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Exellent le choix de ce ministre, « the right man in the right place », au moins un de nos ministre connaît bien son domaine....Ca nous rappelle, un peu, la politique des « grands frères » dans nos banlieues. Faire exécuter la police par les loubards, une idée par jour au grholand....

Voici un siècle, quand le travail n’avait pas de limites, que répondait les « spartacus » de l’époque à ceux qui voulaient limiter la semaine à 48h ? Je vous le donne en mille : que c’était des étatistes !

Et en 36 quand les « fainéants » de la semaine des deux dimanches réclamaient les 40h........

Et en 97que n’a-t-on entendu sur la semaine de 35h....

Mais que pense Spartacus de la généralisation des 25h forcées ? et des millions de précaires.....

Ohé les gars, arrêtez les cauchemards, tout çà pour arriver au « travail à la tâche ». Allez interroger vos anciens qui ont travaillé suivant ce système, enfin ceux qui ont survécu, et revenez après nous parler de votre voyage.....

Par contre il est étonnant que personne ne parle du revenu minimum garanti, qui peut très bien se marier avec la semaine de 30h, le mois de 100h ou l’année de 1000h

Nuance au Vénézuela ; un référendum d’initiative populaire peut révoquer le président élu à mi-mandat. Cette procédure a déjà été inaugurée, avec un résulta négatif, contre Chavez !

Ouais, quelque chose me dit que ce paroissien ne va pas faciliter l’arrivée de Chavez au paradis. En Amérique du Sud, y a un gros chantier pour le goupillon, et çà parait plus compliqué que dans les ex pays socialistes où le stalinisme avait bien préparé le terrain. Ici il va d’abord falloir convaincre le bas peuple que l’église de Rome n’est pas systématiquement du coté du manche. Si on croît ce qui a déjà transpiré du CV de ce cher François, çà risque d’être un peu plus ardu que ce que les cireurs de godasses de la télé vaticanisée laissent entendre. C’est d’ailleurs avec des bouches en cul de poules déjà en service sous Pie12 (nonce à Berlin sous Hitler), qu’on commence, déjà, a évoquer les rapports de ce saint homme avec les délicats démocrates Vidéla et consorts dans les années 70-80.

Des chrétiens reconnus (dont deux nonnes françaises me semble-t-il) ont disparus du plancher des vaches dans des conditions assez peu catholiques, sans que l’éveque de Buenos Ayres de l’époque aient poussé une complainte audible plus loin que les frontières argentines. Si l’excuse de l’age pouvait attenuer le nazisme de Ratsinger, on voit mal, sinon la couardise, ce qui pourrait expliquer les silences de Berdoglio