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Accueil du site > Actualités > International > L’ultimatum de la Russie aux pays membres de l’OTAN

L’ultimatum de la Russie aux pays membres de l’OTAN

  • Lettre de Sergueï Lavrov aux Etats membres de l'OTAN
  • Réaction de Vladimir Poutine à la réponse de l'OTAN

Texte du message écrit du ministre des Affaires étrangères de la Russie, M. Sergueï Lavrov, sur l'indivisibilité de la sécurité, adressé aux chefs des ministres des Affaires étrangères, Affaires extérieures ou Secrétaires d'Etat des États-Unis, du Canada et de plusieurs pays européens.

Source : Ministère des affaires étrangères de la Fédération de Russie, 1er février 2022

Traduction : lecridespeuples.fr

Vous n'êtes pas sans savoir que la Russie est sérieusement préoccupée par l'aggravation des tensions politico-militaires aux abords immédiats de ses frontières occidentales. Afin d'éviter toute nouvelle escalade, la partie russe a présenté le 15 décembre 2021 les projets de deux documents juridiques internationaux interconnectés – un Traité entre la Fédération de Russie et les États-Unis d'Amérique sur les garanties de sécurité et un Accord sur des mesures visant à assurer la sécurité de la Fédération de Russie et des États membres de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord.

Les réponses des États-Unis et de l'OTAN à nos propositions reçues le 26 janvier 2022 démontrent de sérieuses différences dans la compréhension du principe de sécurité égale et indivisible qui est fondamental pour l'ensemble de l'architecture de sécurité européenne. Nous pensons qu'il est nécessaire de clarifier immédiatement cette question, car elle déterminera les perspectives d'un dialogue futur.

La Charte de sécurité européenne signée lors du Sommet de l'OSCE à Istanbul en novembre 1999 énonçait les principaux droits et obligations des États participants de l'OSCE en matière d'indivisibilité de la sécurité. Elle a souligné le droit de chaque État participant d'être libre de choisir ou de modifier ses accords de sécurité, y compris les traités d'alliances, en fonction de leur évolution, ainsi que le droit de chaque État à la neutralité. Le même paragraphe de la Charte conditionne directement ces droits à l'obligation de chaque État de ne pas renforcer sa sécurité au détriment de la sécurité des autres États. Il précise en outre qu'aucun État, groupe d'États ou organisation ne peut avoir la responsabilité prééminente du maintien de la paix et de la stabilité dans l'espace de l'OSCE ou ne peut considérer aucune partie de l'espace de l'OSCE comme sa sphère d'influence.

Lors du Sommet de l'OSCE à Astana en décembre 2010, les dirigeants de nos nations ont approuvé une déclaration qui réaffirme cet ensemble complet d'obligations interconnectées.

Cependant, les pays occidentaux continuent à n'en retenir que les éléments qui leur conviennent, à savoir le droit des États à être libres de choisir des alliances pour assurer exclusivement leur propre sécurité. Les mots « en fonction de leur évolution » sont impudemment omis, car cette disposition faisait également partie intégrante de la compréhension de la « sécurité indivisible », et plus particulièrement dans le sens où les alliances militaires doivent abandonner leur fonction initiale de dissuasion et s'intégrer dans l'architecture paneuropéenne sur la base d'approches collectives plutôt qu'en groupes étroits. Le principe de sécurité indivisible est interprété de manière sélective comme une justification de la course en cours vers un élargissement irresponsable de l'OTAN.

Lavrov fait référence à ce paragraphe de la Déclaration d'Astana : « La sécurité de chaque État participant est indissociablement liée à celle de tous les autres. Chaque État participant a un droit égal à la sécurité. Nous réaffirmons le droit naturel de tout État participant de choisir ou de modifier librement ses arrangements de sécurité, y compris ses traités d’alliance, en fonction de leur évolution. Chaque État a également le droit à la neutralité. Chaque État participant respectera les droits de tous les autres à ces égards. Aucun État ne renforcera sa sécurité aux dépens de celle des autres.  »

Il est révélateur que les représentants occidentaux, tout en se déclarant prêts à engager un dialogue sur l'architecture de sécurité européenne, évitent délibérément de faire référence à la Charte de sécurité européenne et à la Déclaration d'Astana dans leurs commentaires. Ils ne mentionnent que des documents antérieurs de l'OSCE, particulièrement la Charte de Paris de 1990 pour une nouvelle Europe qui ne contient pas l'obligation de plus en plus « gênante » de ne pas renforcer sa propre sécurité au détriment de la sécurité des autres États. Les capitales occidentales tentent également d'ignorer un document clé de l'OSCE, le Code de conduite de 1994 sur les aspects politico-militaires de la sécurité, qui dit clairement que les États choisiront leurs arrangements de sécurité, y compris l'adhésion à des alliances, « en gardant à l'esprit les préoccupations légitimes de sécurité des autres États ».

Cela ne fonctionnera pas de cette façon. L'essence même des accords sur la sécurité indivisible est que soit il y a sécurité pour tous, soit il n'y a de sécurité pour personne. La Charte d'Istanbul prévoit que chaque État participant de l'OSCE a un droit égal à la sécurité, et pas seulement les pays de l'OTAN qui interprètent ce droit comme un privilège exceptionnel d'appartenance au club « exclusif » de l'Atlantique Nord.

Je ne commenterai pas d'autres directives et actions de l'OTAN qui reflètent l'aspiration du bloc « défensif » à la suprématie militaire et à l'utilisation de la force en contournant les prérogatives du Conseil de sécurité de l'ONU. Qu'il suffise de dire que de telles actions contreviennent aux obligations fondamentales paneuropéennes, y compris les engagements pris en vertu des documents susmentionnés de ne maintenir que des capacités militaires proportionnées aux besoins de sécurité individuels ou collectifs, compte tenu des obligations découlant du droit international, ainsi que des intérêts légitimes de sécurité d'autres États.

Évoquant la situation actuelle en Europe, nos collègues des États-Unis, de l'OTAN et de l'Union européenne lancent des appels constants à la « désescalade » et appellent la Russie à « choisir la voie de la diplomatie ». Nous tenons à rappeler que nous avançons sur cette voie depuis des décennies. Les étapes clés, telles que les documents des sommets d'Istanbul et d'Astana, sont exactement le résultat direct de la diplomatie. Le fait même que l'Occident essaie maintenant de réviser à son avantage ces réalisations diplomatiques des dirigeants de tous les pays de l'OSCE suscite de vives inquiétudes. La situation exige une franche clarification des positions.

Nous voulons recevoir une réponse claire à la question de savoir comment nos partenaires comprennent leur obligation de ne pas renforcer leur propre sécurité aux dépens de la sécurité des autres États sur la base de l'attachement au principe de sécurité indivisible. Concrètement, comment votre gouvernement entend-il s'acquitter dans ses pratiques de cette obligation dans les circonstances actuelles ? Si vous renoncez à cette obligation, nous vous demandons de l'indiquer clairement.

Sans une clarté totale sur cette question clé liée à l'interconnexion des droits et obligations approuvée au plus haut niveau, il est impossible d'assurer l'équilibre des intérêts incarnés dans les instruments des sommets d'Istanbul et d'Astana. Votre réponse permettra de mieux comprendre l'étendue de la capacité de nos partenaires à rester fidèles à leurs engagements, ainsi que les perspectives d'avancées communes vers la diminution des tensions et le renforcement de la sécurité européenne.

Nous nous réjouissons de votre réponse rapide. Elle ne doit pas tarder car il s'agit de clarifier l'accord sur la base duquel Votre Président/Premier Ministre a signé les obligations correspondantes.

Nous espérons également que la réponse à cette lettre sera donnée à titre national, car les engagements susmentionnés ont été pris par chacun de nos États individuellement et non au sein d'un bloc ou au nom de celui-ci.

Note du Cri des Peuples : Par ce nouveau courrier, la Russie ne s'attend pas à autre chose qu'à une réponse aussi inconsistante et grotesque que celle adressée par l'OTAN et l'UE à ses propositions de sécurité sur l'Ukraine. Mais elle tient à ce que tout soit explicitement formulé par écrit avant de prendre les mesures de réciprocité qui ne manqueront pas d'être très douloureuses pour l'OTAN en général et ses Etats membres en particulier. Après avoir reçu une fin de non-recevoir collective, Moscou tient à ce que chaque pays confirme sa position individuellement.

Comme le note Dmitri Orlov, « Les demandes de garanties de sécurité russes ne sont pas des ultimatums. Un ultimatum est une sorte de "ou bien", offrant un choix entre la conformité et les conséquences, alors que dans ce cas, la non-conformité et les conséquences suivront automatiquement. L’Occident et l’OTAN sont, pour des raisons de politique intérieure bien comprises, incapables de signer ces garanties ; les conséquences se feront donc sentir en temps voulu.

La Russie a exigé que les États-Unis et l’OTAN mettent par écrit leur refus d’accepter les garanties de sécurité ; ces morceaux de papier seront importants pour la suite. Pour comprendre pourquoi, nous devons tenir compte du fait que tout ce qui fait partie de ces garanties de sécurité a déjà été accepté par l’Occident, à savoir la garantie que l'OTAN ne s'étendrait "pas d'un pouce vers l’est" donnée aux Russes par les États-Unis il y a 30 ans et le principe de sécurité collective accepté par tous les membres de l’OSCE. En signant un document dans lequel ils déclarent leur refus de se conformer à ce qu’ils ont précédemment accepté, les États-Unis et l’OTAN se déclareraient essentiellement apostats du droit et de l’ordre internationaux. Cela impliquerait à son tour que leurs propres besoins de sécurité peuvent être ignorés et qu’ils méritent d’être humiliés et punis.

En outre, en mettant leur refus par écrit, les États-Unis et l’OTAN déclareraient que le principe de sécurité collective lui-même – en particulier en ce qui concerne les États-Unis et l’OTAN – est nul et non avenu, ce qui signifie que si, par exemple, les Bahamas, une nation souveraine depuis le 10 juillet 1973, décidaient de renforcer leur souveraineté en accueillant une batterie de missiles russes pointée à travers le Gulf Stream sur Miami et Fort Lauderdale, en Floride, les États-Unis n’auraient rien à dire sur la question ; et si les États-Unis essayaient de s’exprimer, ils seraient battus avec ce même morceau de papier qu’ils ont signé. "Vous sentez-vous menacés maintenant ?" demanderaient les Russes ; "Peut-être auriez-vous dû y penser lorsque vous nous avez menacés en plaçant vos missiles en Pologne et en Roumanie." »

***

Conférence de presse de Vladimir Poutine et de Viktor Orban à l'issue des pourparlers russo-hongrois, le 1 février 2022.

Source : en.kremlin.ru

Traduction : lecridespeuples.fr

Transcription :

Vladimir Poutine : [...] Nous avons également eu un échange de vues détaillé sur les propositions russes aux États-Unis et à l'OTAN visant à fournir à la Russie des garanties de sécurité juridiquement contraignantes à long terme. Nous tenons à souligner que nous analysons attentivement les réponses écrites obtenues le 26 janvier des États-Unis et de l'OTAN. Mais il est déjà évident que les préoccupations russes de principe ont été ignorées, et j'en ai informé le Premier ministre [hongrois]. Nous pouvons voir qu'ils n'ont pas répondu de manière adéquate à nos trois demandes clés concernant la prévention de l'élargissement de l'OTAN, le refus de déployer des systèmes d'armes offensives près des frontières russes et le retour de l'infrastructure militaire européenne du Bloc aux niveaux de 1997 lorsque l'Acte fondateur OTAN-Russie a été signé.

Dans le même temps, tout en ignorant nos préoccupations, les États-Unis et l'OTAN font référence au droit des États de choisir librement des méthodes spécifiques pour assurer leur sécurité. Mais il ne s'agit pas seulement de donner à quelqu'un le droit de choisir librement des méthodes pour assurer sa sécurité. Ce n'est qu'une partie de la formule de sécurité indivisible bien connue. La deuxième partie inaliénable implique qu'il est impossible de renforcer la sécurité de qui que ce soit au détriment de la sécurité des autres États. [...] 

Je voudrais expliquer encore une fois la logique de nos actions et de nos propositions.

Il est de notoriété publique qu'on nous a promis que l'infrastructure du bloc de l'OTAN ne s'étendrait pas d'un pouce vers l'est. Tout le monde le sait.

Aujourd'hui, nous voyons où se trouve l'OTAN : en Pologne, en Roumanie et dans les États baltes. Ils ont dit une chose mais en ont fait une autre. Comme ont dit, ils nous ont bien eus ; ils ont simplement triché. C'est ce qui s'est passé, voilà tout.

Puis plus tard, les États-Unis se sont retirés du Traité ABM. Nous avons essayé pendant longtemps de persuader nos partenaires de ne pas le faire. C'est l'un des traités fondamentaux sur la sécurité mondiale. Néanmoins, les États-Unis ont fait ce qu'ils ont fait : ils se sont retirés du traité. Aujourd'hui, des lanceurs de missiles anti-balistiques sont déployés en Roumanie et sont en cours d'installation en Pologne. Ils seront probablement là bientôt s'ils ne sont pas encore construits. Ce sont des lanceurs MK-41 qui peuvent lancer des Tomahawks. En d'autres termes, ce ne sont plus seulement des contre-missiles, et ces armes d'assaut peuvent couvrir des milliers de kilomètres de notre territoire. N'est-ce pas une menace pour nous ?

Maintenant, ils disent que l'Ukraine est la prochaine étape. Ce pays devrait être admis dans l'OTAN.

Écoutez attentivement ce que je dis. Il est écrit dans les doctrines de l'Ukraine qu'elle veut reprendre la Crimée, par la force si nécessaire. Ce n'est pas ce que les responsables ukrainiens disent en public. C'est ce qui est écrit dans leurs documents.

Supposons que l'Ukraine soit membre de l'OTAN. Elle sera remplie d'armes, des armes offensives modernes seront déployées sur son territoire comme en Pologne et en Roumanie – qui va empêcher cela ? Supposons que l'Ukraine commence ses opérations en Crimée, sans parler du Donbass pour l'instant. C'est un territoire russe souverain. Nous considérons que cette affaire est réglée. Imaginez que l'Ukraine soit un pays de l'OTAN et commence ces opérations militaires. Que sommes nous sensés faire ? Lutter contre le bloc de l'OTAN ? Quelqu'un a-t-il au moins réfléchi à cela ? Apparemment non.

Maintenant, concernant la mise en œuvre des accords de Minsk. D'un côté, on entend des déclarations de l'Ukraine qui veut les mettre en œuvre, alors qu'on nous accuse constamment de ne pas mettre en œuvre les accords de Minsk. D'un autre côté, on entend des déclarations publiques selon lesquelles l'Ukraine s'effondrera si elle respecte ces accords. Quelqu'un a-t-il pensé que s'il crée de telles menaces contre la Russie, il ne fera que créer des menaces similaires contre lui-même ?

Toutes ces questions nécessitent une analyse très minutieuse et une prise en compte des intérêts de chacun. On nous dit que chaque pays a le droit de choisir son propre système de sécurité. Nous sommes d'accord, mais je crois toujours que les États-Unis ne sont pas si préoccupés par la sécurité de l'Ukraine, même s'ils peuvent y penser en marge. Leur objectif principal est d'endiguer le développement de la Russie. C'est tout l'intérêt de leurs manœuvres. En ce sens, l'Ukraine n'est qu'un outil pour atteindre cet objectif.

Cela peut se faire de différentes manières : en nous entraînant dans un conflit armé, ou en obligeant leurs alliés en Europe à nous imposer des sanctions sévères comme les États-Unis en parlent aujourd'hui, ou en attirant l'Ukraine dans l'OTAN, en y déployant des armes d'attaque et en encourageant certains Banderites à résoudre les problèmes du Donbass ou de la Crimée par la force. De cette façon, nous pourrions être entraînés dans un conflit armé malgré tout.

Si nous examinons sérieusement ces nombreuses questions, il deviendra clair que pour empêcher la situation de prendre une tournure aussi négative, et nous voulons l'éviter, il est nécessaire d'examiner attentivement les intérêts de tous les pays, y compris la Russie, et de trouver une solution à ce problème.

Pourquoi avons-nous signé les traités et les accords connexes à Istanbul et à Astana qui stipulent qu'aucun pays ne peut assurer sa propre sécurité au détriment de la sécurité d'un autre ? Nous disons que l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN compromettra notre sécurité et nous demandons à nos partenaires d'y réfléchir. Ils parlent d'une politique de la porte ouverte. D'où est-ce que cette idée vient ? Ou est-il stipulé que l'OTAN a une politique de la porte ouverte ? Où est-ce que c'est dit ? Nulle part. Si ma mémoire ne me fait pas défaut, l'article 10 du Traité de l'OTAN de 1949 stipule que les parties peuvent, par accord unanime, accepter tout autre État européen dans le Traité. Donc, ils peuvent le faire, mais ils ne sont pas obligés de le faire.

Après tout, les États-Unis et l'OTAN peuvent dire à l'Ukraine et à d'autres : nous voulons assurer votre sécurité, nous l'apprécions et respectons vos aspirations, mais nous ne pouvons pas vous accepter car nous avons d'autres engagements internationaux que nous avons adoptés plus tôt. Qu'est-ce qui n'est pas clair ou même offensant pour l'Ukraine dans cette explication ?

Nous devons trouver un moyen d'assurer les intérêts et la sécurité de toutes les parties à ce processus : l'Ukraine, les autres pays européens et la Russie. Mais cela ne peut se faire que si les documents que nous proposons font l'objet d'une analyse sérieuse et réfléchie.

J'espère que ce processus se poursuivra. J'ai également convenu avec le Président de la France hier qu'il pouvait venir à Moscou dans un proche avenir pour discuter également de ces problèmes.

J'espère que nous finirons par trouver une solution, bien que nous réalisions que ce n'est pas simple. Mais, bien sûr, je ne suis pas encore prêt à parler aujourd'hui de ce que ce sera.

Je vous remercie.

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33 réactions à cet article    


  • Trelawney 5 février 2022 12:42

    avant de prendre les mesures de réciprocité qui ne manqueront pas d’être très douloureuses pour l’OTAN

    L’OTAN envoie sûrement ses gros bras pour impressionner Poutine, on a vu qui s’est fait remettre à sa place « comme un petit garçon » lors de leur dernière rencontre...

    Avant de menacer, je propose au cri du peuple de prendre un aller pour Moscou et d’y rester in vitam aeternam. Car leurs intervention ne va pas dans le sens de l’accalmie.

    On dirait que cri du peuple est déçu des échanges entre les différentes diplomaties. Et qu’il voudrait un conflit en espérant que le petit jésus soviétique en sorte vainqueur.

    Poutine vient de comprendre que ces rodomontades ne faisait qu’attiser le patriotisme ukrainiens au détriment des russes, et pousser d’un cran la puissance de l’OTAN. Maintenant la Suède, la Finlande et l’Autriche souhaite y entrer et le refus d’intégration de l’Ukraine n’est plus si catégorique. Qui est le plus malin ?


    • sylvain sylvain 5 février 2022 18:32

      @Trelawney
      je ne crois pas que ce qui se passe en ukraine gène beaucoup Poutine Objectivement, cet « état de guerre » est utilisé par les politiciens des trois grandes puissances, et les russes comme les EU se veulent tous les deux le preux chevalier défenseur de la veuve, de l’orphelin, de la liberté et du gratin dauphinois

      Une guerre généralisée n’arrangeant personnes, on va rester comme ça un moment a mon avis


    • Trelawney 6 février 2022 10:02

      @Jeekes
      Et pourquoi toi, tu ne t’en irais pas à washington, vivre chez tes héros amères-loques que tu admires tant ?
      Parce que j’habite dans un pays qui fait parti de l’UE et des forces de l’OTAN. Et ce n’est pas prêt de changer. 


    • André 6 février 2022 12:32

      @Trelawney
      Et vos balivernes sont censées être des arguments ?


    • André 6 février 2022 15:24

      @Trelawney Vous représentez un niveau rare de stupidité et de bouffonnerie.


    • Trelawney 7 février 2022 10:00

      @André
      Poutine demande du monde en Biélorussie. Allez y faire un tour. Vous êtes de trop ici.


    • Lynwec 5 février 2022 12:58

      Commande d’urgence de lunettes de claire vision pour remplacer les lunettes déformantes actuellement utilisées. Où se trouvent les réelles rodomontades ? Qui menace qui ? Qui attise le patriotisme de qui ? Qui fait courir des risques à l’ensemble de la population mondiale ?

      Avec les bonnes lunettes, ça devient vraiment clair. Au fait, l’Union Soviétique, c’est du passé, il va falloir ajuster le logiciel de pensée, un peu comme pour les lunettes,donc...

      Sinon, on peut également persister dans les carabistouilles et billevesées un peu datées dans l’espoir de convaincre le lecteur suffisamment étourdi ou inattentif. L’espoir fait vivre, à ce qu’il parait.

      On peut aussi prier sincèrement pour que ces gens arrivent à un réel accord, mais il y a du boulot pour ça, il faut commencer tout de suite...


      • LUNATIC LUNATIC 5 février 2022 14:35

        Pour tous,

        Lorsque les neutrons vous grilleront les neurones et carboniseront vos traités vous direz ; « mort où est ta victoire » ?


        • LUNATIC LUNATIC 5 février 2022 14:55

          Que de lucidités, que de sagesses au fil AV, épandues dans les champs stériles de la soumission exaltée, interrogez-vous plutôt sur cet espace « citoyen ».


          • chantecler chantecler 7 février 2022 11:28

            @Djam
            Lu et approuvé .
            Goujats et sans gène .
            Certains je suppose sont là uniquement pour introduire « l’ambiance » délétère pour satisfaire leur petite coterie , c’est à dire décourager , dégoutter une majorité de participer et de s’inscrire .
            Sans parler des débiles pour qui foutre la merde , c’est naturel .
            Aussi je suggère tout de même aux auteurs qui semblent détenir la quasi responsabilité de leur fil , d’éjecter les malappris .
            Ponctuellement ,temporairement ou définitivement .
            Que l’on canalise les asociaux ...
            Et qu’on ne me dise pas que c’est de la censure .
            C’est de la médiation bien comprise puisque ici cela fonctionne majoritairement en autogestion .
            Comment on dit , pour certains ?
            Quand on dépasse les bornes ils n’y a plus de limites ...
            Donc à eux de borner sous leurs articles ...
            Il en restera certainement quelques uns pour satisfaire tout le monde .
            Merci .


          • zygzornifle zygzornifle 5 février 2022 15:08

            Macron le sauveur de l’humanité...... Sauf dans son pays ou il emmerde tout le monde ..... 


            • zygzornifle zygzornifle 5 février 2022 15:09

              Avant de partir il a du faire une gâterie a Poutine ...


              • LUNATIC LUNATIC 5 février 2022 15:10

                Quant à CRAB 1, ce fût l’être exquis qui me hissait à l’ineffable


                • titi titi 5 février 2022 17:00

                  @L’auteur

                  La Suède a réactivé la conscription.

                  Franchement ? Par qui se sent elle menacée ?

                  Par les USA qui à l’époque de Trump ont annoncé vouloir partir d’Europe ?

                  Ou bien par la Russie qui annonce chaque semaine des manœuvres avec tant de milliers de soldats, ou des tests de « wunderwaffen » à quelques encâblure de là ?

                  Le fait est que Poutine a cru pouvoir bluffer et que les européens allait se coucher pour préserver la paix.

                  Pas de bol ça n’a pas fonctionné.

                  Non seulement ça n’a pas fonctionné mais très clairement, l’Ukraine dont pas grand monde n’avait à foutre à vrai dire, est devenu le centre de toutes les attentions.

                  Et comme par hasard tous les paix d’Europe de l’Est ou centrale, se mettent à réarmer... avec du matériel US bien évidemment.

                  Poutine se voyait maître du jeux... il se consolera avec une place d’employé du mois chez Lockheed Martin.


                  • Samy Levrai samy Levrai 5 février 2022 18:34

                    @titi
                    Tu as bien raison, les agressions russes , Yougoslavie, Irak, Lybie, Syrie, somalie, Afghanistan,..., ça suffit, il est temps que la Russie retire ses frontières de leur proximité avec les bases américaines.
                    Il faut aussi que cessent les moqueries russes devant les moulinets que font les toutous américains se prenant aux sérieux, il en va de la crédibilité de nos pays et des soldats américains qui nous occupent.


                  • titi titi 5 février 2022 20:55

                    @samy Levrai

                    Moi je te parle de ce qui se passe maintenant en Europe de l’Est.

                    Qui y joue actuellement les matamores ? Biden ?


                  • Attilax Attilax 5 février 2022 22:38

                    @titi

                    Oui, clairement.


                  • Trelawney 6 février 2022 10:04

                    @Attilax
                    C’est Biden qui a placé 100 000 soldats américains sur la frontière ?


                  • Trelawney 7 février 2022 10:03

                    @Jeekes
                    Les soldats sont sur le territoir russe, ça t’emmerde ?
                    Non : Biélorusse. Même s’il est vrai que ce pays n’a pas de souveraineté. Ca fait quand même une grosse différence, car ils sont dans un pays où ils n’ont rien à y foutre comme vous dites. 
                    Pour ce qui est du ridicule, vous savez de quoi vous parlez


                  • sylvain sylvain 5 février 2022 19:09

                    quand on lit ces traités et ces déclarations, une chose saute aux yeux : la russie et les EU discuttent ensemble, autour des pots de fleurs de l’OSCE .

                    Par exemple l’azerbaidjan et l’arménie font partis de l’OSCE, donc on peut visiblement faire une guerre entre pays de l’OSCE sans que ça gène grand monde

                    La serbie devait aussi être ravie de faire partie de l’OSCE quand elle se faisait tartiner de bombes occidentales

                    Aucun État ne renforcera sa sécurité aux dépens de celle des autres. 

                    pourtant l’ukraine, la pologne ou même la suède se sentent agressés par le développement de l’armement russe, les supers missiles, les trucs anti satellites et tout ce dont ils se vantent depuis un moment .De toutes façons, a partir du moment ou vous pensez qu’un pays vous est hostile ( a tort ou a raison), tout renforcement de sa sécurité se fait aux dépens de celle de l’autre


                    • jjwaDal jjwaDal 5 février 2022 20:12

                      Les ukrainiens ont eu besoin d’un petit coup de main quand même pour basculer dans la guerre civile et elle ne semble pas être venue de Russie.
                      C’est bien un coup d’Etat remplaçant un pouvoir favorable aux liens avec la Russie (dont la partie ouest de l’ukraine ne semble pas vouloir) par un pouvoir lui étant ouvertement hostile, qui a mis le feu aux poudres.
                      Il a suffit d’allumer la mêche en disant que l’avenir de l’Ukraine était dans l’OTAN pour générer une révolte dans l’est de l’Ukraine fortement russophile et russophone. Dire à des populations ayant de fort liens culturels et familiaux parfois avec la Russie, qu’ils vont appartenir à une organisation ouvertement hostile à la Russie était un détonateur inévitable de conflit interne. Ils ont eu la guerre civile et désormais la messe est dite. La partie est de l’Ukraine ne fera jamais partie de l’OTAN à moins de la débarrasser physiquement d’une large portion de sa population.
                      Encore une fois, on prétend vouloir défendre la démocratie dont le pouvoir Ukrainien se fout éperdument, dans un pays qui ne l’a jamais vraiment connue en se basant sur les nombreux succès engrangés en la matière en Afghanistan, Syrie, Irak, Libye, le tout en piétinant les craintes légitimes des Russes d’avoir un mur de missiles « défensifs »à portée de Moscou .
                      Si la Russie avait le projet d’annexer l’Ukraine, elle l’aurait fait depuis des années déjà. Elle a par contre toujours exprimé le souhait d’avoir une zone tampon (neutre) entre son pays et les installations de l’OTAN, pour avoir le temps de riposter à une attaque préventive (d’ailleurs évoquée au plus haut sommet aux USA à plusieurs reprises). Quelqu’un les écoute ?


                      • Trelawney 6 février 2022 10:15

                        @jjwaDal
                        Les ukrainiens ont eu besoin d’un petit coup de main quand même pour basculer dans la guerre civile et elle ne semble pas être venue de Russie.
                        Vous parlez de quelle guerre civile ? Les ukrainiens n’ont jamais été en guerre civile. Ils ont simplement dégagé (par le vote et les manifestations Maidan)Viktor Ianoukovytch, qui a fuit en Russie. Ce dernier ne voulait pas des accord pro UE que le peuple voulait. Il y a ensuite eu sécession de la Crimée et du Dombass où il y a un conflit avec 1.5 milions de personnes déplacées dont 850 000 en Ukraine, 250 000 dans les pays de l’UE et 350 000 en Russie.
                        Ce qui est certain, c’est qu’en Ukraine les pro russes sont minoritaires


                      • jjwaDal jjwaDal 6 février 2022 12:09

                        @Trelawney
                        Vous réécrivez l’histoire. Ce fut clairement un coup d’Etat et les massacres d’Odessa les prémisses d’une guerre civile, des ukrainiens en tuant d’autres.
                        Si vous pensez que la résistance militaire au pouvoir central dans les régions de l’Est est purement le fait de troupes militaires russes, expliquez nous pourquoi la situation est figée depuis tout ce temps ? La Russie a mis combien de temps à récupérer la Crimée ?
                        Maidan était piloté depuis les USA vous le savez pertinemment, comme la jeunesse de cet Etat improbable que nous appelons « Ukraine ».
                        Les pro russes sont minoritaires en Ukraine mais quid des régions de l’Est ? L’adhésion à cette foutaise qu’est la CE n’aurait pas posé de problèmes majeurs, mais la promesse de l’adhésion à l’OTAN quand on a des affinités russes est un carton rouge direct.
                        L’Ukraine est indépendante depuis 1990 seulement. Un pays aussi improbable que la Yougoslavie de Tito et le paie au prix fort grâce aux USA.
                        Le « SMIC » mensuel à 60 euros intéresse les dirigeants européens aussi. La démocratie n’est que le faux prétexte pour intervenir. Est-on intervenu pour « rétablir la démocratie » en Chine, en Russie, dans toutes les dictatures du Golfe et d’ailleurs qui chient dessus et nous emmerdent ? Pas que je sache.


                      • tonimarus45 6 février 2022 13:28

                        @Trelawney vous reecrivez l’histoire en prenant des raccourci en evitant de parler des accords signes entre les protestataires et le president de l’ukraine d’alors et qui furent des le lendemain bafoues par les maidam d’ou la fuite de « ianoukovytch » craigant pour sa vie ;A ces accords assistaient des ambassadeurs et politiques de l’occident dont la france


                      • Daruma 7 février 2022 17:18

                        @Trelawney

                        Vous êtes d’une mauvaise foi proverbiale. Votre déformation de la réalité et vos mensonges sont si grossiers que c’en est presque comique. C’est ça votre problème : vous en faites trop. Vous oubliez qu’ici vous n’êtes pas dans la presse mainstream.

                        Vous dites que Yanoukovitch a été dégagé par le vote et par les manifestations du Maïdan.

                        Faux. C’est tellement faux que je me demande pourquoi je me donne la peine de répondre. Si vous affirmez une telle bêtise parce que vous gobez la version de la presse mainstream occidentale, c’est risible. Mais si c’est par malhonnêteté intellectuelle... je vous laisse vous arranger avec votre conscience. Yanoukovitch a été dégagé par un coup d’État piloté par la CIA. Les manifestations étaient pacifiques et n’auraient jamais dégénéré en violence si elles n’avaient pas été infiltrées afin de renverser le président démocratiquement élu. Quand vous dites « dégagé par le vote », vous êtes sérieux ? Pensez-vous pouvoir à ce point prendre les gens pour des imbéciles ?

                        Vous dites que Victor Yanoukovitch a fui en Russie. Sans le contexte qui explique les raisons de sa fuite (il a fui pour sauver sa peau), ce que vous dites n’est ni plus ni moins qu’un mensonge par omission.

                        Vous dites qu’il ne voulait pas des accords pro-UE que le peuple voulait. Demi-vérité (par omission) mélangée à un mensonge grossier. Premièrement, il jouait sur les deux tableaux, et s’il avait reçu une offre intéressante de la part de l’UE il l’aurait acceptée. Il l’a refusée, non pas par choix idéologique ou par principe, mais parce que l’offre russe était beaucoup plus avantageuse. Deuxièmement, il est faux et mensonger de dire que LE peuple le voulait. Une partie du peuple (la moitié ?) le voulait, l’autre partie s’en foutait ou préférait conserver les liens avec la Russie. Il suffit de voir la carte des élections ayant conduit Yanoukovitch à la présidence pour savoir qu’il y a deux Ukraines : l’ouest et le nord d’un côté, le sud et l’est de l’autre.

                        Vous dites que les pro-russes sont minoritaires. Qu’en savez-vous ? Vous vivez en Ukraine ?

                        Vous savez ce que pense chaque Ukrainien ? Avec le régime qui sévit en Ukraine depuis le Maïdan, il vaut mieux cacher ses opinions politiques. Les gens ont peur, se méfient, ce qui est normal. Ceux qui s’expriment ouvertement sont les pro-occidentaux et pro-régime. Désolé de vous décevoir mais dans le sud de l’Ukraine, où je vis, il y a une majorité de gens qui n’adhère pas à la propagande gouvernementale, surtout chez les plus de 35 ans. Ils ne s’en laissent pas conter. Ce sont les plus jeunes, donc les esprits les plus vulnérables et malléables, qui se laissent endoctriner. Et puis qu’est-ce que ça veut dire « pro-russe » ? Beaucoup d’Ukrainiens ne sont pas particulièrement pro-russes, cela n’en fait pas des pro-occidentaux pour autant. Ce qu’ils veulent c’est vivre mieux, avoir des conditions de vie décentes.

                        Le pompon c’est quand vous dites que ce n’est pas une guerre civile. Et l’argument que vous donnez pour étayer cette affirmation est d’une débilité affligeante : vous croyez expliquer qu’il n’y a pas de guerre civile par le fait que Yanoukovitch a été dégagé. Autrement dit vous donnez la cause de la guerre civile en croyant que cela suffit à démontrer qu’il n’y a pas de guerre civile. Vous vous rendez compte de la stupidité de cette inférence ?


                      • christophe nicolas christophe nicolas 6 février 2022 01:02

                        Le point faible de l’Otan est l’énergie au moyen-orient. Si jamais ça monte vraiment en tension, ce sont les approvisionnement d’énergie du moyen-orient qui seront déstabilisées, c’est évident. Les rancœurs entre Israël et les musulmans étant ce qu’elles sont, c’est une poudrière surtout que les néoconservateurs des USA qui alimentent les tensions en Ukraine sont des sionistes à peine dissimulés donc à eux de voir s’ils veulent risquer l’anéantissement d’Israël tant souhaité par les musulmans.

                        Quant à l’Ukraine, croyez vous que les anglophones vont se mettre à l’alphabet cyrillique et au Russe ?

                        Il n’est donc pas de l’intérêt de l’occident de faire monter les tensions car ils y perdraient bien plus que la Russie autosuffisante en ressources.

                        N’était-ce pas l’ambassade de Chine qui fut détruite à Belgrade en 1999 ? Croyez vous qu’ils ont oublié l’affront ? Bref, que les USA s’occupent d’aller sur la lune est un challenge plus noble ainsi ils pourront dire y être allés sans en faire sourire beaucoup. 

                        La guerre fait souffrir, elle ramène les pieds sur terre des mythomanes qui se croient les maîtres du monde d’enfumer et de déstabiliser des pays bien plus faibles qu’eux. Il n’y a que les mondialistes qui visent à créer de telles tensions, personne d’autre sur terre et ils font ça pour ne pas se repentir de leurs mensonges jetés à la face du monde, pour les graver dans le marbre pour l’éternité donc ils n’apportent que la tyrannie des pensées dont on a un avant gout avec la crise du Covid dont l’age moyen des personnes qui en décèdent est de 82 ans en 2020 exactement l’espérance de vie qui est de 82 ans en France. 


                        • zygzornifle zygzornifle 6 février 2022 10:34

                          L’OTAN est un épouvantail tout juste bon a effaroucher les moineaux ....


                          • microf 6 février 2022 17:33

                            @Trelawney, @titi,

                            Préparez-vous á parler bientôt le Russe.

                            Je pense que vous avez bien suivi cette interview du « Mozart de la politique » á savoir, le Président Poutine qui réclame des garanties pour la Sécurité de la Russie ménacée par les armées occidentales.

                            Ce n´est pas @microf qui parle, mais bel et bien le « Mozart de la politique » á savoir le Président Poutine qui ne parle jamais en l´air.

                            Relisez bien ce q´il a dit :

                            « c´est pourquoi ce ne sont pas les négociations elle mêmes, mais les résultats qui comptent pour nous...

                            Vous nous avez trompés sans vergogne.

                            C´est vous qui devez nous donner des garanties, et vous devez le faire tout de suite, immédiatement »

                            Je serai á votre place mes chers @Trelawney et @titi, au lieu de faire le zouave ici, je donnerai tout de suite et immédiatement ces garanties au « Mozart de la politique » á savoir, le Président Poutine, sinon, comme je l´ai mentionné, vous allez bientôt le Russe, car cette fois-ci, la Russie ne s´arrêtra plus á Berlin comme la dernière fois, mais ira jusqu´á l´Atlantique accomplissant ainsi le rêve de votre de Gaule que l´ Europe s´étende de l´Atlantique á Wladivostok.


                            • Ruut Ruut 7 février 2022 09:41

                              @microf
                              Notons que les nouvelles armes MHD Russes lui confère un avantage militaire certain.


                            • microf 7 février 2022 14:11

                              @Ruut

                              Entièrement d´accord avec vous.
                              Le Mozart de la politique á savoir le Président Poutine a pris cette voie pour avoir le dessus, il fallait y penser, il l´a fait, les résultats sont lá.
                              Si la Russie n´avait pas cet avantage, les armées occidentales auraient déjá attaquées la Russie.


                            • microf 8 février 2022 11:01

                              Lors de la Conférence de Presse entre le Président Poutine et le Président Macron, le Président Poutine a posé la question au Président Macron s´il voulait que la Russie entre en guerre avec la France.

                              Toutefois ce n´est pas pour l´Ukraine que le Président francais est parti rencontrer le Président, il se moque éperdumment de l´Ukraine.

                              Le Président francais Macron est parti négocier l´Afrique contre l´Ukraine, une fin de non recevoir lui a été donnée.

                              Alors chers amis francais, préparez-vous á la guerre contre la Russie, et, que le meilleur gagne.

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