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Accueil du site > Actualités > Santé > Obligation du Gardasil chez filles et garçons : un pan sur le bec du Canard (...)

Obligation du Gardasil chez filles et garçons : un pan sur le bec du Canard !

En résumé  : 12 ans après sa mise sur le marché, le vaccin anti HPV n’a toujours pas démontré qu’il pouvait diminuer le risque de cancer. Ses premiers résultats officialisés par les registres du cancer de tous les pays qui ont organisé de larges campagnes de vaccination, montrent au contraire qu’elles ont été suivies quelques années plus tard d’une augmentation du risque de cancer invasif. 

La France peu vaccinée présente une incidence globale de cancer du col faible (6/100000) alors que les pays qui ont réalisé de larges campagnes de vaccination souffrent depuis d’un risque de cancer du col nettement plus élevé : 7,2 en Australie, 9,4 en Grande Bretagne, 8,8 en Suède et 11,3 en Norvège montrant que le dépistage est plus efficace que l’association vaccination plus dépistage.

Pourquoi le Canard fait-il la promotion du Gardasil ? Compte tenu de son absence de besoin réel en France, du coût astronomique (> 3 Milliards € la première année) de l’obligation proposée et des complications rapportées, on ne comprend pas que le Canard ait ainsi pu s’empêtrer les plumes. Crédulité ? Soumission ? Nous espérons qu’il lèvera nos doutes dans une prochaine édition.

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L’article récent du canard mérite un pan sur le bec. Comment le plumitif jadis bien informé s’est-il transformé en représentant de commerce de Sanofi ?

 

 par le dr G Delépine chirurgien cancérologue et statisticien

Un article récent du canard[1] relaie le plaidoyer habituel du ministère et des services de communication de Sanofi sur la vaccination anti HPV. Ils évitent d’évoquer les questions cruciales pour les citoyens, menacés d’une obligation vaccinale supplémentaire, que constituent son absence de justification médicale réelle, la disproportion considérable entre son coût démesuré et un bénéfice fantasmé minuscule, ses résultats cancérologiques avérés inquiétants en cas de vaccination tardive et ses complications qui ont motivé des manifestations de victimes et de leurs familles dans plusieurs pays et justifié aux USA des indemnisations qui atteignent un montant considérable.

La vaccination contre les papillomavirus n’a jamais démontré qu’elle pouvait diminuer le risque de cancer. Les essais initiaux qui ont permis d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché ont seulement montré qu’elle pouvait diminuer les infections liées aux quelques souches visées par les vaccins[2] et des anomalies cytologiques[3] supposées précancéreuses chez les femmes non précédemment infectées tandis qu’elles étaient augmentées en cas d’infection HPV préexistantes[4]. L’INSERM dans sa revue de novembre - décembre 2011 précisait déjà : « des effets indésirables graves sont soupçonnés : augmentation du risque de cancer si l’infection est déjà̀ installée »[5] .

Un tel traitement dont on ne connait pas le résultat médical sur la maladie qu’il est censé traiter est par définition « expérimental » et ne devrait être proposé qu’avec le consentement libre et éclairé de ceux auxquels on le propose.

L’espoir d’un résultat lointain bénéfique ne peut pas dispenser de l’examen attentif des résultats cancérologiques à moyen terme ! Or les très nombreux articles [6] qui prophétisent l’éradication prochaine de cette maladie grâce à la vaccination ne sont que des prédictions [7] basées sur des hypothèses incertaines qui assimilent infection et cancer et ne tiennent pas compte des résultats cancérologiques avérés en populations réelles. L’invraisemblance de ces prédictions marchandes est d’ailleurs évidente lorsqu’on consulte les projections d’incidence des services officiels de statistiques qui reposent, elles, sur l’analyse des cas de cancers observés et qui sont très pessimistes pour les pays vaccinateurs tels que la Suède (augmentation du risque de 60% entre 2014 et 2034) ou la Grande Bretagne (augmentation du risque de 43% d’ici 2035).

Cette vaccination, même si elle était efficace ne serait guère justifiée.

En France, grâce au dépistage cytologique par frottis tous les trois ans, le cancer du col de l’utérus est devenu une maladie rare avec une incidence [8] inférieure à 6/1000000 [9]. Les avocats de la vaccination mettent en exergue les 1000 morts annuelles qui lui sont liées mais ne précisent jamais que 800 de ces femmes sont mortes alors qu’elles n’avaient pas pratiqué de dépistage cytologique selon les recommandations[10]. Si le dépistage était généralisé à toute la population à risque comme le ministère vient enfin de le promouvoir, on ne déplorerait plus en France que 200 morts annuelles liées à ce cancer. En l’absence de preuve d’efficacité anticancer, vacciner chaque année 800000 français est totalement disproportionné au gain espéré et constitue un pari risqué.

Ce pari douteux a un coût démesuré. Si ce projet d’obligation du Gardasil, récurrent et cher à la ministre se réalisait, son coût pour l’assurance-maladie serait effectivement colossal !

Notre calcul repose sur les recommandations de l’appel des 50 [11] qui représente la doxa officielle.

 Le prix du vaccin Gardasil 9 prescrit en France est à 135,68 € la dose soit 407 euros pour les trois doses destinées aux adolescents de plus de 14 ans, et 271 euros pour deux doses destinées aux plus jeunes[12]. En incluant les consultations nécessaires à sa réalisation[13] ,le prix minimal de la vaccination à deux doses (valable pour les plus jeunes) atteint ainsi 411 euros. Trois doses sont prévues lors des vaccinations de rattrapage pour les adolescents : le coût unitaire de la vaccination passe alors à 533 euros.

Il y a en France depuis dix ans environ 800 000 naissances annuelles. Une classe d’âge qui arrivera à l’âge de la vaccination représente donc 800000 enfants. En France, les avocats de l’obligation vaccinale Gardasil désirent imposer la vaccination pour les jeunes filles et pour les garçons (par équité !) de 11 à 14 ans avec un rattrapage jusqu’à 19 ans. Autrement dit, la première année d’obligation vaccinale, ils désirent imposer la vaccination à 9 classes d’âge avec des vaccinations à 2 doses pour 4 classes d’âge (les 11,12,13 et 14 ans) et à 3 doses pour 5 classes d’âge (les 15,16,17, 18, et 19 ans). Un tel schéma nécessite, pour la première année, un peu plus de 18,4 millions de doses de vaccin pour un seul coût des vaccins d’environ de 2,5 milliards d’euros. 

Le coût total des vaccinations (consultations comprises) la première année d’obligation s’élèverait à 1,315 milliard € pour les enfants à 2 doses et 2,133 milliards € pour les vaccinations de rattrapage chez les adolescents, soit au total trois milliards et demi €. Il faudrait ensuite dépenser 320 millions €, chaque année pendant 20 ans, avant d’espérer sauver quelques vies[14].

L’article du Canard propose donc de dépenser près de 10 milliards € pour espérer éviter peut-être 200 morts dans 20 ans (si toutes les hypothèses très optimistes du vaccin[15] étaient vérifiées). Ces milliards € « magiques » ne seraient-ils-pas mieux utilisés à rebâtir maintenant notre système de santé en piteux état[16] et à réconforter nos soignants à bout de souffle après 20 ans de gestion purement comptable et de dictature bureaucratique[17] ?

 

Quel banquier accepterait un pareil business plan ? Plaider pour une telle obligation en cette période de finances publiques atones est totalement irresponsable.

 

Ce pari cancérologique hors de prix est déjà perdu pour les vaccinations de rattrapage. Les registres officiels des cancers des pays qui organisé de grandes campagnes de vaccination montrent que depuis cette vaccination, le risque de cancer augmente chez les jeunes femmes vaccinées tardivement (en « rattrapage », après les premières relations sexuelles).

Nous avions déjà averti de ce danger dès août 2018 par une tribune sur agoravox[18] et la publication du livre « hystérie vaccinale : Gardasil et cancer un paradoxe »[19], averti le président de l’institut du cancer (qui n’a pas nié les faits objectifs publiés par les registres internationaux du cancer, mais demandé plus de recul …). Nous avons régulièrement publié les mises à jour des résultats cancérologiques publiés grâce aux analyses de ces documents statistiques par le docteur G Delépine (tant sur agoravox que sur notre site, par pays pour plus de lisibilité). [20] En voici la synthèse actuelle.

En Norvège[21], d’après Nordcan [22] l’incidence lissée[23] sur 3 ans des filles atteignant 15-24 ans en 2016, (vaccinées à plus de 80%) a commencé à augmenter deux ans après la campagne scolaire de vaccination. Entre 2010-2012 et 2014-2016, cette incidence a été multipliée par 3, passant de 0.84 en 2010-2012 à 2.46 en 2014-2016 ! Malgré le faible nombre absolu de cancer dans cette tranche d’âge, cette augmentation d’incidence entre les périodes 2009-2011 et 2014-2016 est statistiquement significative (coefficient de corrélation de Pearson cc = 0,969 p<0,01) et donc non liée au hasard.

 En Suède[24] d’après Nordcan, dans le groupe d’âge 20-24 ans, vacciné à plus de 80%, l’incidence (lissée sur 3 ans) a baissé jusqu’en 2008, date de mise sur le marché du vaccin, pour augmenter ensuite à plus du double de la valeur initiale (1.49 en 2007 contre 3.73 en 2015). Malgré le faible nombre de cas observés cette augmentation d’incidence est très fortement significative (cc = 0,97 et p<0,001).

En Grande Bretagne[25], d’après Cancer Research UK[26] on observe le même type d’augmentation d’incidence dans le groupe d’âge le plus vacciné (20-24 ans) 3 ans après le début de la campagne scolaire de vaccination : cette augmentation d’incidence des cancers invasifs s’accompagne également d’une augmentation des cancers in situ[27] découverts par le dépistage. Les données de Cancer Research UK montrent en effet que l’incidence des cancers in situ, qui baissait continuellement des années 2000-2011 a commencé à augmenter 3 ans après la campagne de vaccination.

En Australie[28] les vaccinations commencées en 2007 n’ont pas concernées seulement les jeunes filles de 12-13 ans, mais ont été étendues par des vaccinations dites de rattrapage jusqu’à 26 ans[29]. Les groupes vaccinés exposés au risque de cancer[30] en 2014 (derniers chiffres par classes d’âge publiés en octobre 2019[31]) sont ceux des femmes de 20-24, 25-29 et 30-34 ans en 2014. Dans ces trois groupes, l’incidence a augmenté et cette augmentation ne peut pas être due au simple hasard (cette différence est statistiquement significative à 0,01 pour les 30-34 ans).

La vaccination peut-elle être incriminée dans cette augmentation constatée du risque de cancer ?

Démontrer qu’une politique de prévention est efficace peut prendre des décennies ; mais démontrer qu’elle ne l’est pas peut être rapide. La catastrophe du Titanic illustre tragiquement ce paradoxe. Avant le départ du paquebot, les ingénieurs de l’époque proclamaient : « les 20 prochaines années de navigation sur les mers les plus inhospitalières du globe démontreront que notre navire est insubmersible ». Mais il a suffi de quelques heures pour démontrer qu’il ne l’était pas…

Certains, pour innocenter le Gardasil de cette augmentation avérée et précoce du risque de cancer chez les vaccinées tardives, affirment aussi : « il faut dix à quinze ans pour que la malignité survienne ». Ils ont raison en cas d’évolution naturelle, mais rien ne permet de penser que cela reste vrai après vaccination. Toute vaccination modifie considérablement l’évolution naturelle de la maladie cible (c’est même pour cela qu’on la pratique !) et la vaccination transforme aussi l’attitude des vaccinés par rapport au risque de maladie[32]. La combinaison de ces deux facteurs est susceptible d’être délétère[33].

La maladie de Marek constitue un exemple démonstratif de vaccination anticancer au résultat paradoxal. Cette infection aviaire, responsable de lymphome et d’atteinte nerveuse, était peu virulente jusqu'en 1950, et rarement mortelle. Après l’application de nouveaux vaccins, des souches pathogènes de plus en plus virulentes sont apparues susceptibles d’entraîner la mort de 100 % des oiseaux non vaccinés et de causer plus de dommages chez les oiseaux vaccinés. Cet exemple de vaccination à visée anti cancéreuse démontre qu’elle peut être à l'origine de l'aggravation de la virulence d’un virus et aboutir au résultat inverse que celui espéré. On peut donc craindre que les vaccins anti HPV exposent potentiellement au même risque. De même les premiers candidats vaccins contre le Sida ont été abandonnés après les essais Step et Pampryl parce qu’ils augmentaient le risque de la maladie. Et la catastrophe vaccinale toute récente du Dengvaxia aux Philippines a rappelé qu’une vaccination mal étudiée peut aboutir à l’effet contraire de celui espéré et dans des délais beaucoup plus courts que l’évolution naturelle aurait pu le laisser supposer.

Le rôle possible, voire probable, de la vaccination dans cette augmentation peut être évoqué parce que, dans tous les pays vaccinateurs, les augmentations du risque de cancer ne touchent pas l’ensemble de la population, mais spécifiquement les groupes d’âge vaccinés, alors que l’incidence continue à diminuer chez les femmes de plus de 50 ans. Cette suspicion est renforcée par l’analyse temporelle des tendances (break point analysis) qui prouve que l’augmentation d’incidence survient habituellement deux à trois ans après le début des vaccinations scolaires. La recherche des causes de l’augmentation du risque de cancer après vaccination, qui devrait intéresser le ministère, est cruciale pour définir la meilleure politique de prévention : dépistage (qui a fait la preuve de son efficacité) ou association dépistage et vaccination aux résultats inquiétants.

Quelle politique de prévention du cancer du col s’est-elle révélée à ce jour la plus efficace ?

Pour visualiser l’efficacité des politiques différentes sanitaires, on peut comparer les courbes d’évolution[34] des 20-29 ans[35] en Australie, Grande Bretagne et Norvège, (apôtres de la vaccination), à celle de la France entre 2007 (date des premières campagnes de vaccination) et 2012. Durant cette période des débuts de la vaccination, la France peu vaccinée a bénéficié d’une baisse continue de l’incidence des cancers invasifs du col alors que Norvège, Suède, Grande Bretagne et Australie ont souffert d’une augmentation du risque.

Les données publiées par Nordcan en 2019 comparant l’évolution des suédoises et norvégiennes de 20-24 ans (en 2016) vaccinées à plus de 80% à celle des danoises de même âge, peu vaccinées depuis la médiatisation des accidents neurologiques post Gardasil dans ce pays confirment le phénomène : en 2014-2016, après les campagnes de vaccination, la Suède et la Norvège se retrouvent derrière le Danemark alors qu’en 2006-2008 ces pays avaient une incidence de cancers plus basse. En 2006-2008 la Suède avec une incidence de 1.49, précédait la Norvège (3,28), et le Danemark (3,97) ; en 2014-2016 le Danemark est passé premier du groupe (3,06), devant la Suède (3,73), et la Norvège (4,60) avec l’incidence de cancer du col la plus basse.

Que ce soit en France ou au Danemark, le dépistage seul parait ainsi paradoxalement plus efficace que l’association dépistage plus vaccination !

La vaccination anti HPV, comme tout autre traitement actif, n’est pas dénué de risques. Notre ministre comme les autres chantres de la vaccination proclament à chaque occasion que le vaccin est sans danger. Pourtant La notice officielle de l’Agence Européenne du Médicament précise qu’il faut l’éviter en cas d’allergie (car plusieurs cas de morts par anaphylaxie ont été reconnus et indemnisés[36] dans différents pays).

Aux USA, les essais cliniques américains du Gardasil 9 rapportent des décès inexpliqués, des risques significatifs de thyroïdites, sclérose en plaque et diabète de type 1 intégrés depuis dans le plan de pharmacovigilance. Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) totalisait, en juin 2019, 51968 effets secondaires (41829 après Gardasil, 5337 après Gardasil 9 et 3579 après Cervarix). Globalement, dans ce pays les vaccinations anti HPV ont été suivies de 328 décès (266 après Gardasil and 5 après Gardasil 9), de 834 complications ayant menacé la vie et de 2011 cas d’invalidité permanente dont des stérilités, des crises d’épilepsie, des troubles de la conscience, des paralysies, insuffisances musculaires, fatigue intense, myalgies, arthralgies, maux de tête, nausées, dyspnées…

Au Japon, le ministère a évalué le risque d’effets secondaires graves à 245.1/million de vaccinations pour le Cervarix, et à 155.7 /million de vaccinations pour le Gardasil[37].

Ces complications post vaccinales ont motivé des manifestations publiques contre le Gardasil dans plusieurs pays : Japon, Colombie[38], Irlande. Et on ne peut pas qualifier ces manifestants d’antivax puisque ces parents ont fait vacciner leurs filles et qu’ils ne protestent pas contre les vaccinations en général, mais uniquement contre les vaccins anti HPV !

Le déni officiel permanent du risque post vaccinal ajoute le mépris aux souffrances des victimes, décrédibilise la parole publique, dessert les vaccinations et les progrès de la science.

 

En résumé

12 ans après sa mise sur le marché, le vaccin anti HPV n’a toujours pas démontré qu’il pouvait diminuer le risque de cancer, et ses premiers résultats officialisés par les registres du cancer de tous les pays qui ont organisé de larges campagnes de vaccination, montrent au contraire qu’elles ont été suivies quelques années plus tard d’une augmentation du risque de cancer invasif. 

La France peu vaccinée présente une incidence globale de cancer du col faible (6/100000) alors que les pays qui ont réalisé de larges campagnes de vaccination souffrent depuis d’un risque de cancer du col nettement plus élevé :7,2 en Australie, 9,4 en Grande Bretagne, 8,8 en Suède et 11,3 en Norvège montrant que le dépistage est plus efficace que l’association vaccination plus dépistage.

Pourquoi le Canard fait-il la promotion du Gardasil ? Compte tenu de son absence de besoin réel en France, du coût astronomique de l’obligation proposée et des complications qui ont été rapportées on ne comprend pas que le Canard ait ainsi pu s’empêtrer les plumes. Crédulité ? Soumission ? Nous espérons qu’il lèvera nos doutes dans une prochaine édition.

 

 

[1] « Le vaccin est resté coincé dans la seringue » Le Canard du 24 12 2019

[2] Alors qu’il en existe plus de 150 qui infectent l’espèce humaine dont au moins 18 réputés cancérigènes.

[3] Les anomalies cytologiques bénignes dites de haut degré CN2 et CN3 sont observées dans les antécédents des femmes cancéreuses (risque cancérologique de 5% des CN2 et de 12% pour les CN3)

[4] VRBPAC Background Document Gardasil™ HPV Quadrivalent Vaccine May 18, 2006 VRBPAC Meeting Table 17. Study 013 : Applicant’s analysis of efficacy against vaccine-relevant HPV types CIN 2/3 or worse among subjects who were PCR positive and seropositive for relevant HPV types at day 1. [From original BLA, studyhttp://www.fda.gov/ohrms/dockets/ac/06/briefing/2006-4222B3.pdf.

[5] ) Pharmacovigilance : l’urgence des réformes, Science et Santé n° 5 novembre-décembre 2011 (magazine de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale), p. 42 http://www.inserm.fr/mediatheque/infr-grand-public/fichiers/science-sante/science-sante-n-5-nov-dec-2

[6] Tous rédigés par des personnes liées financièrement aux fabricants de vaccin ou qui vivent de la vaccination car employés des agences qui organisent les campagnes de vaccination.

[7] N Delépine : Quand les résultats de simulations mathématiques remplacent les résultats réels dans l’information, Agoravox 19 octobre 2018

[8] Nombre de nouveaux cas annuels pour 100000 femmes

[9] Ce taux de 6/100000 est le seuil qui définit une maladie rare d’après l’Organisation Mondiale de la Santé

[10] Tous les 3 ans à partir de 25 ans

[12] Deux doses chez les plus jeunes censés ne pas avoir eu de relations sexuelles. Trois doses pour les plus âgés, espérant que la troisième dose compenserait la faible efficacité prouvée chez les sujets ayant eu des relations, ce qui évidemment n’a jamais été prouvé

[13] Le prix d’une consultation d’un pédiatre en secteur 1 est de 28 euros. Une vaccination à deux doses nécessite 3 consultations (87 euros) et celles à 3 doses 4 consultations (126 euros)

[14] Prix de revient de la vaccination supérieure à notre calcul initial car le prix du vaccin a augmenté de 20 € par injection. https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/300-millions-eur-an-pour-les-219458

[15] Il faudrait en autre que les souches de HPV des vaccins soient les seules causes possibles de cancer, qu’elles soient toutes éradiquées la vie durant, qu’il n’y ait pas d’apparition de résistance ou de phénomène de remplacement par une des 140 autres souches

[16] N Delépine Système de santé en urgence absolue : quelques remèdes à appliquer sans délai Agoravox Mai 2018 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/systeme-de-sante-en-urgence-204533

[17] N Delépine La bureaucratie étouffe le système de santé. Dégraissons le mammouth pour vaincre ce fléau Agoravox Juin 2018 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-bureaucratie-etouffe-le-systeme-204868

[19] Fauves éditions novembre 2018 N et G Delépine

[21] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-de-lincidence-du-cancer-du-col-de-luterus-en-norvege-depuis-la-vaccination-le-programme-de-vaccination-des-filles-a-commence-durant-lannee-scolaire-2009-2010-chi/ avec les courbes détaillées.

[23] On entend par incidence le nombre de nouveaux cas annuels pour 100000 femmes ; lorsque les cas observés sont peu nombreux on peut observer des fluctuations importantes d’une année sur l’autre dues au seul hasard ; dans ces circonstances la moyenne des incidences sur plusieurs années consécutives (incidence lissée) représente plus fidèlement la tendance réelle.

[24] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-suede-depuis-la-vaccination-par-gardasil/

[25] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-invasif-du-col-de-luterus-en-grande-bretagne-depuis-la-vaccination-par-gardasil/

[27] On entend par cancer in situ un cancer superficiel, purement intra épithélial, qui n’a pas franchi la basale ; les cellules tumorales de ce cancer in situ peuvent être dépistées par les frottis plusieurs années avant que le cancer ne devienne invasif ; le dépistage permet de traiter ce cancer in situ avant qu’il ne devienne invasif. Si la vaccination était efficace elle aurait dû faire chuter l’incidence des cancers in situ

[28] docteur.nicoledelepine.fr/evolution-du-risque-de-cancer-du-col-de-luterus-en-australie-depuis-la-vaccination-par-gardasil-de-2007-a-2014/

[29] Ainsi que le montre les rapports et le calendrier du « National Centre for Immunisation » australien

[30] Le risque de cancer du col est nul jusqu’à 15 ans, infime de 16 à 20, apparaît entre 20 et 24 ans et culmine entre 25 et 45 ans. La population à risque est donc celle des femmes de plus de 20 ans. Compte tenu du faible recul actuel des registres du cancer (7-8 ans) on ne peut actuellement qu’évaluer les vaccinations administrées aux adolescentes de 13-18 ans qui avaient 20-25 ans au dernier relevé publié des registres sauf pour Australie où les vaccinations de rattrapage ont été étendues jusqu’à 26 ans

[31] 2017 Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books : cervical cancer Canberra : AIHW.  http://www.aihw.gov.au/acim-books> Australian Health and welfare

[32] La publicité mensongère des vaccins HPV fait croire aux femmes qu’elles sont protégées du cancer du col et peut les inciter à ne plus pratiquer de dépistage et à adopter une activité sexuelle plus importante.

[33] Diane M Harper, Pekka Nieminen, Jorma Paavonen, Matti Lehtinen Cervical cancer incidence can increase despite HPV vaccination www.thelancet.com/infection&nbsp ;&nbsp ; Vol 10 September 2010

[34] Publiées en 2019 par International Agency for Research on cancer IARC agence de l’OMS située à Lyon http://ci5.iarc.fr/CI5plus/Default.aspx

[35] Les publications de l’IARC ne permettent pas d’étudier spécifiquement le groupe des 20-24 ans mais seulement des groupes de dix ans

[37] The Japan times JUN 15, 2013

[38] Charles Buchanan Mystère en Colombie : des centaines de jeunes filles frappées par un mal étrange. THE CANADIAN PRESS AP, Daily Free Press, 7 9 2014

 

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Moyenne des avis sur cet article :  4.81/5   (42 votes)




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63 réactions à cet article    


  • Désintox Désintox 6 janvier 2020 17:47

    Article anti-vaccination. Comme d’habitude.


    • xana 6 janvier 2020 20:22

      @Désintox
      J’ai rarement lu une réaction aussi IMBECILE...


    • Désintox Désintox 6 janvier 2020 22:39

      @xana
      1. C’est un constat de dire que cet article est contre la vaccination.
      2. C’est aussi un constat de dire que les autres articles du même auteur le sont aussi.
      3. Un troisième constat, c’est de dire qu’Agoravox n’est pas une revue médicale et que personne ne peut y évaluer sérieusement la validité des informations de cet article.
      4. L’insulte ne fait pas partie de mon vocabulaire.


    • louisfine 7 janvier 2020 06:49

      @Désintox
      L’oeil du Nouvel Ordre Mondial, pas très discret, mon cher. Toi aussi tu veux l’élimination de nombreux humains, tu dois faire parti du programme pour être en réaction immédiate à l’article. Pire que les nazis, beaucoup plus vicieux en somme, pour le citoyen lamda qui ne voit pas plus loin que son nez. J’imagine, pour finir, que tu as fait vacciner tes gamines...


    • Attila Attila 7 janvier 2020 08:03

      @Désintox
      «  C’est un constat de dire que cet article est contre la vaccination »
      Menteur ! Évaluer les vaccinations au cas par cas n’est pas être contre le principe de la vaccination.

      .


    • Eric F Eric F 7 janvier 2020 10:13

      @Désintox
      "Un troisième constat, c’est de dire qu’Agoravox n’est pas une revue médicale et que personne ne peut y évaluer sérieusement la validité des informations de cet article.« 
      Agoravox n’est pas non plus une revue climatologique, or de nombreux articles sont consacrés à ce sujet, etc., de même que des articles médicaux sont publiés par les grands médias. Il n’y a pas de »domaine interdit".
      Le présent article comporte des courbes et des argumentaires compréhensibles par le public, qui est à même de se faire une opinion.


    • Désintox Désintox 7 janvier 2020 12:05

      @louisfine
      « J’imagine, pour finir, que tu as fait vacciner tes gamines... »

      Bien sûr. Mes enfants ont eu tous les vaccins préconisés. La vaccination est la plus grande avancée médicale de tous les temps. C’est une méthode peu coûteuse qui permet d’éviter de nombreux drames humains.

      Vous êtes contre la vaccination ? Bienvenue à la Variole et à la poliomyélite !

      Quand j’étais au CM2, un gamin de ma classe avait eu la polio. Sans doute avait-il échappé à la vaccination. Il était paralysé à vie.

      Pour certaines maladies, on ne dispose pas de vaccin. C’est par exemple le cas du paludisme qui touche 219 millions de personnes dans le monde, ainsi que de nombreuses IST.

      Lorsqu’il n’y a pas de vaccin, de nombreuses personnes sont touchées par la maladie et la propagation de celle-ci est favorisée. L’intérêt de la vaccination est donc double.

      Quand il n’y a pas de vaccin, c’est une bénédiction pour l’industrie pharmaceutique , qui commercialise des traitements extrêmement coûteux.

      La recherche de nouveaux vaccins doit être un objectif central de la recherche médicale. L’activisme anti-vaccinal est un obscurantisme qui tue.


    • foufouille foufouille 7 janvier 2020 13:49

      @Eric F

      sauf que les sources sont trafiquées comme pour tout article antivaxx.


    • louisfine 7 janvier 2020 17:00

      @Désintox
      Pourquoi cet oeil de la matrice ? Concernant les vaccins, on en reparlera dans quelques années, vous pourrez juger l’état de santé de vos proches, bien entendu. Mais vous avez certainement raison, nos élites ne nous veulent que du bien...


    • Parlez moi d'amour Parlez moi d’amour 7 janvier 2020 20:16

      @Désintox
      Quand j’étais au CM2, un gamin de ma classe avait eu la polio. Sans doute avait-il échappé à la vaccination. Il était paralysé à vie.


      Quand ma fille était en CM2 elle avait dans sa classe un gamin victime reconnue médicalement de la vaccination contre la variole. Il ne pouvait pas monter une marche d’escalier seul, ne tenait pas sa tête droite et parlait avec grande difficulté. Il n’aurait sûrement jamais eu la variole mais il était condamné à une vie minable.

      Si Agoravox n’est pas une revue médicale, l’auteur de l’article est lui médecin et pose les bonnes questions relatives à la nécessité d’une vaccination de masse alors que son efficacité n’est pas prouvée. Mais vous préférez gober le discours de politiques-gourous qui ont déjà dument démontré que leurs décisions ne sont pas prises dans l’intérêt de la population mais dans celui de quelques particuliers.


    • foufouille foufouille 7 janvier 2020 20:23

      @Parlez moi d’amour

      j"ai connu une personne paralysée par la polio.

      la science n’est pas magique et merveilleuse ni fiable à 100% comme un vaccin donc tu peux chopper la maladie.

      tu n’es pas une voiture.


    • popov 8 janvier 2020 08:23

      @Désintox

      Article anti-vaccination. 

      J’ai lu l’article et je ne trouve pas qu’il est anti-vaccination. 
      Il met en doute l’efficacité du Gardasil, attire l’attention sur sa dangerosité et conteste l’obligation de recevoir ce vaccin.

    • zingiberofficinale777 8 janvier 2020 19:54

      1 on peut être très favorable à la vaccination dans son ensemble et hostile à un ou plusieurs vaccins particuliers

      2 les auteurs se sont-ils exprimés contre le vaccin polio, contre le vaccin diphtérie, contre la majorité des vaccins en général ?

      3 ce qui vaut pour Agoravox vaut pour n’importe quel journal A chacun de suivre les pistes, les sources, d’en trouver d’autres, de comparer, de réfléchir à la validité de chacune


    • eau-du-robinet eau-du-robinet 8 janvier 2020 21:12

      @ Désintox
      .
      Ici sur Agoravox ce ne sont pas les « Pharmaco » qui dictent les textes des auteurs.
      .
      https://www.youtube.com/watch?v=N7jKp26YGDI
      .

      Indication officielle du Gardasil : prévenir le cancer du col de l’utérus en ciblant les virus papilloma humain. Est–ce en bonne voie ?

      .

      Pourquoi étudier l’efficacité des vaccins anti HPV contre le cancer du col ? Une propagande mondiale massive mensongère utilise la peur pour pousser les parents à vacciner leurs enfants, n’hésitant pas à les culpabiliser. La révélation des nombreuses complications ne ralentit pas l’hystérie vaccinale !!!

      .

      Le président, Mme Buzyn et 50 sociétés savantes, syndicats et associations sponsorisés par l’industrie ont proclamé leur volonté d’imposer la vaccination. En juillet 2018, 8 députés ont déposé un amendement de loi pour rendre cette vaccination obligatoire, et à nouveau sept autres en 2019.
      http://docteur.nicoledelepine.fr/gardasil-futur-scandale-sanitaire-malgre-les-alertes/


    • Dr Destouches Dr Destouches 6 janvier 2020 18:57

      Un journal subventionné par l’état écrit ce qu’on lui ordonne


      • coquecigrue coquecigrue 6 janvier 2020 22:25

        @Dr Destouches Le canard n’est pas subventionné, il est seulement devenu toxique ! Non critique, non satirique, un peu délateur... Le nouveau Bouvard et Pécuchet....


      • bebert bebert 7 janvier 2020 10:44

        @coquecigrue
        il est devenu le canard boiteux un peu comme le « monde » à la solde des LREM


      • Dr Destouches Dr Destouches 7 janvier 2020 14:28

        @coquecigrue
        413 922 euros par an. 

        500.000 euros par an de subventions publiques pour le Canard Enchainé ? C’est vrai ? C’est faux ?

        C’est faux ! Et le Canard Enchaîné s’en est expliqué dans un article très complet. Rappelons d’abord que l’hebdomadaire satirique paraissant le mercredi fonctionne sans publicité. Ensuite, il est vrai que le Canard Enchaîné a bénéficié d’aides indirectes pour le portage : en clair chaque année, l’État subventionne La Poste pour l’aider à acheminer les journaux dans les kiosques, les marchands de journaux ou chez les abonné-es. Dans ces subventions d’État à la Poste, le Canard représente 413 922 euros par an. Il ne s’agit donc pas de subventions de 500 000 euros qui vont dans les caisses du Canard.


      • Eric F Eric F 6 janvier 2020 22:06

        Lorsqu’il est question de cette vaccination à la télévision, on nous le présente comme une vaccination contre le cancer vaginal (non pas contre un virus provoquant une infection qui pourrait éventuellement favoriser ce cancer). Alors justifier l’extension de cette vaccination aux garçons leur est difficile, aussi ils évoquent-ils évasivement le risque de cancer génital ou anal chez l’homme.


        • njama njama 7 janvier 2020 10:14

          @Eric F
          Oui tout à fait et c’est de plus la première fois dans l’histoire de la vaccination qu’un(e famille) de virus serait prétendument non plus seulement pathogène mais oncogène, changement de paradigme invraisemblable puisque le lien de causalité infections papillomavirus >> cancer (vaginal, anal, orl) n’est pas pour l’heure démontré et qu’il ne pourrait l’être avant 2 ou 3 décennies.
          Nous sommes donc face à une véritable forgerie intellectuelle car tout est basé sur une hypothèse, une forgerie politique car la priorité de santé publique est loin d’être évidente, éthique et déontologique car c’est tromper les patients comme leur parents puisque la cible vise les adolescents... forgerie qualifiée en langage commun de charlatanisme

          CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MÉDECINS

          Article 39 ( = Article R4127-39 du code de la santé publique)

          LES MÉDECINS NE PEUVENT PROPOSER AUX MALADES OU A LEUR ENTOURAGE COMME SALUTAIRE OU SANS DANGER UN REMÈDE OU UN PROCÉDÉ ILLUSOIRE OU INSUFFISAMMENT ÉPROUVÉ.

          TOUTE PRATIQUE DE CHARLATANISME EST INTERDITE.


        • zingiberofficinale777 8 janvier 2020 08:32

          @njama hélas, ce n’est pas la première fois...ni la dernière. Le cas le plus connu, (quoique contesté mais les chiffres ne trompent pas) est le SV40, virus simien ayant contaminé des vaccins polio et environ cent mille personnes... et qu’on retrouve à un incidence incroyablement élevée dans certains cancers ; os, cerveau, mésothéliome... Alors on vous dira que non, no problemo, le virus serait oncongène sur toutes sortes de mammifères mais pas sur nous....
          La question des contaminations vaccinale est loin d’être réglée puisque c’est un risque, faible mais bien réel, qu’on ne peut pas éliminer à l’heure actuelle 


        • njama njama 8 janvier 2020 11:16

          @zingiberofficinale777
          Vous confondez virus sauvage et virus vaccinal...


        • leypanou 6 janvier 2020 22:40

          Comment le plumitif jadis bien informé s’est-il transformé en représentant de commerce de Sanofi ? 

           : cela montre les limites du Canard.

          Sur le conflit du MO aussi, j’avais remarqué un certain parti pris il y a très longtemps, ce qui m’a fait bannir le Canard de mes lectures.

          J’aimerais d’ailleurs savoir s’il y a des liens entre R Fressoz du Canard et la Fressoz du Monde, régulièrement invitée sur les chaînes publiques de tv.


          • Eric F Eric F 7 janvier 2020 10:48

            @leypanou
            « cela montre les limites du Canard »
            Il n’y a pas forcément turpitude ou intérêts sordides, de manière générale sur les question de santé comme celles de l’environnement ou de la sécurité routière, la presse se considère investie d’une mission de relai de la bonne parole (un peu comme les instituteurs rappellent aux élèves qu’il faut traverser dans les passages piéton). Quitte à en faire trop, par principe de précaution à leurs yeux (c’est un sentiment répandu dans les « élites », qu’il ne faut pas instiller le doute sur un point de peur qu’il ne se généralise).


          • louisfine 7 janvier 2020 06:54

            Tout à fait d’accord. Le canard est un agent double, qui fait semblant de s’en prendre à l’Etat, mais qui a ses entrées secrètes, tout ceci afin noyer le poisson. Après 30 ans de lecture, et donc d’analyse, c’est facile à comprendre. La fourberie dans toute sa splendeur.


            • zygzornifle zygzornifle 7 janvier 2020 09:29

              12 ans après sa mise sur le marché, le vaccin anti HPV n’a toujours pas démontré qu’il pouvait diminuer le risque de cancer. 

              Par contre depuis 12 ans le labo se gave de bon pognon ....


              • Eric F Eric F 7 janvier 2020 10:51

                @zygzornifle
                En répandant l’idée générale que le cancer peut être d’origine virale, les vaccinologues se préparent un avenir radieux.


              • zingiberofficinale777 8 janvier 2020 08:38

                @zygzornifle
                Merck a aussi démontré par ailleurs et à plusieurs reprises ses dispositions à la fraude et à la dissimulation


              • Dr Destouches Dr Destouches 7 janvier 2020 15:06

                Sous Nixon dans les années 70,grande campagne pour la recherche de virus à l’origine des cancers,avec des milliards de credits,pour éviter de parler des vrais causes,les toxiques

                Vers 9O aucun résultat,les crédits devant être supprimés, on a inventé le virus du SIDA ,afin de maintenir les crédits

                Le virus n’a jamais été isolé sur des critères scientifiques ,de même que le virus de l’Hépatite C

                Par contre les traitements et analyses bio ,rapportent des fortunes

                46.988 euros. Voici le prix de vente d’Harvoni en France, ce médicament contre l’hépatite C, pour un traitement qui dure en général 12 semaines pour chaque patient. 46.988 euros ! Lab Gilead

                SIDA

                1.000 à 1.500 euros : le coût mensuel de la trithérapie






                • alinea alinea 7 janvier 2020 15:19

                  C’est curieux comme la science est sujette à débats et controverses comme n’importe quelle religion !

                   suffirait d’arrêter de faire croire aux citoyens « qu’on » pense pour lui, « qu’on » lui concocte un monde sans souci, sans maladie, et bientôt, j’en suis sure, sans mort !

                  J’ai trois amies qui ont eu le cancer du col de l’utérus, à 38 ans, toutes les trois en ont été stérilisées(!) et vingt ou trente ans plus tard, se portent comme un charme même si, leur équilibre hormonal n’a pas toujours été au top, mais elles n’étaient pas les seules.

                  Quand plus personne ne croira au père noël, Big pharma deviendra une officine comme une autre !

                  Quand nous serons responsables de notre santé, je parie que nous irons beaucoup mieux.

                  Quand la médecine sera là pour aider à nous soigner et pas prendre possession de nous, le métier de médecin redeviendra noble.

                  ...


                  • njama njama 7 janvier 2020 17:54

                    @alinea
                    J’ai trois amies qui ont eu le cancer du col de l’utérus, à 38 ans, toutes les trois en ont été stérilisées(!)

                    Contrairement à la théorie (La Médecine Nouvelle Germanique*) du Dr Hamer (pour ceux qui connaissent), la médecine « d’école » n’apporte aucun sens à l’apparition et la présence d’un cancer du col de l’utérus (comme aux autres cancers en général hormis intoxications, carences )... elle sort le scalpel, taille dans le lard, irradie ou éradique, ... et devant ce vide épistémologique abyssal elle nous propose de l’expliquer aujourd’hui par la présence d’infections papillomavirus qui en seraient responsables, or tout cela n’est que pure hypothèse, et expérimentations qui transforme(ro)nt des centaines de milliers d’adolescent(e)s en « cobayes ».
                    La médecine d’école n’est pas une science.

                    * Germanische Heilkunde, qui fait référence à Heil (guérison), Heilen (guérir) Verkünden (proclamer la bonne nouvelle) et kundig (expert, compétent).
                    http://ungraindesable.the-savoisien.com/public/pdf/Hamer_Ryke_Geerd_-_La_Nouvelle_Medecine_Germanique.pdf


                  • njama njama 7 janvier 2020 18:26

                    Corps et esprit #7 : Quand l’urgence de trouver un géniteur se transforme en cancer du col utérin…

                    http://creer-une-meilleure-vie.com/corpspsy7coluterin/


                  • foufouille foufouille 7 janvier 2020 18:40

                    @njama

                    lien totalement débile.


                  • njama njama 7 janvier 2020 19:25

                    @foufouille
                    Essayez donc de mettre en 2020 sur Agoravox des commentaires un peu plus consistants au lieu de vous suffire (comme un ado attardé ou un hypothyroïdien ?) de dire que c’est « débile »... ce qui flirte avec le mépris, ou la condescendance.
                    L’article vous permet de vous exprimer sur le sujet, si tant est que vous l’ayez compris (?)
                    foufouille, un peu d’effort que diable !

                    N et G Delepine sont tous les deux oncologues, peut-être nous gratifieront-ils d’un petit commentaire sur la théorie du Dr Hamer (qui semble vous chagriner), dont je ne doute pas un instant qu’ils l’ignorent... et déjà subodorent qu’ils n’en méprisent pas la trame et la pertinence, même s’ils n’adhèrent pas complétement à cette thèse.


                  • foufouille foufouille 7 janvier 2020 19:31

                    @njama

                    désolé mais je ne ferais aucun effort inutile vu ton lien.

                    la médecine est beaucoup plus compliqué qu’une couche de connerie de ton assassin.


                  • njama njama 7 janvier 2020 22:34

                    @foufouille
                    quel assassin au juste ?
                    La médecine n’est pas une science... qu’on se le dise ou que l’on nous démontre le contraire... et puisqu’elle ne l’est pas en quoi pourrait-elle être un faire-valoir qui justifierait un fascisme sanitaire ?... a antipodes de la « liberté thérapeutique »...
                    « la vaccination contre le papillomavirus, acte emblématique de prévention, qui DOIT ÊTRE FAITE à l’âge de 11 ans. »

                    dixit la ministre Dame Buzyn pour introduire la vaccination, elle ne s’en cache pas ! (Article 39) séance du 16 novembre 2018 au sujet de l’Article 39

                    Plus (facho) injonctif tu meurs !
                    Drôle de conception de la (soi-disant) « démocratie sanitaire » si chère à sa prédécesseur Dame Marisol Touraine, n’est-ce pas ? car cela en est à se demander combien de microgrammes de déontologie médicale il lui reste dans le cerveau à cette Dame Buzyn pour tenter de cornaquer sans vergogne les ados français(e)s de cette manière avec son vaccin Gardasil qui ne protégera jamais contre un cancer mais au mieux contre quelques infections HPV.

                    Merci de répondre au moins à cette question Monsieur foufouille faute de commenter l’article...


                  • zingiberofficinale777 8 janvier 2020 08:40

                    @njama
                    pour que l’article ait l’air sérieux il faudrait par ex un chiffre montrant que ce cancer touche davantage des femmes n’ayant jamais pas eu d’enfants


                  • njama njama 8 janvier 2020 10:13

                    @zingiberofficinale777
                    Je pense que vous n’avez pas compris la situation psychologique de cette personne (Helena) dans cet exemple, abandonnée à la naissance... puis abandonnée par son mari.
                    Plus généralement il s’agit d’un conflit de frustration sexuelle et territorial qui pourrait résulter d’autres situations, comme d’une situation d’adultère par exemple.
                    Donc ce qui déclenche le processus cancéreux, « un œdème » autrement nommé tumeur n’est pas nécessairement lié au fait d’avoir eu ou non des enfants.

                    La cause est donc « contextuelle » et propre à chaque individu comme l’affirme le Dr Hamer, c’est aussi ce qu’affirmait autrement jusqu’à il y a peu la médecine d’école sur le cancer du col de l’utérus

                    Facteurs de risque connus selon la Société canadienne du cancer :

                    > Virus du papillome humain (VPH) La majorité des femmes qui développent un cancer du col de l’utérus ont déjà souffert d’une infection au VPH. ...
                    > Tabagisme. ...
                    > Accouchements multiples. ...
                    > Activité sexuelle. ...
                    > Système immunitaire affaibli. ...
                    > Statut socio-économique. ...
                    > Diéthylstilbestrol. ... (sinistrement connu en France sous le nom de Distilbène retiré du marché en 1977
                    > Contraceptifs oraux.



                  • njama njama 8 janvier 2020 10:26

                    La fraude intellectuelle de l’OMS et de ses satellites FDA, HAS, Académie de médecine... consiste à affirmer la soi-disant responsabilité d’infections HPV comme cause essentielle et quasi unique du cancer du col en faisant totalement abstraction de ces causes multifactorielles qui était largement admises par la clinique.

                    L’OMS écrit :« Pratiquement tous les cas de cancer du col (99%) sont liés à une infection à HPV ». https://www.who.int/bulletin/volumes/89/9/11-030911/fr/

                    Cela ne se pourrait lorsque on sait que les HPV sont absents de nombreuses lésions cervicales, ou à l’inverse que les infections HPV ne sont pas toujours accompagnées de lésions précancéreuses.

                     Mexican scientist cures the Human Papilloma Virus

                    « She [Eva Ramon Gallegos, a researcher from Mexicon National Polythecnic Institut (IPN)] also explained that besides eradicating HPV, the main cause béhind cervical cancer, photodynamic thérapy is also used to eliminate premalignant lesions of cervical cancer in its first satges. The results of her investigations show that she was able to eradicate HPV in 100 % of the patients who had the virus but had no premalignant lesions, 64,3 % in women with HPV and lesions, and 57,2 % in women who had lesions but don’t have HPV »

                    une bonne moitié des femmes (57,2 %) qui ont des lésions cervicales n’ont pas de HPV... même si l’échantillon est faible il est suffisant pour dire contredire l’affirmation de l’OMS !
                    l’article source en espagnol :
                    « Los resultados de los estudiados de Eva Ramón Gallegos arrojó los siguientes resultados : se logró eliminar el VPH en el 100% de las pacientes que lo portaban sin tener lesiones pre malignas, 64,3 por ciento en las mujeres con VPH y lesiones, y el 57,2 por ciento en quienes presentaban lesiones sin VPH. »

                    (trad) : « Les résultats des études d’Eva Ramón Gallegos ont donné les résultats suivants : il a été possible d’éliminer le HPV chez 100 % des patients qui le portaient sans lésions pré-malignes (ou précancéreuses), 64,3% chez les femmes atteintes de HPV et de lésions, et 57,2% chez celles qui présentaient des lésions sans HPV ».


                  • njama njama 9 janvier 2020 09:34

                    @zingiberofficinales777

                    Il y a des cas rares de cancers cervicaux chez des femmes vierges (rares (en raison qu’elles sont une espèce plus rare) comme quoi ni les HPV, ni la sexualité ne sont conditions nécessaires à l’émergence lésions cervicales cancéreuses... ce qui démontre que le postulat d’un lien entre infections HPV et cancer du col est falsifiable (anglicisme au sens de réfutable ; est falsifiable une théorie scientifique dont une expérience ou un calcul permettrait de démontrer la fausseté)

                    Cervix adenocarcinoma in a virgin patient with negative human papillomavirus.
                    González-Ballano I, Aragón-Sanz MA, Guardia-Dodorico L, Pérez-Ezquerra BR.
                    Abstract
                    Cervical cancer in virgin women is extremely rare. We present the case of a 36-year-old patient without any type of sexual contact with sensation of lump in external genitalia referring only irregular bleeding in the previous two months, finding in vaginal examination an indurated mass in vaginal introitus with result in the biopsy of adenosquamous adenocarcinoma. The evolution of the tumor was very aggressive in spite of trying palliative chemotherapy, and patient died two months after of diagnosis with lung, liver and brain metastases. Cervical human papillomavirus testing was negative. What unusual of these cases does not justify the cytology as the only method of screening for cervical cancer.

                    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26727757

                    Cervical uterine cancer in a virgin young woman – Case report
                    I. Pestana, A. Costa, R. Gorgal, R. Mota, R. Portugal & V.Paiva

                    https://www.tandfonline.com/doi/full/10.3109/01443615.2014.992870
                    Cancer of the cervix in a virgin with intact hymen
                    A.F. Lash, Ph.D., M.D.a,b
                    https://www.ajog.org/article/S0002-9378(40)90481-1/abstract


                  • Le Comtois 7 janvier 2020 18:28

                    Le patron du labo, juste un copain a Jupiter, ne cherchez pas plus loin...


                    • TSS 7 janvier 2020 18:51

                      Le redacteur en chef du « canard » est pro macron ,tous les autres

                      journalistes sont contre,ils n’arrivent pas à le virer !!

                      En ce qui concerne l’article je me garderai de critiquer l’auteur dont

                      c’est le metier,ce n’est pas le mien et la simple lecture d’articles

                      scientifiques ne remplace pas les connaissances... !!


                      • Bertrand Loubard 8 janvier 2020 11:00

                        Merci pour cet article
                        « En 2011-2012, le Rwanda a vacciné 227 246 jeunes filles avec les trois doses du vaccin contre le virus du papillome humain (VPH). Parmi les jeunes filles admissibles, les taux d’administration des trois doses ont atteints 93,2% et 96,6% en 2011 et 2012, respectivement ».
                        https://www.who.int/bulletin/volumes/91/9/12-116087-ab/fr/
                        Comme la mortalité par famine, par exécutions extrajudiciaires, crimes de guerre et crimes de génocide est assez élevée sous le régime dictatoriale du Président Paul Kagamé, il est évident que les statistiques de mortalité par cancer du col de l’utérus ne cesseront de s’améliorer au Rwanda. En effet, déjà, pour ce qui est des statistique du PIB, de la dette extérieur, des dépenses militaires, de la croissance économique, des exportations, l’Expert de la Banque Mondiale, ayant refusé d’entériner les « excellents résultats techniqués » par le Gouvernement rwandais, a été licencié. Donc il faut bien s’attendre à ce que les experts de l’OMS aient compris la leçon.


                        • njama njama 8 janvier 2020 11:25

                          227.246 x 533 €* = 121.122.118
                          soit 120 millions d’€ ... grosse dépense pour un pays à faible revenu !
                          et qui finance ?
                          Le Rwanda terrain d’expérimentation vaccinal ?
                          * coût en France indiqué dans l’article pour 3 doses


                        • Bertrand Loubard 8 janvier 2020 11:49

                          @njama
                          Bon calcul, bon constat, bonne question .... A quelques kilomètres de Kigali, à Goma c’est la « guerre » entre les deux vaccins en concurrence dans le cas de l’ « épidémie » Ebola. Ce qui rappelle étrangement les épisodes de la « saga » du vaccin antipolio, 1950-1951 .... dans cette même région avec les « mêmes intérêts » chez les « acteurs » .... (Koprowski – Sabin) ....


                        • njama njama 9 janvier 2020 08:32

                          @Bertrand Loubard

                          Une série des études récentes montrent que le vaccin DTC (diphtérie, tétanos, coqueluche) (DTP (coqueluche « pertussis » en anglais) induit un taux de mortalité globale plus élevé que chez les enfants non-vaccinés !
                          Evidence of Increase in Mortality After the Introduction of Diphtheria–Tetanus–Pertussis Vaccine to Children Aged 6–35 Months in Guinea-Bissau : A Time for Reflection ?
                          Peter Aaby,1,2,* Søren Wengel Mogensen,1 Amabelia Rodrigues,1 and Christine S. Benn2,3 — Published online 2018 Mar 19.
                          […] Conclusion
                          Although having better nutritional status and being protected against three infections, 6–35 months old DTP-vaccinated children tended to have higher mortality than DTP-unvaccinated children. All studies of the introduction of DTP have found increased overall mortality.

                          (trad. : Bien qu’ayant un meilleur état nutritionnel et étant protégés contre trois infections, les enfants de 6 à 35 mois vaccinés contre le DTC avaient tendance à avoir une mortalité plus élevée que les enfants non vaccinés avec le DTC. Toutes les études sur l’introduction du DTC ont révélé une augmentation de la mortalité globale.)
                          https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5868131/

                          Peter Gøtzsche, ex-Cochrane s’est penché récemment sur ces études

                          Expert Report Effect of DTP Vaccines on Mortality in Children in Low-Income Countries
                          JUNE 19, 2019 Peter C. Gøtzsche, Professor, DrMedSci, MSc
                          VII. Final Remarks and Conclusions
                          […] We base our decisions on the best available evidence, and this evidence tells us that it is likely that the DTP vaccine increases total mortality in low-income countries. I therefore believe no one should be offered this vaccine without full informed consent that includes information that the vaccine is likely to increase total mortality.
                          I also believe that the vaccine should not be recommended
                          and that, if anyone wants to use it, it must be as part of a large randomized trial. I consider the need for randomized trials an urgent ethical imperative.
                          Aaby and colleagues have pointed out that the WHO uses the DTP vaccine as a marker for good coverage of vaccination in general (3). The WHO has operated with reaching a “milestone of 90% national coverage with 3 doses of diphtheria-tetanus-pertussis vaccine (DTP3) in all countries by 2015” (9). This should not happen. Program performance indicators should be those which are known to be positively associated with better child survival (3).

                          https://vaccinescience.org/wp-content/uploads/2019/07/Expert-Report-Effect-of-DTP-Vaccines-on-Mortality-in-Children-in-Low-Income-Countries.pdf

                          traduction :
                          Nous fondons nos décisions sur les meilleures données disponibles, et ces données nous indiquent qu’il est probable que le vaccin DTC augmente la mortalité totale dans les pays à faible revenu. Je crois donc que personne ne devrait se voir offrir ce vaccin sans un consentement éclairé complet qui comprend des informations selon lesquelles le vaccin est susceptible d’augmenter la mortalité totale.
                          Je crois également que le vaccin ne devrait pas être recommandé et que, si quelqu’un souhaite l’utiliser, il doit faire partie d’un vaste essai randomisé. Je considère la nécessité d’essais randomisés comme un impératif moral urgent.

                          Aaby et ses collègues ont souligné que l’OMS utilise le vaccin DTC comme marqueur d’une bonne couverture de la vaccination en général (3). L’OMS a atteint l’objectif « d’atteindre une couverture nationale de 90% avec 3 doses de vaccin antidiphtérique-tétanique-anticoquelucheux (DTC3) dans tous les pays d’ici 2015 » (9). Cela ne devrait pas arriver. Les indicateurs de performance du programme devraient être ceux dont on sait qu’ils sont associés positivement à une meilleure survie de l’enfant (3).


                        • njama njama 8 janvier 2020 15:51

                          Au sujet des obligations vaccinales la nouvelle Proposition de loi N° 2093 du 2 juillet 2019* ne vise qu’à ajouter la vaccination contre les infections papillomavirus à la liste des 11 vaccins rendus obligatoires pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018 « pour l’admission ou le maintien dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants. » (sic) (Article L3111-2 du Code de la santé publique)

                          * Article 1er Le I de l’article L. 3111-2 du code de la santé publique est complété par un alinéa ainsi rédigé : « 12° Contre le papillomavirus. »

                          Les ados actuels nés avant 2018 ne sont pas concernés par les 11 obligations, hormis les valences DTP, les autres vaccins cités n’étant que « recommandés » comme dans la plupart des pays européens.

                          On voit donc mal comment des ados qui se soustrairaient à cette obligation numéro 12 (si toutefois elle était votée) se verraient refuser de poursuivre leur scolarisation... c’est simplement impossible et administrativement ingérable de contrôler qui serait vacciné, de qui ne le serait pas.


                          • njama njama 8 janvier 2020 16:04

                            Ajoutons que les Carnets de santé de l’enfant n’ont pas à être communiqués aux autorités scolaires ou administratives.

                            « La consultation du carnet de santé de l’enfant est soumise à l’accord de ses parents.
                            Elle est réservée aux professionnels de santé dans le cadre de soins ou d’actes de prévention délivrés à l’enfant. »

                            https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F810


                          • gaijin gaijin 8 janvier 2020 17:26

                            @njama
                            « c’est simplement impossible et administrativement ingérable de contrôler qui serait vacciné, de qui ne le serait pas. »
                            si c’est possible avec le retour du service militaire ...a l’incorporation on ne nous a demandé ni carnet ni quoi ni qu’est ce et tous vaccinés manu militari ( c’est le cas de le dire ) contre je n’ai jamais su quoi ...( et ben non mon corps n’est pas ma propriété mais celle de l’état ) et celui voulait vraiment pas ils s’y sont mis a 5 ( 4 pour le tenir )


                          • njama njama 8 janvier 2020 19:21

                            @gaijin

                            Cette vaccination de masse des jeunes appelés du contingent était une totale aberration médicale au plan préventif épidémiologique puisque seuls les mâles étaient vaccinés, et donc la si fameuse couverture vaccinale tant évoquée pour vacciner et protéger les populations ... c’est forcément du pipeau puisque sans vergogne à contresens du bon sens pendant des décennies les femmes et les enfants ne l’étaient pas.

                            Quelle croustillante preuve de l’imbécilité abyssale des services de santé publique !


                          • gaijin gaijin 9 janvier 2020 12:07

                            @njama
                            " preuve de l’imbécilité abyssale des services de santé publique !

                            "
                            pas du tout il faut juste admettre qu’ils travaillent dans l’intérêt de la médecine ( des labbos ) et non pas de la santé ...
                            et avec le nouveau système ça sera bien mieux puisque ça va concerner filles et garçons ...


                          • hans-de-lunéville 9 janvier 2020 17:23

                            @gaijin
                            ah ! la fameuse TABDT, une belle épreuve, douleur dans l’épaule plusieurs jours et au moins un jour à jeun... je n’ai pas été malade mais certains ont dérouillé.


                          • njama njama 8 janvier 2020 16:03

                            Le ministère de la santé n’ignore pas également que la vaccination anti-HPV à partir de 11 ans ne pourrait être administrée quelque soit le lieu où serait organisée la vaccination, en milieu scolaire ou non, sans l’incontournable consentement des parents, ainsi qu’il ressort du document de l’ OMS de 2014 :

                            OMS : CONSIDÉRATIONS RELATIVES AU CONSENTEMENT Á LA VACCINATION DES ENFANTS ET ADOLESCENTS ÂGÉS DE 6 Á17 ANS.

                            « Le consentement découle du principe d’autonomie ; c’est une notion importante pour l’éthique médicale et l’éthique de la santé publique, ainsi que pour le droit international.2 » ...« Dans les systèmes juridiques de la plupart des pays, l’âge légal du consentement coïncide avec l’âge de la majorité, le plus souvent fixé à 18 ans. Il s’ensuit qu’un enfant ou un adolescent, âgé de 6 à 17 ans, ne peut pas donner son consentement à la vaccination et que, par conséquent, celui ci doit normalement être obtenu auprès de ses parents ou de son tuteur légal. »

                            PDF 8 pages http://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/259419/WHO-IVB-14.04-fre.pdf?sequence=1&isAllowed=

                            source : http://www.who.int/iris/handle/10665/259419


                            • njama njama 8 janvier 2020 19:12

                              Pour mettre en œuvre cette vaccination anti-HPV le ministère a sciemment procédé à une modification du calendrier du Suivi médical de l’enfant  en déplaçant 3 consultations obligatoires qui existaient déjà pour l’âge infantile vers l’âge « pré-ados » et « ados »avec l’intention évidente d’inciter à cette vaccination ! Il s’agit donc bien d’une politique dirigiste, coercitive...

                              Suivi médical de l’enfant : examens médicaux obligatoires
                              Les enfants sont soumis à 20 examens médicaux obligatoires au cours des 16 premières années.
                              Entre 8 et 9 ans : 1 examen

                              Entre 11 et 13 ans : 1 examen
                              Entre 15 et 16 ans : 1 examen

                              https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F967

                              Il y a également ces lois très récentes qui datent de 2016 qui autoriseraient (médecins, sage-femmes, infirmiers) sous certaines conditions de se passer du consentement parental si le (la) mineur(e) souhaite garder le secret sur son état de santé, en gros ne pas avoir à révéler qu’elle aurait pu déjà avoir des rapports sexuels ce qui augmenteraient notablement les risques liés à cette vaccination...

                              Par dérogation à l’article 371-1 du code civil] La loi autorise les enfants mineurs à se passer du consentement des parents en ce qui concerne la santé sexuelle et reproductive (articles L 1111-5 et L 1111-5-1 du Code de la Santé Publique).


                            • njama njama 9 janvier 2020 13:58

                              L’efficacité des vaccins anti-papillomavirus ne pourra qu’être aussi dérisoire qu’une ligne Maginot car les 3 vaccins existants ne protègent que contre les infections HPV 16 et HPV 18 pour le Cervarix et le Gardasil 4, et contre 7 HPV parmi 23 dits à « hauts risques » pour le Gardasil 9

                              We considered low-risk HPV types as HPV type 6, 11, 32, 40, 42, 44, 54, 55, 61, 62, 64, 71, 72, 74, 81, 83, 84, 87, 89, and 91 ;

                              and high-risk HPV types as HPV type 16, 18, 26, 31, 33, 35, 39, 45, 51*, 52, 53*, 56*, 58, 59, 66, 67, 68, 69, 70, 73, 82, 85, and IS39.

                              cibles HPV Gardasil_9 en gras, cibles HPV additionnelles du Gardasil_9 : 31, 33, 45, 52 et 58 

                              * « Le vaccin 9 valent sera modérément utile en France car il ne contient pas les 3ème, 6ème et 7ème génotypes qui sont les plus fréquents chez nous qui sont les HPV 51, 56 et 53 » avait déclaré Isabelle Heard de l’Institut Pasteur au site médical Medscape, en 2014."

                              * source : Prevalence of HPV Infection Among Females in the United States. JAMA.2007 ; 297 : 813-819, (février 2007). Et le texte complet


                              • njama njama 9 janvier 2020 14:07

                                Ce qui corrobore tout à fait ce qu’écrivaient déjà Catherine Riva journaliste & Jean-Pierre Spinosa gynécologue-obstétricien en 2010 dans leur livre (essai d’investigation) « La piqûre de trop ».

                                « On apprend que la protection du vaccin est de 14 à 27 % (p.52), c’est-à-dire ridicule ; que les statistiques sont surévaluées ; que 90% des infections à HPV disparaissent spontanément ; que le coût de la vaccination est absolument prohibitif par rapport aux économies réalisées sur le traitement des cancers du col déclarés ; qu’on a fait disparaître les témoins des études en les vaccinant après l’étude, ce qui supprime toute possibilité de faire des comparaisons plus tard ; que les contrats et lois sur la prise en charge des vaccins par les états étaient signés avant les conclusions des études !

                                On a fait croire que le risque pour les jeunes filles d’être infectées par un HPV était de 70 % alors qu’on a montré aux USA qu’une infection à HPV 16 a été détectée chez 1,5 % des femmes et une infection à HPV 18 chez 0,8 % des femmes et que seulement 20 à 25 % de celles-ci , infectées à haut risque, développera un cancer in situ CIN 2 + ou un cancer. »

                                Catherine Riva journaliste & Jean-Pierre Spinosa gynécologue-obstétricien

                                http://www.coordiap.com/public4857-piqure-de-trop.htm


                              • Julot_Fr 10 janvier 2020 10:36

                                Il y a une resistance considerable et grandissante quoique cachee contre les vaccins..cependant les psychos continuent d imposer plus de vaccins obligatoires.. que peut on faire ?


                                • njama njama 10 janvier 2020 13:21

                                  @Julot_Fr
                                  que peut on faire ?

                                  s’abstenir comme pour le vote, éviter les vaccinations. C’est d’ailleurs ce qu’il s’est passé lors de cette campagne H1N1 totalement bidonnée qui fut très peu suivie.

                                  Juridiquement il ne peut pas, en aucun cas, y avoir d’obligation « absolue » de se faire vacciner ou de vacciner ses enfants, même en cas de pandémie ! Les Conclusions de l’Avis 106 du Comité Consultatif National d’Éthique du 5 février 2009 l’ont confirmé.
                                  Les autorités sanitaires n’ignorent pas que le consentement de la personne ou du tuteur légal est incontournable, c’est une question éthique, déontologique, c’est pour cela que par des biais ils renforcent les situations coercitives, pour l’admission dans les crèches, garderies, écoles, pour certaines formations universitaires médicales ou paramédicales, ou pour accéder à certaines professions, militaires, pompiers, pompes funèbres,... **
                                  Ceux qui n’acceptent pas de s’y soumettre restent libres, ne peuvent être poursuivis pénalement mais s(er)ont simplement exclus d’une partie de la société civile.
                                  Sous couvert d’une soi-disant démocratie sanitaire nous avons affaire à une dictature sanitaire très idéologique de plus en plus hostile à la liberté thérapeutique.

                                  ** https://professionnels.vaccination-info-service.fr/Recommandations-vaccinales-specifiques/Professionnels-exposes-a-des-risques-specifiques/Professionnels-de-sante


                                • njama njama 10 janvier 2020 14:08

                                  « De 9 à 13 ans dans un schéma à deux doses, et à partir de 14 ans et plus dans un schéma à 3 doses »

                                  2 doses ou 3 ? EST-CE BIEN SCIENTIFIQUE ? OU UNE STRATÉGIE MARKETING pour cibler des enfants plus jeunes plutôt que des ados et jeunes adultes moins dociles dont certains ont peut-être déjà eu une relation sexuelle ? 2 piqûres au lieu de 3... c’est un deal ! à ceci près que la 3ème piqûre n’apporte rien de plus si ce n’est que d’augmenter les risques iatrogènes.

                                  Comparison of different human papillomavirus (HPV) vaccine types and dose schedules for prevention of HPV‐related disease in females and males
                                  Cochrane Systematic Review - Intervention Version published : 22 November 2019

                                  Authors’ conclusions « L’immunogénicité des calendriers de vaccination contre le VPH à deux et à trois doses, mesurée à l’aide des réponses anticorps chez les jeunes femmes, est comparable (...) » https://doi.org/10.1002/14651858.CD013479

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