Un citoyen engagé.
Contre toute forme de discrimination.
Ayant foi en la démocratie et en l’humanité.
Bénévole aux sans abris,bénévole dans le culturel politique et "poil à gratter" ...
Les connaissez vous ? = NON En avons-nous DEJA discuté VOUS et MOI ? = NON
Nous connaissons-nous ? = NON
Nonobstant le fait que vous soyez HORS SUJET ...
A part la grandiloquence de votre logorrhée verbeuse et je vous cite (je ne prendrais même pas la peine de corriger vos fautes d’orthographe) et colle tel quel vos écrits :
"vous representez bien les masturbateurs-citoyen-penseur du 21 siecle
plein de bonnes intentions mais jamais les couilles d’etre remarqué« ..
Premièrement je ne suis pas RÉVOLUTIONNAIRE et je n’ai JAMAIS prétendu l’être,plutôt ,ÉVOLUTIONNAIRE.
Deuxièmement quant à parler de »couilles« ,qu’avez-vous à nous montrer VOUS concernant pour étayer VOS affirmations stériles et dénués de tout fondement ,si ce n’est une tente-hative de jeter l’opprobre sur ma personne de façon si vulgaire et creuse ?
Sauf tout le respect que je vous dois,vous accusez non pas un wagon,mais un train de retard... Vous oubliez s’il en est l’entrée en vigueur du Traité de Lisbonne ce 1er décembre dernier.
Je vous apporte quelques éléments que je vous invite à commenter après les avoir « apprécier »...
Liste des articles de la Constitution violés par le Traité de Lisbonne
Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789
Article
2 : sur la résistance à l’oppression en référence à un abus de pouvoir
caractérisé de la part des représentants du peuple français
Le
vote des députés et sénateurs réunis en Congrès annule dans les faits
le non du peuple français à la constitution européenne moins de trois
ans auparavant, en plus de contredire non seulement les principes de la
Constitution et de la République, mais aussi dans la lettre ou l’esprit
chacun des articles fondamentaux suivants...
Article 3 : sur le principe et l’exercice de la souveraineté nationale
Article 10 : sur la subordination des pratiques religieuses à la loi (laïcité)
Article
16 : sur la séparation des pouvoirs, la Commision de Bruxelles et les
gouvernements nationaux exerçant de fait en même temps des pouvoirs
exécutifs et législatifs
(en plus des allers-retours
fréquents entre les fonctions de ministre, de député national ou
européen, et de commissaire européen)
Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946
Article 1 : sur le respect des principes de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789
Article
14 : sur le respect de la charte des Nations-Unis concernant la liberté
pleine et entière du peuple français à disposer de sa souveraineté
nationale
Texte de la Constitution de 1958 (articles inchangés)
Préambule : sur l’attachement aux principes de la souveraineté nationale
Article Premier : sur l’indivisibilité de la République
Article
3 : sur le principe de souveraineté nationale, et sur la suppression de
fait du référendum dans les domaines confiés à Bruxelles.
La
phrase "Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en
attribuer l’exercice." implique qu’il est interdit aux élus du Peuple
de supprimer la possibilité du référendum dans les domaines régaliens
de l’exercice du pouvoir démocratique.
Article 88.1 : sur la
liberté pour un peuple de choisir son destin confirmée dans la Charte
des Nations-Unies, norme supérieure du droit international
Article
89 : sur la révison de la forme républicaine du Gouvernement qui n’est
pas autorisée de la part des représentants élus du peuple français.
Abolition de fait de la République.
Soit
au total onze articles violés en comptant les deux préambules, dont
quatre appartenant à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen
de 1789.
Plus le non-respect des règlements du Sénat : avis non publié grâce à une procédure d’urgence utilisée abusivement.
Plus
une communication mensongère sur un traité simplifié inexistant, le
traité de Lisbonne reprenant 80% du texte constitutionnel rejeté moins
de trois ans auparavant par le peuple français, ce alors même que la
procédure de vote par référendum est, selon une jurisprudence implicite
du Conseil constitutionnel, juridiquement supérieure à celle d’un vote
du Parlement réuni en congrès.
Plus un certain nombre de pays
dont le Royaume-Uni, l’Irlande, la République tchèque et la Pologne,
qui ont refusé de signer telle quelle la Charte des Droits fondamentaux
de l’Union européenne, rompant ainsi avec le principe d’égalité des
« citoyens » de l’Union européenne devant l’application de la Charte.*
Plus
un arrêt publié le 30 juin 2009 par la Cour constitutionnelle de l’Etat
fédéral allemand qui émet un certain nombre de réserves sur le Traité
de Lisbonne.**
Et l’une de nos meilleures universitaires,
reconnue comme l’un des plus éminents spécialistes en droit
constitutionnel français, qui qualifie l’adoption du Traité de Lisbonne
de... « Coup d’Etat ». ***
Le Traité de Lisbonne est unvéritable dangerpour nos libertés.
Il y a aujourd’hui un paradigme sécuritaire qui enferme et enchaine de plus en plus le droit du citoyen au profit de l’ordre public.
Le point alarmant dans ce Traité parmi tant d’autres est bien celui relatif aux libéralités accordées à l’Etat en cas de situation exceptionnelle. A partir du moment où on laisse l’appréciation discrétionnaire de l’Etat dans son champ d’action, celui-ci se constitue comme une menace à l’encontre de ses propres citoyens.
Le fait que le Traité de Lisbonne prévoit des cas d’émeutes et d’insurrections est révélateur de l’inquiétude croissante des gouvernements sur la montée en puissance des protestations citoyennes.
Mais le pire et le plus grave, alors que Sarkozy nous a vendu ce Traité comme un texte pour le peuple, il est au contraire un texte pour l’Etat.
Désormais, il est admis au niveau de l’élite européenne que l’appréciation de l’Etat aura la primauté sur l’appréciation du citoyen.
C’est le plus grave car à partir du moment où nos gouvernements signent ce genre de Traité qui prévoit des dispositions violentes contre ses propres citoyens alors nous pouvons le prendre comme une véritable déclaration de guerre à nos libertés.
Dans le cas d’une manifestation qui pourrait déborder, rien n’empêche les forces de l’ordre maintenant de tirer dans le tas s’ils « s’estiment » en situation d’émeute ou d’insurrection.
Ce que nous dénonçons aujourd’hui, c’est ce risque de situation explosive pour le samedi 27 Mars 2010, qui nous le savons, a été mis en place sciemment par l’Etat. Ils veulent des débordements entre les deux manifestations. C’est un test grandeur nature pour Sarkosy et son gouvernement.
Action Citoyenne s’oppose donc rigoureusement à cette manipulation par l’instrumentalisation du mouvement « No Sarko Day » et la mise en épouvantail du Collectif Cheikh Yassine. Pourquoi vouloir réunir le même jour deux manifestations ? Alors que nous savons pertinemment les débordements voir la violence que peut engendrer l’antagonisme fort probable entre une partie des participants de chaque manifestations.
Il y a bien là une volonté délibérée de l’Etat de réunir toutes les conditions d’insécurité lors des deux manifestations. Le 27 Mars 2010 pourrait bien être un test grandeur nature « d’un recours à la force rendu absolument nécessaire » et « pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection » comme le mentionne le Traité de Lisbonne. Si des débordements se produisent et prennent une ampleur conséquente, Sarkozy aura réussi son projet de manipulation pour faire passer ses lois oppressives conformément en application du Traité.
Action Citoyenne se bat contre ces méthodes et désire porter le débat au niveau national pour retirer la France au plus vite de ce Traité de la honte.