• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

ADEL

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 75 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • ADEL 2 février 2018 17:23
    La notion de salut dans son sens spirituel renvoie fondamentalement à la notion de la grâce providentielle.La vie étant un passage pour chaque créature, celle-ci chemine via son propre degré de liberté, vers son destin de finitude.Ce passage de vie pour cause de déploiement de la créature, s’effectue soit vers le décentrement et l’éloignement croissant sans retour du point focal d’incrustation de la grâce/bénédiction spirituelle, foyer de création du bien cosmique, soit vers un aller-retour oscillant en plus et moins vers le recentrement. Le décentrement mène vers le mal, et à sa permanence, vers l’ordre satanique.Le salut, bien que sa source soit de l’ordre spirituel, dans le sens de son rattachement à une entité intrinsèque mais non humaine inconnaissable créant et pilotant l’univers/multivers et tout son contenant, est laissé entre les mains de la création pour s’en servir comme moyen de libération et d’expression de la liberté de chacun.Cette liberté spirituelle appliquée poursuivie par ceux et celles en quête de celle-ci est une liberté véritable et non pas une fausse liberté en forme de soumission à un chaos libertaire : matrice de toutes les hypocrisies, les tensions et les conflits s’alimentant les uns les autres.
    Pour bien appréhender conceptuellment et pratiquement cette oscillation entre le bien et le mal, effectuée par les entités de la création dotés de conscience et sous leur responsabilité, le pilote créateur n’intervenant que comme aide et accompagnateur des bonnes volontés ; je décris par analogie ce déploiement de la liberté et de la responsabilité de chacun en ce monde, et en sa relation organique et holistique avec tout ce qui existe et l’esprit de l’univers/multivers.  
    Soit un segment à longueur indéfinie dont il lui est assigné par convention un point pris comme milieu dont prennent le départ de manière opposée 2 curseurs, l’un vers une direction appelée être et l’autre nommée Esprit de l’univers /multivers. Ce point du milieu- départ des curseurs symbolise l’adhérence complète de l’esprit de l’univers/multivers et du non-être du monde ; ce point focal est le royaume de la modalité humaine unifiée du non-être dans l’esprit de la création. Le curseur 1 de l’être du monde, en se déplaçant en sa direction Y fait déplacer en sens inverse à une vitesse un peu supérieure, dans une direction Z le curseur 2 de l’Esprit. En se mouvant vers sa direction Y tout en se dégageant de ce point -milieu focal, le non—être s’éteint et l’esprit de l’univers se détache au fur et à mesure du déplacement du curseur 1. Commence alors à éclore la dichotomie de l’étant et de l’être. L’être va alors consacrer tout son effort à vouloir comprendre et joindre les étants, phase qui lui fait oublier l’esprit et chemin faisant s’ouvre un processus croissant de déspiritualisation de l’être au monde. En cette circonstance, des forces « maléfiques », si ce n’est « sataniques », mais créatives, opératoirement intelligentes et à subtiles manifestations de par la prégnance intégrale d’un système social totalitaire à fondamentaux le conceptuel scientifique et d’ingénierie d’un côté, et de réalisation matérielle technologique//technique de l’autre, trainent l’existence vers le seul levier de la volonté de puissance à base du du fric -dieu, de l’apparat et de la marchandisation de toute chose, de la pensée mutilée et de la soft propagande pour soumission au main stream system.Ils prennent le dessus sur les forces de l’authenticité, et au fur et à mesure que le temps passe et que les curseurs avancent, ils dictent de plus en plus au monde leurs règles du jeu, comme il en est aujourd’hui.La disponibilité dont parle Heidegger philosophiquement, qui est aujourd’hui à puissance infinitésimale peut se fortifier par un retour du curseur 1 vers le milieu du segment . Ce retour ne peut être assuré que par l’homme via de ceux qui aspirent à l’authenticité de l’être, étape primordiale et nécessaire pour pouvoir tendre à atteindre, le point focal du non-être.Ce n’est pas le créateur qui fait les préliminaires et quelques liminaires pour se sortir des ténèbres, mais bel et bien l’homme. Une fois enclenchée cette phase du reflux du satanique, une onde de « grâce » enveloppe le monde, et le créateur accourt « à grandes enjambées » pour rapprocher un grand nombre d’hommes de l’authenticité vers le pont focal, et ainsi inverser le cours de l’existence humaine vers plus de bénédiction, de compassion et de miséricorde. C’est , me semble t-il, en ce sens que l’exclamation de Holderlin reprise à sa manière par Heidegger : « seul un dieu peut nous sauver », peut-être appréhendée. D’ailleurs, ils ne sont pas les seuls à être arrivés à cette halte. 
    L’islam par exemple à travers un hadith dit kudsi, c’est -à-dire des paroles d’Allah non mentionnés dans le coran, mais dites toujours via l’ange Djibril, annonce que :
    Quand le croyant sincère enclenche son rapprochement vers Moi, en pratiquant les bonnes oeuvres de la bénédiction, de la compassion, de l’amour, de l’entraide humaine, etc, je me rapproche de lui à grandes enjambées.Et en persistant dans ce chemin du bien en luttant contre son égocentrisme, je serais la main dont il tient avec, les yeux dont il voit avec.
    Et un passage du coran dit : Dieu ne change pas la situation d’un peuple tant que ce peuple n’enclencherai pas par lui-même les liminaires du changement vers le bien.
    Jiddu Krishnamurti, un sage indien ne professant aucune religion formelle sauf l’apprentissage de l’authenticité de l’être parle de la vie heureuse : « Il faut mourir pour bien vivre ». cette sentence renvoie à ce qui est vécu par l’homme authentique dans l’atteinte du point focal-milieu du segment : Une évaporation du moi par extinction de l’égocentrisme. Justement, les soufis appellent cette phase de la voie : la station de l’extinction, qui veut dire faire un avec le créateur via sa lumière. 


  • ADEL 18 janvier 2018 23:05

    Le bitcoin va se développer tant que son marché n’aura pas encore pris une telle envergure qu’à sa probable crise, il puisse mettre en péril le système financier mondial. Les quelques Etats smart et puissants ont sciemment et subtilement aidé à l’avènement de ces crypto-monnaies pour les considérer comme des laboratoires grandeur nature tant en matière d’innovation monétaire et financière, que des modèles d’infrastructures algorithmiques et logicielles pleins de promesse sous-tendant cette innovation. Le bitcoin, malgré sa propension native à la spéculation, va se stabiliser sur un intervalle relativement rétréci à valeurs minima et maxima.



  • ADEL 24 décembre 2017 01:07
    Soit un segment à longueur indéfinie dont il lui est assigné par convention un point pris comme milieu dont prennent le départ de manière opposée 2 curseurs, l’un vers une direction appelée être et l’autre nommée Esprit de l’univers /multivers. Ce point du milieu- départ des curseurs symbolise l’adhérence complète de l’esprit de l’univers/multivers et du non-être du monde ; ce point focal est le royaume de la modalité humaine unifiée du non-être dans l’esprit de la création. Le curseur 1 de l’être du monde, en se déplaçant en sa direction Y fait déplacer en sens inverse à une vitesse un peu supérieure, dans une direction Z le curseur 2 de l’Esprit. En se mouvant vers sa direction Y tout en se dégageant de ce point -milieu focal, le non—être s’éteint et l’esprit de l’univers se détache au fur et à mesure du déplacement du curseur 1. Commence alors à éclore la dichotomie de l’étant et de l’être. L’être va alors consacrer tout son effort à vouloir comprendre et joindre les étants, phase qui lui fait oublier l’esprit et chemin faisant s’ouvre un processus croissant de déspiritualisation de l’être au monde. En cette circonstance, des forces « maléfiques », si ce n’est « sataniques », mais créatives, opératoirement intelligentes et à subtiles manifestations de par la prégnance intégrale d’un système social totalitaire à fondamentaux le conceptuel scientifique et d’ingénierie d’un côté, et de réalisation matérielle technologique//technique de l’autre, trainent l’existence vers le seul levier de la volonté de puissance à base du du fric -dieu, de l’apparat et de la marchandisation de toute chose, de la pensée mutilée et de la soft propagande pour soumission au main stream system.Ils prennent le dessus sur les forces de l’authenticité, et au fur et à mesure que le temps passe et que les curseurs avancent, ils dictent de plus en plus au monde leurs règles du jeu, comme il en est aujourd’hui.La disponibilité dont parle Heidegger philosophiquement, qui est aujourd’hui à puissance infinitésimale peut se fortifier par un retour du curseur 1 vers le milieu du segment . Ce retour ne peut être assuré que par l’homme via de ceux qui aspirent à l’authenticité de l’être, étape primordiale et nécessaire pour pouvoir tendre à atteindre, le point focal du non-être.Ce n’est pas le créateur qui fait les préliminaires et quelques liminaires pour se sortir des ténèbres, mais bel et bien l’homme. Une fois enclenchée cette phase du reflux du satanique, une onde de « grâce » enveloppe le monde, et le créateur accourt « à grandes enjambées » pour rapprocher un grand nombre d’hommes de l’authenticité vers le pont focal, et ainsi inverser le cours de l’existence humaine vers plus de bénédiction, de compassion et de miséricorde. C’est , me semble t-il, en ce sens que l’exclamation de Holderlin reprise à sa manière par Heidegger : « seul un dieu peut nous sauver », peut-être appréhendée. D’ailleurs, ils ne sont pas les seuls à être arrivés à cette halte. 
    L’islam par exemple à travers un hadith dit kudsi, c’est -à-dire des paroles d’Allah non mentionnées dans le coran, mais dites toujours via l’ange Djibril, annonce que :
    Quand le croyant sincère enclenche son rapprochement vers Moi, en pratiquant les bonnes oeuvres de la bénédiction, de la compassion, de l’amour, de l’entraide humaine, etc, je me rapproche de lui à grandes enjambées.Et en persistant dans ce chemin du bien en luttant contre son égocentrisme, je serais la main dont il tient avec, les yeux dont il voit avec.
    Et un passage du coran dit : Dieu ne change pas la situation d’un peuple tant que ce peuple n’enclencherai pas par lui-même les liminaires du changement vers le bien.
    Jiddu Krishnamurti, un sage indien ne professant aucune religion formelle sauf l’apprentissage de l’authenticité de l’être parle de la vie heureuse : « Il faut mourir pour bien vivre ». cette sentence renvoie à ce qui est vécu par l’homme authentique dans l’atteinte du point focal-milieu du segment : Une évaporation du moi par extinction de l’égocentrisme. Justement, les soufis appellent cette phase de la voie : la station de l’extinction, qui veut dire faire un avec le créateur via sa lumière. 


  • ADEL 22 décembre 2017 01:23
    La note s’élève à € 480 000, si on y ajoute au 1er décompte de € 350 000, les € 130 000 du retour à vide de l’avion ayant assuré le départ de la délégation et qui avait reçu réparation.
    http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/45299-philippe-politique-tokyo-paris-edouard-philippe-euros.html


  • ADEL 22 décembre 2017 00:11

    @pipiou.....Vous voudrez bien qu’on y mette, comme au temps des fascismes brun et rouge, des clotures d’opacité en forme de blockhaus, pour que tes amis de la secte devenu bling-bling soient tranquilles dans leur agissements de parvenus d’apprentis de l’interlope en deniers publics.

    C’est pas de « simples ragots et bruits de chiottes » dixit votre « beau jargon », mais bel et bien d’informations graves renseignant sur le mental et l’esprit de ces hypocrites politicards adeptes de la politicardie de l’apparat et de la félonie narcissique. Alors je vous laisse réfléchir sur ce qui suit :
    Ces politicards de la mamelle publique/privée ou privée/publique, ça revient à la même chose en ces temps des gouvernances à l’empire oligarchique du fric-dieu et de « la facile belle vie » bling bling sur dos du contribuable/assujetti fiscal, ne savent pas et n’ont jamais eu la culture de l’austérité réelle et du sens de l’évaluation au coût de revient, tant que c’est pas de leurs poches ou de leurs patrimoines personnels.Ils pouvaient attendre le temps de fin de maintenance ou réparation de l’avion originel de leur départ, et épargner ainsi au trésor public 1/3 d’un million d’euros. Un joli pactole pour approvisionner le secteur de la solidarité en ce seuil d’hiver 2018. Il n’a rien à assumer en « faux » responsable en se faufilant derrière un argumentaire nul et non avenu.iI faut qu’il s’assume à la manière des véritables hommes et avoue avoir agi, inconsciemment ou involontairement, par réflexe de parvenu ou complexé par devant la strate de pouvoir qu’il dispose en tant que chef du gouvernement. Le pouvoir politique, c’est la modestie quand on en dispose, et la grandeur dans ce qu’on a laissé comme oeuvres décisives accomplies pour la gloire de la France et l’amélioration des conditions de vie des petites gens de son peuple.
Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv