Debrahlee Lorenzana, superbe jeune femme de 33 ans d’origine italo-portoricaine est employée de la Citybank. Elle n’a qu’un ” défaut ” Lorenzana ; elle est trop belle ! C’est du moins l’avis de son employeur qui a décidé de la licencier au motif que cette ravissante jeune femme, perturbe le personnel masculin . De plus la banquière top model, au grand dam de la direction, ne fait aucun effort pour s’enlaidir c’est même le contraire. Talons aiguilles, pull moulant et jupe courte pour mettre en valeur une anatomie parfaite. Lorsqu’une entreprise veut se débarrasser d’un membre de son personnel, elle trouvera toujours un prétexte, mais là, on peut tout de même se poser des questions sur l’état d’esprit de la direction de cette établissement bancaire. Enfin inutile de se faire du souci pour elle, avec un physique pareil son avenir est assuré, probablement fera-t-elle une carrière dans le cinéma, à la télé ou dans le mannequinat, sa photo est déjà en couverture sur certains magazines.
La beauté physique est-elle toujours un atout dans la vie professionnelle ? A vrai dire, si posséder un joli minois peut ouvrir des portes, c’est parfois un inconvénient. Déjà le jour de l’entretien d’embauche, une jolie femme risque de subir la libido, soudain mis en éveille, d’un DRH qui pourrait avoir envie de varier son menu quotidien. Plus tard, on trouvera celle qui sera devenue la star du bureau très entourée par les collaborateurs mâles en chaleur. Pour une femme, se faire draguer continuellement jusqu’au harcèlement doit être à la longue lassant voire insupportable. Si jamais elle obtient une promotion rapide, les collègues auront tôt fait de suspecter une promotion canapé. Sans oublier les jalousies, rumeurs, racontars et crocs en jambe de toutes sortes. Ceci dit être belle n’est pas une tare, c’est plutôt une chance si cette beauté est utilisée avec intelligence et sans abuser. Après tout, quoi de plus naturel pour une femme que de soigner son apparence, se mettre en valeur par son maquillage, ou souligner ses formes avantageuses par l’utilisation d’une lingerie bien choisie. De plus, il n’est pas interdit par le règlement intérieur d’avoir une jolie silhouette et une démarche sexy. Bien entendu, une employée doit savoir jusqu’où elle peut aller, sans jamais tomber dans l’outrance, la provocation voire l’indécence.
Logiquement, une société qui emploie une femme devrait l’évaluer sur ses compétences et ses performances... au travail, non sur ses mensurations. Comme ce n’est pas le cas dans cette banque, Lorenzana a légitimement l’intention d’attaquer son ancienne société pour discrimination sexuelle. Seulement voila, aux États-Unis certains contrats stipulent qu’un désaccord entre l’employeur et le travailleur doit-être réglé à l’amiable. Il est donc probable, que cette affaire se terminera devant une commission de conciliation par une indemnité plus ou moins conséquente. Soyons sûr que Lorenzana saura user de son charme pour convaincre du bien fondé de ses accusations.
En France, la loi numéro 2001 - 1066 du 16/11/01 protège les salariés de toutes discriminations. Pour autant, les nombreux procès aux prud’hommes l’attestent, les licenciements abusifs ne sont pas une spécificité américaine. D’autre part, depuis le 25 juin 2008 existe la "rupture conventionnelle du contrat de travail". En quelque sorte un divorce à l’amiable entre le patron et l’employé, un arrangement en principe gagnant gagnant qui en fait n’est rien d’autre qu’une copie du système libéral des États-Unis. Un licenciement où le motif importe peu, ce qui dans un sens limite l’hypocrisie mais n’empêche pas les abus.
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Mais qu’est ce que ca veut dire cette Phrase exactement :
Enfin inutile de se faire du souci pour elle, avec un physique pareil son avenir est assuré, probablement fera-t-elle une carrière dans le cinéma, à la télé ou dans le mannequinat, sa photo est déjà en couverture sur certains magazines.
Oui elle peut aussi faire le tapin, escort girl : avec un physique pareil son avenir est assuré ; on se croirait en train de lire Gala, Paris Match. Triste époque avec des mentalités pareils ou la culture de l’apparence semble être largement intégré par l’auteur...............................................................
Vous déclarez, je cite : « tiens tiens , les américains comprendraient-ils les musulmans » ?
Vous laissez donc sous-entendre que , pour un musulman tel que vous ( je n’ai pas réussi à déterminer, à lire votre site si vous étiez vous-même musulman ou simplement islamo-gauchiste ) , le licenciement injustifié de cette employée serait la norme dans un pays musulman ?
Et qu’en licenciant cette employée , l’employeur se comporterait de façon disons , « hallal » ?
PS : contrairement à ce que vous pensez, les médias « bien-pensants » sont ceux qui ne critiquent jamais l’islam , et non ceux qui le critiquent, qui sont immédiatement catalogués « d’extrême-droite » par ces mêmes médias bien pensants ...
Exemple de médias « bien pensants » : France inter, France info, Libération, Le Monde ( liste non limitative ! ) .
L’ANPE des USA pourra toujours proposer à cette banque une femme en burqa ou niqab pour succéder à la somptueuse Debrahlee . Il serait intéressant d’observer la réaction du patron de la banque dans cette hypothèse ...
tiens tiens, les américains comptrendraient ils les musulmans ?
Ca aussi ça donne quoi en Français ? Que les jolies femmes font peur aux braves musulmans, lesquels seraient incapables de se contrôler ? Je pourrais faire comme toi et dire avec facilité : « si c’était un pays musulman, de toute façon on n’aurai pas vu sa tête, ni ses fringues moulantes, ni rien du tout d’ailleurs. »
Une chose est sûre, c’est que Debrahlee n’est pas débraillée pour venir au travail !
Ce banquier est stupide : la beauté fulgurante de son employée est de nature à faire momentanément perdre tout esprit critique à ses clients, à qui Debrahlee donc pourra beaucoup plus facilement fourguer des placements douteux !
En réalité, on ne connaît pas exactement le fond de cette affaire, tout au plus la présentation qui en a été faite par les journalistes.
Car de deux choses l’une : soit cette jeune femme séduisante a été licenciée sans porter atteinte au règlement intérieur, et c’est un scandaleux acte de discrimination, y compris si elle attire les regards de ses collègues ; soit elle a poussé le bouchon un peu loin, et il est difficile alors d’en faire procès à l’employeur.
A cet égard, j’ai connu dans la boîte où je travaillais une jeune fille provocante qui, malgré les rappels au règlement, persistait à mettre des jupes ras-le-berlingot et à porter en été des débardeurs tellement échancrés que la moindre attitude hors de la station debout livrait à la vue de tous une appétissante poitrine, aussi bien de face que de profil. Après une menace de licenciement, elle a modifié quelque peu sa tenue.
Qui nous dit que Miss Debrahlee n’a pas délibérément cherché ce licenciement pour se faire connaître et trouver des débouchés dans le cinéma ou la mode ?
A moins, autre hypothèse, que ce motif ait été mis en avant par un patron harceleur et éconduit...
J’aimerai bien moi aussi connaître le fin mot de cette histoire, les choses ne sont pas toujours aussi simple que cela . En tous cas c’est un sacré joli brin de fille.
D’autant que dans les emplois en contact direct avec le client, le physique est un avantage certain qui a compétences égales fait la différence entre une bombe atomique et la fille lambda. Sur dans dans une banque dont l’image de marque est importante. Il est donc souhaitable d’avoir du personnel compètent et en plus agréable a regarde. Joindre l’utile a l’agréable...
Donc l’excuse du physique trop parfait pour la virer est clairement bidon......
Licenciée parce que trop bandante. Il faut dire que les employés mâles dans les banques se caractérisent souvent par leur physique effacé de petits frustrés gratte papier soumis au patron, donc rien d’étonnant à cela...
Je constate aussi que bons nombres d’intervenants ici y vont de leur réflexions machistes et aigrelettes, même le « Doc craignos » (raciste on le savait) en profite pour placer son éternel couplet sur la burqa.
Vive les belles femmes, elle réjouissent les yeux, le cœur et les autres sens !
Je n’aurais pas fait de couplet sur la burqa si Fonzibrain n’avait pas eu cette réflexion bizarre dans laquelle il évoquait l’hypothèse saugrenue selon laquelle ce licenciement pourrait être une « manifestation de compréhension des musulmans par les américains » !
Cette hypothèse de Fonzibrain revient plus ou moins à dire que les musulmans seraient bornés au point d’être incapables de travailler avec une jolie femme, et que licencier celle-ci serait « les comprendre » ! Fonzibrain devrait se méfier, avec de telles hypothèses , le MRAP risquerait de lui coller un procès en racisme !
Elle a réussi un beau buzz, sa notoriété est acquise, si elle est aussi intelligente qu’elle est blonde, elle saura en tirer profit, fastoche avec le Net. Je parie que sa boite à lettres déborde de propositions...
Merci pour le lien, j’ai lu l’article avec intérêt. En fait je suis contre toutes formes de discriminations. La beauté dans le monde du travail, ne devrait-être ni un avantage ni un inconvénient
"De plus la banquière top model, au grand dam de la direction, ne fait
aucun effort pour s’enlaidir c’est même le contraire. Talons aiguilles,
pull moulant et jupe courte pour mettre en valeur une anatomie parfaite«
»Enfin inutile de se faire du souci pour elle, avec un physique pareil
son avenir est assuré"
Ça, c’est du féminisme, ou j’y connais rien en féminisme...
Toi qui es son agent, tu peux nous organiser un entretient informel Dans un hôtel-restaurant de Honfleur Juste pour me faire une idée de si elle passerait bien Dans mon journal de 13 heures ?
p.s. Même si elle s’y colle gratos la prod te dédommagera pour ton travail d’agent
p.p.s. Elle s’intéresse à l’équipe de France de Football ? Parce que si oui, c’est maintenant ou jamais... L’hôtel n’est réservé que pour trois matchs
p.p.p.p.p.p.p.p.s. Tu l’auras compris, gruni, ce n’est pas après cette personne que j’en ai Pour peu qu’elle existe Tiens, elle existe ? Sommes nous le sujet d’une étude socio-psycho ? Non, sérieux...