Alren

Pourquoi les Français ont-ils entrepris la conquête de l’Algérie en 1830 ? Parce que les Algériens de l’époque se livraient au piratage à grande échelle dans la Méditerranée et que c’était intolérable pour tous les pays riverains. Les hommes et femmes faits prisonniers devenaient s’ils n’étaient pas tués esclaves à vie (esclaves sexuelles pour les femmes et certains garçons) s’ils n’étaient pas rachetés une fortune par des mouvements de charité. Ceux et celles qui revenaient auprès des leurs après parfois plusieurs années de captivité, alors là, ceux-là oui !, étaient traumatisés à vie !Il n’est pas vrai que la présence française ait représenté « 130 ans de souffrance » pour le peuple algérien. Il y avait dans la société franco-algérienne des classes sociales et les pauvres comme partout souffraient plus que les classes moyennes plutôt mais pas exclusivement composées d’Européens. Mais il y avait des « indigènes » riches ne serait-ce que les chefs coutumiers.La femme algérienne a bénéficié de la même émancipation, si elle le souhaitait, que les Européennes. Ce qui n’est pas le cas actuellement !On peut estimer qu’il y a eu moins de personnes tuées pendant les 130 ans de cohabitation franco-algérienne que pendant les dix ans où les islamistes (curieusement insaisissables) ont fait régner la terreur sur le bled.Cinquante ans après l’indépendance de l’Algérie, la situation de ce pays est entièrement de la responsabilité de ses dirigeants qui cultivent la rancœur pour mieux dissimuler leur corruption. 

Dans cette théorie, on dit que les différents univers parallèles sont réels, « newtoniens »précise-t-on. Comme de ce fait ils ne sont pas imbriqués, ils sont donc séparés les uns des autres et nécessairement « juxtaposés », un peu comme les bulles d’air dans une mousse de savon. Ce qui entraîne que chaque univers de ce multivers à une limite, au-delà de laquelle commencent les univers « newtoniens » voisins. Ce qui entraîne qu’on peut y distinguer un centre, le point le plus éloigné des bords. Or cela est en contradiction avec l’observation sur la fuite des galaxies les unes par rapport aux autres (en fait une dilatation de l’espace entre elles) qui entraîne qu’il n’y a pas de centre à notre univers et qu’il n’a pas de bord tout en étant fini. À chaque fois qu’une particule perd ses états superposés, ce sont tous les univers du multivers qui se « dédoublent » instantanément malgré la grande distance qui les sépare. Cette instantanéité entre en contradiction avec la physique de la relativité qui énonce comme intangible que la vitesse de la lumière est la vitesse limite de l’univers pour que soit respecté le principe de causalité. À moins de considérer que les dédoublements ne sont pas liés par une causalité mais sont synchronisés (d’une manière absolue, qui s’oppose donc au principe d’incertitude dont la base inébranlable et vérifiée est le temps et la distance de Planck).Si à chaque dédoublement, chaque univers est concerné, le nombre de ceux-ci double pour une croissance exponentielle. Se pose alors la question de l’origine du multivers et en quelque sorte de l’espace disponible pour cette fabuleuse et permanente expansion.Les physiciens théoriciens donnent l’impression d’être dans un labyrinthe dont ils essaient désespérément de sortir. Mais jusqu’à présent, toutes les voies explorées sont des impasses. Cette théorie me paraît être une illustration de cette triste situation.

j’ai bien peur que de Gaulle ait été un homme droite, un barrèsien, chrétien et patriote, mais suffisamment intelligent pour, dès 1940, comprendre que Hitler était le pire ennemi que la France ait jamais eu mais que sa haine universelle pour ce qui n’était pas aryen-allemand le condamnait à la défaite finale du fait qu’il ne pourrait pas envahir les îles britanniques et qu’il subirait au contraire un blocus naval et susciterait contre lui une coalition forcément victorieuse.

Les partisans hypocrites de l’islamisation de la France pourraient créer, avec l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite, un enseignement privé confessionnel sous contrat d’association comme le font les catholiques et le juifs. Mais ils ne le veulent pas ! 

L’expérience montre que au contraire, les candidats à l’accompagnement sont la plupart du temps trop nombreux et qu’il est très délicat pour l’enseignant de refuser à un parent de vivre quelques heures avec la classe de son enfant.