@Armelle ’’ travail de sape de la notion de couple hétéro que le wokisme porte à merveille [...] la graine de la baisse démographique a aujourd’hui un terreau
favorable’’
Les chiffres de natalité en chute libre confirment votre constat Mais il y a aussi dans la jeunesse la hantise de l’avenir du fait du climat anxiogène généralisé : apocalypse du réchauffement, de la guerre, de l’effondrement économique, sans compter les épidémies....
@Aristide ’’Je ne propose que la simple application des décisions de justice, toute la peine, mais seulement la peine’’ Exactement ! S’il s’agit d’un délit grave , il peut entrainer l’inéligibilité, la justice peut la prononcer.
Sinon, pour l’élu dont la légitimité est contestée, il peut décider de remettre son mandat au mains des électeurs. Je tendrais à faire plus confiance en un candidat qui assume la responsabilité de ses fautes, plutôt qu’à celui qui les esquive.
@Octave Lebel Il est en effet nécessaire à la démocratie qu’il existe des propositions alternatives à la majorité en place, en ce sens une union de la gauche se justifie, en général autour du parti qui a la plus forte dynamique électorale. Une union des partis de l’ordre pourrait un jour aussi être instaurée sur l’autre bord politique
Vous avez par ailleurs raison de regretter abstention, car elle fait le lit du macronisme.
PS : votre phrase ’’Il n’y a pas de bonnes raisons de douter que
nous n’y parviendrions pas’’ signifie qu’on est sûr de l’échec, je pense qu’il faudrait plutôt formuler ’’pas de raison de douter que nous y parviendrons’’
@logan ’’Il n’y a strictement rien à gagner à briser la séparation des pouvoirs
entre la justice et le politique’’ D’accord avec vous, du reste la notion d’immunité (qui n’a pas été demandée par Adrien Quattenens ayant plaidé coupable) a été instaurée pour ne pas mettre les élus sous la coupe des juges. En cas de faute grave il y a levée de cette immunité par le parlement, sous les yeux de l’opinion (mais là on se heurte au cinquième pouvoir, celui des média).
@Aristide Dans le cas présent, la présomption d’innocence n’est pas en cause puiqu’ Adrien Quattenens a plaidé coupable. Ce qui pose problème, plus encore que le ’’fuitage’’, c’est la curée médiatique.
On est passé d’un extrême à l’autre, naguère nul ne mentionnait les violences conjugale, les vraies : oppression permanente et coups réitérés. Désormais, on s’enflamme pour une gifle lors d’une dispute. Mais il est vrai que la gauche sociétale a surenchérit sur cette question, et certains de ses représentants se retrouvent donc en situation de contradiction s’ils sont mis en cause.