminisme et des théories queer lgbtmachin chose bidule, bientôt le suicide assisté, etc. Sur l’économie on peut débattre sur le libéralisme économique qui à l’origine vient de la gauche et a été récupéré par une droite en partie dévoyée, et sommes-nous seulement dans un système libéral avec des dépenses publiques à hauteur de 58% du PIB...

@Com une outre
Comme je l’avais déjà écrit à Cabanel on ne peut pas sérieusement qualifier Macron de droite ou d’extrême-droite, entre autres choses le président sous lequel on aura distribué le plus de titres de séjour, celui qui niait qu’il existe une culture française, qui veut inscrire le droit à l’avortement dans la constitution et bientôt rendre légal le suicide assisté, qui a nommé Pape Ndiaye ministre de la culture, ça ne tient pas.

@ZenZoe
Christophe soulève un point important, essentiel même, on entend parler dans les médias et par nos gouvernants uniquement des violences faites aux femmes alors que les hommes en subissent aussi leur part mais le sujet n’est jamais mentionné, jamais. Cela est dû à la prise de pouvoir de l’idéologie néo-féministe misandre dans le débat public bien plus préoccupée par la mise en accusation permanente des hommes que par le sort des victimes et c’est bien évidemment problématique.