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barbarossa

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  • Premier article le 12/08/2017
  • Modérateur depuis le 15/08/2017
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Derniers commentaires



  • barbarossa 16 août 2017 13:50

    @JC_Lavau
    Toute source de chaleur émet des infra-rouge, qui par ailleurs n’influencent nullement la température de l’air.

    et les bandes d’absorption agissent également dans les 2 sens.

    Question : dans quelle bd avez-vous appris cela ?


  • barbarossa 16 août 2017 13:45

    @JC_Lavau

    Pourriez-vous citer vos sources (un lien) pour ce qui est des 5 ans de résidence atmosphérique du CO2 ? 
    J’ai toujours vu 100 ans (et même 200, version catastrophe dans des sites écologiques).

    Même si votre donnée est vraie - et je veux bien vous croire en attendant - les 18 millionièmes dont je parle deviendraient 360 millionièmes. Tout aussi insignifiants. 
    Et si cette permanence avait la même durée que celle de la vapeur d’eau on tomberait à 11% et les 2% qu’on voudrait réduire pour dans quelques décennies ne représenteraient que 22 millionièmes.
    Et cela si l’on admet que les GES réchauffent la planète, alors que, à l’analyse des explications, çà semblerait plutôt être le contraire.


  • barbarossa 16 août 2017 13:23

    @bibou1324

    Donc selon vous l’homme n’influe pas sur la température de son environnement ?

    Alors faites une expérience : prenez un thermomètre, allez dans un sous bois à la campagne. Puis allez en ville. Vous verrez facilement 5°C de différence.

    L’homme influe certainement sur la température de son environnement immédiat. (Manquerait plus que ça au prix où est le chauffage). Immédiat, mais pas plus loin.
    Par ailleurs il y a aussi vos 5° de différence entre un sous-bois et une plage déserte juste à coté. 

    Par ailleurs ce qui fait débat c’est l’implication de l’homme dans le réchauffement climatique universel et pour cela le Giec indique que c’est l’effet des GES.
    Soit la couverture nuageuse.
    Et leur définition (donnée par e Giec) est : empêchent la terre de se refroidir. Ce qui est vrai mais incomplet ; car et surtout empêchent également la terre de se réchauffer, ce qui est encore plus vrai.

    On peut ensuite discuter à perpète sur la composition, la nocivité, la persistance de chaque composant.
    Mais on ne peut pas contester qu’il fait plus chaud durant une journée ensoleillé que sous les nuages.

    Ou alors ...


  • barbarossa 16 août 2017 11:54
    Manifestement je manque de formation de pédagogue.

    J’ai écrit :

    On n’était plus dans les conséquences ordinaires d’une action banalement irresponsable (pollution de rivière, océan, air, déforestations sauvages) ou d’aménagement (percement d’un tunnel ou d’un canal, aplanissement d’une colline, construction d’un pont, autoroute, chemin de fer ou autre) mais bel et bien dans le domaine du contrôle climatique de la planète.

    Il y a une notion que j’ai voulu expliquer par là et qui visiblement passe mal : 
    la différence entre environnement, c’est à dire le milieu dans lequel on vit et auquel on peut infliger des dégâts - empoissonnement de l’eau, de l’air et des terres et autres - et les forces de la nature qui nous imposent leurs lois et envers lesquelles nous sommes, et nous serons toujours impuissants.
    C’est sur cette amalgame qu’on a construit les bases du mensonge : puisque nous pouvons polluer l’air, l’eau, les terres, nous sommes aussi capable d’influencer le climat. 
    Il y a là une nuance de taille mais pas immédiatement perceptible.

    Par ailleurs je n’ai pas affirmé que l’activité du soleil avait augmenté, juste dit que le soleil déterminait la température de la terre.

    Et cette température peut augmenter même si les émissions du soleil diminuaient. Comment ? 
    L’eau recouvre la plus grande partie de la terre. Chauffée par le soleil elle s’évapore ce qui donne les nuages. Qui se transforment en pluie.
     Plus le soleil chauffe, plus il y aura de l’évaporation d’eau, plus il y aura de pluie - et vice versa. 
    La sécheresse est induite par un manque de pluie donc de nuages.



  • barbarossa 16 août 2017 11:35

    @Daniel Roux
    Bonjour,et merci pour votre intérêt. J’apprécie énormément.

    L’article, que vous indiquez, excellent et bien documenté corrobore mes propos.

    Par ailleurs il y a une notion que j’ai voulu expliquer et qui visiblement passe mal : la différence entre environnement, c’est à dire le milieu dans lequel on vit et auquel on peut infliger des dégâts - comme vous dites empoissonnement de l’eau, de l’air et des terres et autres - et les forces de la nature qui nous imposent leurs lois et envers lesquelles nous sommes, et nous serons toujours impuissants.
    C’est sur cette amalgame qu’on a construit les bases du mensonge : puisque nous pouvons polluer l’air, l’eau, les terres, nous sommes aussi capable d’influencer le climat. Il y a là une nuance de taille mais pas immédiatement perceptible.

    Si l’homme disparaissait de la terre, elle s’en remettrait soyez en sûr.
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