il faut mettre en regard les actifs que cela procure à l’état et au fonctionnement économique du pays...
faux les actifs sont pour en grande partie pour financer un train de vie des politiques criminels et
administrations paye les petits rois des salaires a ne plus enfinir et
les privilèges honteux des pillards des gouvernements le
clientelisme tous azimut pour alimenter les corruptions bref le grand
pillage ceci en regle generale de 100 millard € pour maintenir leur
systeme en place c’est ça l’active des dettes avec le
concour des economistes vereux.....et medias. tout le restant c’est de
la poudre pour embrouiller les pistes et la verité des faits en
realite vous le serez bientôt et encore une fois vous tomberz des
nues !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ben alors !!!!!!!!! le mot ETAT est une escroquerieune Nation oui c’est une bande de pillards sous pretexte de gerer les affaires publiques autorise avec un cheque en blanc par un vote qui vaux blanc seing pour 5 ans
@Paul Leleu il faut mettre en regard les actifs que cela procure à l’état et au fonctionnement économique du pays...
faux les actifs sont pour en grande partie pour financer un train de vie des politiques criminels et administrations paye les petits rois des salaires a ne plus enfinir et les privilèges honteux des pillards des gouvernements le clientelisme tous azimut pour alimenter les corruptions bref le grand pillage ceci en regle generale de 100 millard € pour maintenir leur systeme en place c’est ça l’active des dettes avec le concour des economistes vereux.....et medias. tout le restant c’est de la poudre pour embrouiller les pistes et la verité des faits en realite vous le serez bientôt et encore une fois vous tomberz des nues !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ben alors !!!!!!!!! le mot ETAT est une escroquerieune Nation oui c’est une bande de pillards sous pretexte de gerer les affaires publiques autorise avec un cheque en blanc par un vote qui vaux blanc seing pour 5 ans
Lisez
le livre la controverse de Sion de Douglas REED.
Ensuite que faire ?
Je pense que nous sommes responsables de ce gouvernement car nous allons
votés pour des marionnettes à chaque élection, des gens sionistes qui
travaillent pour sion et non pour les français de toute origine.
« Compagnons,
Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n’est ni votant ni
candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l’exercice du droit
de suffrage.
Le délai que vous m’accordez est bien court, mais ayant, au sujet du
vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j’ai à vous dire
peut se formuler en quelques mots.
Voter, c’est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période
courte ou longue, c’est renoncer à sa propre souveraineté. Qu’il
devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement
mandataire muni d’une petite part de royauté, le candidat que vous
portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des
hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu’ils se chargent de les
rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.
Voter, c’est être dupe ; c’est croire que des hommes comme vous
acquerront soudain, au tintement d’une sonnette, la vertu de tout savoir
et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes
choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l’échenillage des
arbres à l’extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble
que leur intelligence grandisse en raison même de l’immensité de la
tâche. L’histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a
toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées
souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.
Voter c’est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à
l’honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et
peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore
dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès
que le milieu change, l’homme change avec lui. Aujourd’hui, le candidat
s’incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera
et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des
ordres. L’ouvrier, devenu contre-maître, peut-il rester ce qu’il était
avant d’avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate
n’apprend-il pas à courber l’échine quand le banquier daigne l’inviter à
son bureau, quand les valets des rois lui font l’honneur de
l’entretenir dans les antichambres ? L’atmosphère de ces corps
législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un
milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s’ils en sortent corrompus.
N’abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes
forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de
confier vos intérêts à d’autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de
prendre des avocats pour proposer un mode d’action futur, agissez !
Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les
autres la responsabilité de sa conduite, c’est manquer de vaillance.
Lisez
le livre la controverse de Sion de Douglas REED.
Ensuite que faire ?
Je pense que nous sommes responsables de ce gouvernement car nous allons
votés pour des marionnettes à chaque élection, des gens sionistes qui
travaillent pour sion et non pour les français de toute origine.
« Compagnons,
Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n’est ni votant ni
candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l’exercice du droit
de suffrage.
Le délai que vous m’accordez est bien court, mais ayant, au sujet du
vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j’ai à vous dire
peut se formuler en quelques mots.
Voter, c’est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période
courte ou longue, c’est renoncer à sa propre souveraineté. Qu’il
devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement
mandataire muni d’une petite part de royauté, le candidat que vous
portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des
hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu’ils se chargent de les
rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.
Voter, c’est être dupe ; c’est croire que des hommes comme vous
acquerront soudain, au tintement d’une sonnette, la vertu de tout savoir
et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes
choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l’échenillage des
arbres à l’extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble
que leur intelligence grandisse en raison même de l’immensité de la
tâche. L’histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a
toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées
souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.
Voter c’est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à
l’honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et
peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore
dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès
que le milieu change, l’homme change avec lui. Aujourd’hui, le candidat
s’incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera
et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des
ordres. L’ouvrier, devenu contre-maître, peut-il rester ce qu’il était
avant d’avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate
n’apprend-il pas à courber l’échine quand le banquier daigne l’inviter à
son bureau, quand les valets des rois lui font l’honneur de
l’entretenir dans les antichambres ? L’atmosphère de ces corps
législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un
milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s’ils en sortent corrompus.
N’abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes
forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de
confier vos intérêts à d’autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de
prendre des avocats pour proposer un mode d’action futur, agissez !
Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les
autres la responsabilité de sa conduite, c’est manquer de vaillance.
bien a l’auteur ++ .. c’est surement pourquoi le peuple ne peut se rebeller vraiment.
Jusqu’ici, il n’a pas la clé de son pouvoir. Il n’a pas installé le
matelas gonflable qui lui permettra de se jeter par la fenêtre.
le plus grand des logiciel c’est d’avoir une vraie lucidite avec soi et avoir le courage
une vraie demo ça ce gagne ça ce merite on lutte la demo c’est un etat d’esprit les gens sont habituer a ce que les autres le fassent pour lui ils doivent dejà viencre leurs lachete leurs betise bea leur peurs et arreter d’attendre toujours des autres de croire que si il n’y a pas de papa etr maman ils sont perdu et c’est la guerre et de sacraliser des impostures avec des noms pompeux comme ministre president des comediens des imposteurs bref des gens non adulte mentalement