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Les commentaires de GRL



  • GRL GRL 15 juillet 2009 22:06

    500 voitures qui brulent c’est au moins la moitié de voitures neuves qui sortent de chez le concessionnaires peu de temps apres non ?

    Rien n’est jamais totalement perdu pour tout le monde on dirait...



  • GRL GRL 15 juillet 2009 01:20

    Salut Bernard , puisque tu ne fetes pas le 14 juillet , tu devrais etre en ligne j’imagine ...

    Ce que j’en pense à mon tour, c’est que la sainte trinité républicaine dont tu parles n’a évidemment jamais été . Ni liberté , qui s’arrete où commence celle des autres , ni égalité , qui nierait dans tant de cas , une équité tant souhaitable , ni fraternité posée là pour que les plus en souffrance ne basculent pas le pays dans le chaos , aucune des trois n’a été un jour en position d’équilibre , tu le sais tres bien .

    Mais plus interessant j’imagine , ces trois notions sont un idéal , et comme tout idéal , il se dessine normalement au travers de nos institutions , comme un vecteur , une direction citoyenne , et au cours des époques , on peut dire que nos societés se sont tour à tour rapprochées de cet idéal , ou éloignées de celui ci, notament pendant les deux dernieres grandes guerres ... Aujourd’hui , ce sont effectivement certaines libertés qui reculent , certaines inégalités qui deviennent plus visibles , plus criantes , ce qui ne veut pas dire qu’elles n’ont pas toujours existé mais qu’elles sont peut etre plus à la portée de nos consciences , écaillant du même coup la fraternité comme un vieux vernis . La réalité , elle , nous apparaissant plus criante et plus vaste qu’on imaginait, et pour certains peut etre , la fin d’un rêve qui consistait à croire que la sainte trinité nous protégeait comme un bouclier de ce que l’on a coutume de regarder chez les autres et qui ne peut etre chez nous .

    Y a t il de la supercherie dans l’apposition d’un tel vecteur au peuple , certainement , oui .

    N’y a t il pas aussi une prise de conscience faites des coleres et de l’indignation de ceux qui y croient encore comme un possible et qui aujourd’hui , changent d’attitude , ne se contentant pas de se targuer d’etre dans le pays des droits de l’homme mais revendiquant à nouveau une continuité dans la construction de ces droits ? Le vecteur , fut il un écran de fumée , n’est il pas aujourd’hui la proprieté de ceux qui pensaient en etre les fruits depuis leur naissance ?

    Certainement , et c’est ce qui est positif . En voulant controler , apaiser , garantir le pouvoir et la richesse des puissants , la docilité des indigents , on fabrique aussi les valeurs qui conviendront à tout le monde et dont chaque citoyen pourra etre un jour fier sans remettre en cause le systeme . Mais lorsque il apparait que ces valeurs sont bafouées , c’est un esprit critique et contestataire éduqué à ces valeurs qui réagit comme il le peut , même si l’on fait tout pour qu’il reste tranquille , et qui invente le chemin par lequel , les valeurs seront tot ou tard reconquises , et ce par « amour » du vecteur , de l’idéal et du pays ... Le 14 juillet est une levee de drapeau , et les couleurs n’appartiennent pas à ceux qui les bafouent , aux chefs d’entreprises gavés de fric qui délocalisent à en faire péter les coffres , eux n’ont rien à foutre du pays , des travailleurs , et des valeurs . Mais eux , n’ont pas les couleurs. Elles sont notres dès lors que nous continuons à aimer le vecteur qui les porte , même si celui ci est bafoué. Si on les abandonne , toutes les valeurs et l’idéal qu’elles portent s’évanouissent dans le même temps.

    Penses y car aimer ces valeurs malgré le constat est le seul moyen de tenir nos esprits et notre conscience en éveil , ici , en France dont ce jour est la fête.

    GRL



  • GRL GRL 14 juillet 2009 21:08

    Tres difficile aujourd’hui de débattre à propos de l’avenir des gouvernements africains , et de leurs peuples respectifs.

    Se prendre en main ....

    Se prendre en main signifierait avoir les bras et les jambes libres , or les gouvernements africains n’ont pas les mains libres . Ce continent est un reservoir de richesses et si les mains qui tiennent l’Afrique changent au cours de l’histoire , celle ci n’est pas laissée un instant libre de ses mouvements. On lui a savament construit une situation d’ultra dépendance , on a humilié ses gens durant des générations , on y a déclenché des guerres , vendu des armes , encouragés tour à tour l’une et l’autre partie des conflits , on y a mis en place les fameux présidents voyous , qui n’auraient pu etre ces voyous là si ils ne furent aidés par de plus grands voyous encore. Quelles sont les forces des africains eux même pour pouvoir prétendre au respect de décisions qu’ils prendraient eux même au nom de l’autodetermination ?

    Non pas qu’ils n’y ait de gens sur le continent , qui ne tentent ou ne désirent le changement , qui n’aient eux aussi cette vue d’ensemble qu’on aurait tendance à se croire seuls détenteurs , non , mais enfin dès lors qu’un avis diverge , il est tout simplement écrasé.

    Quel esprit peut alors rêver d’une autodétermination d’une l’Afrique , pour qui on aménage plans de soutient d’un coté et dette de l’autre ? Cette dette double en malhonneteté le pillage des ressources du continent et l’on veille bien à se déculpabiliser de toute malversation en payant les mains noires pour .... anciennement capturer et vendre les esclaves , et actuellement creuser les mines , couper les arbres des forets primaires , ou pire faire la guerre à son frere de sang . Lors du processus de décolonisation , l’établissement de la françafrique a tout d’abord consisté à remplacer des gouvernant blancs au sevice de la France , par des gouvernants noirs au service de la même France ... Partant de là dès lors qu’on parle de Bongo , de Déby et de bien d’autres , on ne parle en aucun cas d’autodétermination , et ce qu’il reste des décolonisations successives , ce sont des matieres premieres à des prix qui ne sont pas le dixieme de celui d’un marché honnete . Ca oui , l’occident est parti . Doublez d’ailleurs ceci par la venu de la Chine et l’on tue dans l’oeuf tout espoir de changement pour les peuples africains . Triplez celà de la dette ( comme si on leur devait quoi que ce soit en plus ) et l’on voit bien que ces gens , tous ces gens sont tout simplement tenus .

    Mais les dégats sont en réalité encore plus grands dans les esprits , oui , dans les esprits . Car depuis tant de générations d’exploitations humaines et matérielles massives , comment imaginez vous que l’on puisse s’éduquer dans une dynamique d’espoir en plus de ne rien avoir à bouffer si je puis dire ? C’est tout bonnement impossible. Le chemin de l’esperence passe alors par les méandres d’une inferiorité vécue comme intrinseque à l’etre , voir atavique , vécue et ecrite comme transgénerationnelle , vécue comme quelque chose dont l’etre africain ne peut se dégager . La corruption en est d’autant plus facile .

    Pour finir je vous revoie à deux travaux , d’abord ceux de François Xiavier Vershave pour ce qui est du sens profond de la françafrique , et bien sur au film Bamako qu’on ne présente plus ,et qui décrit cet etat moral si profond et particulier , entourant toute tentative de reflexion et d’action constructives autour du devenir des peuples lorsque l’on parle d’Afrique .

    Merci à vous
    GRL



  • GRL GRL 9 juillet 2009 10:17

    Oui , c’est un renversement de situation qui fait du bien de connaitre .

    Et tres sincèrement , tout est dit dans la déclaration de ces jeunes gens : r « les rouages d’un discours médiatique qui a pour ingrédients la complaisance et le voyeurisme dans la représentation de la détresse  ».

    De la guerre à l’intimité de la famille , la douche émotionnelle court-circuite toute reflexion ou analyse , esprit critique , en définissant ce qu’il serait bon de penser et tres souvent de croire. Et lorsque la réalité ne donne pas l’opportunité de puiser l’exemple dans le réel , il se peut effectivement qu’elle soit modifiée pour la circonstance , le tout étant de balancer autant d’icones de transfert médiatique que possible afin d’établir un canal de transfert qui induit fortement la réaction du récepteur , du telespectateur . Le canal émotionnele ne sert qu’à préparer un état physiologique (sécrétions d’hormones de  : peur , désir , révolte, colère, violence ... etc ... ) dans l’espoir d’une réaction pulsionnelle d’une part , mais valorisant cette pulsion et l’explicitant par une partie du contenu du message . Ainsi le choc des photos sera le canal , et le poids des mots , ce qui est distillé dans le canal ... Et l’on touche alors la manipulation de masse et la politique ... 

    Maintenant , renversement , dites moi , Paul , par exemple jusqu’où peut on aller selon vous , dans une démarche médiatique , pour tenter par exemple tiens « d’appeler tout l’occident à la guerre contre le démon et son axe perfide ( inondé d’or noir ) » ? Se limite t on à profiter d’un drame pour choquer les masses ou peut on être assez ...( je n’ai pas de mot )... pour fabriquer réellement les circonstances de ce que l’on va filmer ?

    Oui , ces jeunes gens ont bien eu raison de couper l’herbe sous les pieds de paris match ainsi . En d’autres lieux , et un autre temps pas si éloigné de nous , c’est Fox News , CNN et consorts qui eurent besoin d’une telle piqure de rappel.

    GRL



  • GRL GRL 8 juillet 2009 14:22

    Voici un lien vers un autre angle de vue du problème , qui je l’espère , se verrait complémentaire à votre reflexion .

    http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/nature-contre-nature-46995

    Merci à vous.

    GRL.



  • GRL GRL 28 juin 2009 22:26

    La cravate , la cravate m’a toujours parue etre une allegence . La laisse , elle est ostentatoire de la subordination à l’entité patronale par excellence , et de la part du patron des patrons , de l’allégence à la cause , au fric . C’est la laisse qui relie tous les stades hiérarchiques de l’entreprise et pour tous ceux qui bossent au bureau , regardez la différence de considération entre celui qui la porte et l’autre, à experience et ancienneté égales . j’ai vu durant onze ans de boite, de parfaits incapables décider de grimper et commencer tout d’abord à arborer l chemise bleue et la cravate , puis suivre partout et tout le temps le chef , dans les couloirs et ailleurs et parler , parler , travailler moins , et parler plus ... Le temps venu de la promotion, point de valorisation sur le travail effectué mais un chef asuré d’une parfaite allégence qui fait grimper son bavard encravaté , e faire grossir un clan de managers tous encravatés , un clan d’inutiles qui sont payés plus por parler plus , se réunir et téléphoner de maniere ostentatoire dans les couloirs , black berry en main ( autre accessoire de maitrise du temps et l’espace ) . Bref , la cravate , à imaginer autour du cou du subordonné à un bout et dans les mains de son chefaillon à l’autre.

    La montre. Cohérence oblige , l’homme pressé n’a pas tout son temps à vous accorder . La maitrise du temps, c’est la rolex , celle qui apres un bref coup d’oeil , vous permettra d’expliquer à quiconque ce que la plus belle horloge de poignet vient de vous rappeler , que , oui , mais vous n’avez pas que çà à foutre . Moins facile à contrer qu’une swatch transparente, La maitrise du temp , c’est aussi çà , ce rapport un peu occulte qui justifie pas mal de la course aux interets . Le temps rapplle que , le temps ordonne , et l’home d’affaire surfe , de rendez vous en rendez vous , le président affiche sa mission d’affaire présidentielle en permanence, parce que c’est de celà qu’il s’agit tout simplement. Loin de là la philosophie , la sagesse , qui amèneraient peut etre d’autres artefacts . ici , le temps est compté , tout simplement.

    Sarkosy , exclave du temps et des profits ... aussi con que çà pour moi , la seule subtilité si l’on peut dire, est bien entendu de réaliser que les gens plein de fric et aimant celà , sont aussi de parfaits esclaves qui ont depuis bien longtemps voués leur faits et gestes à la cause ... d’où esclavage , même pour le patron des patrons ... bé voui !

    GRL



  • GRL GRL 20 juin 2009 19:16

    Ah oui , et félicitations pour la photo , c’est tres assorti à l’article en fait , ouais , d’une implacable pertinence, précision suisse , rigeur hautement scientifique , tout y est .

    Sincère bravo ... 



  • GRL GRL 20 juin 2009 19:04

    Comment comparer un antisémite eugeniste à des gens qui donnent le message écologique et qui gagnent aujourd’hui des sieges et des suffrages ? Dans l’intention ? Dans la manière ? Dans quoi donc ? Qu’est que t’aurais voulu Dugué , ... que ce soit un cerf ... , le chef de file des verts , çà t’aurais semblé plus réaliste ? En rien de tels programmes ni de tels hommes sont semblables évidemment !

    A une époque , Dugué m’expliquait que Sarkozy serait obligé de faire une politique de gauche ( si si ) , aujourd’hui c’est Cohn Bendit qui ferait du le pen . Demain Arelette à la tête de Monsanto et un parti écolo uniquement tenu par des animaux de la forêt ...

    Mais même pour provoquer , on ecrit pas çà , c’est juste tres con , et on se doit de le dire , à l’interessé , comme à une rédaction qui le publie. 

    Signalez un abus , j’ai dit con ... deux fois !

    GRL.



  • GRL GRL 22 mai 2009 00:16

    Bonsoir Candide...

    Qouiqu’on en dise , votre article , je l’ai trouvé touchant un peu , un peu parce que vous parlez en votre nom , mais vous parlez une sorte de desespoir que beaucoup de gens gerdent silencieusement aujourd’hui , ou n’expriment pas en tant que tel. C’est pour votre envie de dire d’abord que je vous remercie , et maintenant alors l’on peut essayer de parler de ce drôle d’état où l’on se trouve , lorsqu’on regarde , lorsqu’on se pose un instant et l’on regarde.

    Il est vrai qu’il y a des moments où l’on se tourne de part et d’autre et où l’en sent que notre societé ne nous ressemble plus. L’on ne se reconnait plus en elle , où parfois pire , l’on reconnait silencieusement en beaucoup , ce brin de désespoir que l’on arbore aussi sans même le savoir des fois, oui , ces moments où la societé en tant que telle n’est plus et nous ramène à l’individu que nous sommes , un peu seul , un peu nu , et pourtant entouré de semblables desquel on se sentirait curieusement , paradoxalement isolé.

    Lorsque la societé ne nous ressemble plus , c’est bien qu’elle change çà oui , mais lorsque la societé ne nous rassemble plus ... , c’est que le lien , cette entité qui n’est ni vous , ni moi , ni un autre , mais une idée , une cause , une direction dont que nous avons besoin de prendre ensemble , et bien oui , c’est peut etre que notre vecteur est mourant.

    C’est ici alors que l’on peut se rendre compte jusqu’à quel point celui ci fait partie de notre etre , jusqu’à quel point un ensemble de valeurs , une éthique , une idéologie lointaine comme l’est un ultime , nous donne tant de la direction à prendre dans le chemin de nos vies.

    Liberté, égalité , fraternité , comme une sainte trinité révolutionnairement laïque , un vecteur dont on croierait qu’il puisse durer toujours , par dessus les divisions religieuses , par dessus un ethnocentrisme que l’on voulut vaincu , par dessus l’égoïsme et son argent , dans une gratifiante redistribution, oui secretement gratifiante pour chacun lorsque l’on partle de nos services publics fondateurs ... etre français , etre un peu acteur de tout ceci , de tout ce rêve , se dire et dire que l’on suivrait cette route là justement , et voir un jour les chemins se séparer , se dissiper dans la nature et égarer les citoyens , comme si l’on avait soudain déchiré les cartes du pays et sali le chemin, et sans comprendre regarder tour à tour les autres , sur le chemin , et sentire dans leurs yeux , le même regard , un peu accusateur , et un peu responsable ... 

    Pour certains , chercher à tenir et resister , chercher à ne pas tomber dans le piege de la division , accepter la solitude de la question et ressentir parfois la paranoïa , la machination, chercher, vengeur, la main qui actionne les ficelles , celle qui a tout brisé ... trouver , ne pas trouver , affirmer , proposer , etre subdivisé à nouveau autour de la suspicion d’insinuer qu’il y aurait machination , oui , devenir paranoïaque ou accepter l’idée qu’une direction quelle qu’elle soit fut plus importante qu’une opinion ou des questions individuelles , que l’homme a finalement de mouton que le mal etre de ne plus avoir de vecteur et qu’il preferera l’officiel car son pays s’adresse enfin à lui quoi qu’il lui dise, quoi qu’il lui serve. La verité est même , peut etre que chacun au fond de lui sait lorsqu’on lui ment , mais enferme dans cette tristesse que je peux parfois lire , une déception d’enfant devant ses parents indignes , et se range à l’acceptation de sa peine en voyant ses freres courber l’échine , avaler , accepter , baisser la tête et signer les mensonges les yeux clos. C’est la fratrie des enfants de la république signant l’infanticide et acceptant sa perte plutot que celle des fragments d’idéaux dont chaque citoyens a tant besoin pour vivre .

    Et lorsque toute fierté serait alors laminée, lorsque nos idéaux , nos rtoutes , notre travail et l’âme de nos gens seraient tous vendus au plus offrant , quel fou viendrait alors tendre la main de gens brisés , de gens en qui mille coleres et milles questions grondent sans réponse dans des ventres affamés de coupables , de boucs emissaires , de vengeance  ?

    Est ce celà , l’histoire des idéaux et de leur mort , est ce celà l’histoire , est ce celà qui est à fuir ? Est ce celà un monstre froid ? Rien de plus qu’un idéal qui n’est satisafait que lorsqu’il croit et guerroie , lorsqu’il répend le sang en révolutions violentes , et qui abandonne ses gens aux marchands de tapis et autres traders et présidents de pacotilles , lorsqu’il n’y a plus qu’à transmettre à la génération suivante les valeurs et la mémoire d’une douleur afin de faire durer un systeme que l’on pensait beau ?

    L’idée abandonne ses gens , ses organites , mais l’histoire voudrait elle encore aujourd’hu que nous ne restions pas si longtemps désorganisés , le temps que la prochaine idée accouche encore un de ces vecteurs si structurants , si fondamentaux , en tout cas si profonds pour chacun de nous lorsque l’on se déclare citoyens d’un pays ? Citoyens , c.Y.toyens . Vous ne vous sentez plus cytoyens , alors vous partez. 

    Mon message pour vous et que chaque idéeologie et systeme de valeurs , où que vous vous trouverez , sera un autre monstre froid. La mort de la sainte trinité républicaine vous met à mal, mais c’est le prochain monstre qui s’emparera de nous, le prochain qui aura le pouvoir d’unir suffisement d’entre nous , qui aura le pouvoir de nous faire vivre , ou de nous tuer . C’est pour ou contre celui ci , qu’il nous faudra unir notre discernement et nos forces.

    Bien à vous , GRL.



  • GRL GRL 5 mars 2009 11:56

    La poule n’est elle que le moyen à un oeuf de faire un autre oeuf ?



  • GRL GRL 16 février 2009 17:30

    Retour au religieux  ?

    Que vivent ceux qui sont touchés les premiers , que vivent ceux qui tombent dans un dégout , un refus de la societé telle qu’elle se comporte , dans un regard pétri d’injustice et parfois de violence sur leur propre dégringolade sociale , lorsque le sort leur échappe ?

    Que vivent ceux qui ont , grace à la multiplication des moyens d’information, sont saisis d’un sentiment de dégout global en ce qui concerne l’humanité , au travers des horreurs quotidiennes, ceux qui ne savent alors comment agir , ceux dont l’amour de ce monde est entravé par un grand sentiment d’impuissance  ? 


    Ils cherchent le retour à la loi et le recouvrement de la foi , en cette vie qui se déroule , ils cherchent le vecteur qu’une societé effectivement mondialisée , divisée et sans éthique , perd scandale apres scandale . Oui , quoi de plus naturel à vouloir sauver son âme d’une vision de cauchemar à laquelle on ne veut prendre part ?

    La religion , si l’on met de coté ses effets politiques , ne parle t elle pas de tout temps à ceux à qui le monde ne parle plus ?

    GRL



  • GRL GRL 10 février 2009 17:01

    Faire dans le sens de réaliser , bâtir , construire , faire , modeler, travailler ... mais c’était une fausse question qui consistait à essayer de savoir quels étaient tous les subsituts de l’ "être" pour vous , pour voir jusqu’où vous soutiendriez ... mais vous n’etes pas d’accord , donc vous m’avez répondu . Car moi non plus je ne suis pas d’accord avec l’idée de substituts . Je me disais alors , mais enfin , l’etre en harmonie avec son ecosysteme serait ainsi dénudé de tout besoin de pouvoir , de paraître et d’avoir ??? ... Ca ne tient donc pas la route . Cà me fait penser à une image idéalisée de l’animal ... idéalisée parce que fausse dans ce sens au moins pour le besoin de pouvoir chez l’animal grégaire , social et sa position hiérarchique sans cesse redéfinie dans le groupe.

    Mais enfin , la réflexion à propos de la violence sur les enfants est tout de même tres interessante. Le "qui aime bien chatie bien " à bien monté ce que çà donnait par exemple sur les générations d’enfants de l’angleterre puritaine de Cromwell , où l’on considérait trop l’enfant comme un jeune adulte et l’on recourait au chatiment corporel sans ménagement ... çà faisait "du bien" parait il ... Il me semble bien avoir lu que des études ont été menées sur cette période et celle qui a suivi avec un changement radical des valeurs à ce sujet ... Sans équivoque au niveau de la délinquance et de la violence de rue.

    GRL.




  • GRL GRL 10 février 2009 16:27

    "Or, quand on ne connaît plus le bonheur d’être, on lui cherche des substituts : l’avoir, le pouvoir, le paraître..." 

    Est ce que le " faire " fait partie pour vous de ces subsituts possibles ?





  • GRL GRL 10 février 2009 14:35

    D’autant plus qu’une journée de travail n’est pas une durée pendant laquelle le salarié est au maximum de sa productivité quel qu’en soit le moment . Pas du tout au contraire , nous avons tous tendance à traverser des phases durant lesquelle nous sommes moins productifs , dans lesquelles nous pouvons parfois etre rêveurs, préoccupés , bavards ou encore somnolents , et il est clair qu’un etre humain ne ressemble en rien à une machine en ce sens. Il y a de même , des pauses légales au travail , dans lesquelles l’on sort prendre l’air 5 minutes , l’on parle avec un collegue , il y a un perpétuel besoin de "balancer" une journée en l’agrémentant ( ou en subissant , comme dans le cas des somnolences ) de moments dans lesquels nous sommes moins concentrés , moins assidus , mais enlever ces moments aux salariés est la promesse d’une productivité moindre , de fatigue , d’absentéisme , et a des répercussions sur la vie apres le travail . Et bien oui , nous sommes humains et travailleurs , et lorsque les societés font la chasse , aux mails , aux pauses cigarette et aux moments de relâche ( comme dans les centres d’appels où les employés sont écoutés ) , et bien m’est avis que l’on obtient rien de bon en résultat.

    L’affaire des courriels est l’histoires de prétextes à la débauche , car l’honneteté voudrait que l’on mette alors à plat toutes les boites mail de la boite pour réaliser collectivement de quoi il s’agit , et on trouverait certainement un grand nombre de gens " en faute " à ce moment là . Et vous pensez qu’un patron virerait , style 30 pcent de son effectif si cette part là du personnel était en faute ? Non , il ne serait pas fou. Du coup je n’ai jamais cru à ce type d’histoires et à ces fausses raisons . De même , la journée de travail ne se calcule pas en heure / homme mais lorsque c’est le cas , en heure / machine. Impossible d’appliquer mécaniquement celà à l’humain , et ce pour des raisons tres naturelles.

    Par contre , en cas d’abus, une discussion entre l’employeur et l’employé peut etre un élement constructif où l’on parle de temps , d’argent , de travail et du besoin d’en sortir de temps à autre au cours d’une journée. Cà mange pas de pain , çà permet de se connaitre et pourquoi pas, de se comprendre mutuellement . On peut rêver ...

    GRL



  • GRL GRL 10 février 2009 11:46

    Il semblerait alors que l’on ait de plus en plus besoin d’une couche supplémentaire , d’une nouvelle collection de liens , comme l’extension d’une dendrite qui nous aurait un temps reliés au autres humains mais qui chercherait à élargir ses points d’accroche et nous relier aujourd’hui aux objets et à des collections d’informations supplémentaires.

    Est ce qu’un Wikipédia de ce style nous permettrait un jour de nous balader en forêt et arretés devant un arbre ancien , pointer notre troisieme oeil et y voir une bulle " Cèdre du Liban / 350 ans ... etc ... " ? je demande ceci parce que le buisness est toujours le premier à sauter sur une nouvelle technologie mais un moyen est un moyen , il peut ensuite servir , se dériver en une multitude de fonctions , et l’environnement cliquable , si l’on y réflechit semble etre une ouverture pour le moins impressionnante "

    GRL



  • GRL GRL 10 février 2009 11:25

    En même temps, lorsqu’on s’imagine l’antisémitisme , je veux dire pour de bon , on comprendra vite qu’un mot , si évocateur soit il est plus à même de susciter une réaction viscérale en souvenir ( tres entretenu ) d’une véritable horreur , que de qualifier réellement et pesément quelqu’un d’antisémite avec tout ce que celà veut dire en terme de projections meurtrières.

    Est ce que ce mot n’est pas utilisable en d’autre endroit ? Est ce un nom propre , est ce une date ? Fige t il à ce point le temps ailleurs que dans les esprits choqués et en une histoire non dégagée d’une certaine culpabilité ( car tout n’était pas tout blanc ici , hein , n’est ce pas ? ) ...

    Cà c’est comme l’histoire des gens qui n’arrivent pas à dire " arabe " ou " noir " et qui preferent " Nord Africain" ou " Sub Saharien" ... ils ont peur d’etre qualifiés de , ils ne font pas confiance en leur interlocuteur à propos de la portée d’un mot, ils pensent qu’on pourraient justement interpréter et partir du mot pour les qualifier de racistes ce qui les rabaisserait et les indignerait , les mettrait dans l’embarras .

    D’ailleurs même, essayez de leur faire dire " amour " à ces gens , çà ne marche pas non plus, çà les rend "vulnérables". Alors les mots , les mots , n’ont de réelle portée que lorsqu’ils sont arrivés à destination , dans les oreilles et les esprits . un mot donné ne nous appartient plus et tant de gens en font les frais aujourd’hui un peu comme dans une chasse aux sorcières ...

    GRL




  • GRL GRL 8 janvier 2009 16:13

    " Impasse, les internautes l’ont montré, se dévoilant comme des ânes, des cons se précipitant sur des dépêches sans aucun intérêt sur Rachida Dati, aussi empressés d’aller aux nouvelles que d’aller pisser. Autant dire que l’impasse est pour l’instant constatée et que les citoyens n’ont aucune excuse."

    Sans déconner Bernard , t’en a pas écrit , toi , des articles people à la con ? De la nourriture à gogo ? Tu crois vraiment passer en dehors des impasses que tu décris ? Il y a pas si longtemps , tu pondais deux articles people inéteressants au possible par semaine ... Sans déconner , tu repereras le temps des impasses à l’heure des tiennes visiblement , ... proprement aveugle, je n’en lis pas plus ce coup ci . T’es singulierement gonflant avec ta dépression non soignée .



  • GRL GRL 4 décembre 2008 09:58

    Bon alors tout çà c’est bien joli , et il semblerait que ça remue tout le monde, une arrivée " pareille " !?? Sans rire , c’est pas la peine de chercher des poux dès qu’il y a quelque chose qui dépasse. Pour ma part c’est ce que je lis. Trop jeune , doutes su son identité, doutes sur l’origine de ses articles ... bref , on pourrait croire que des sites comme celui ci puissent se débarrasser de certaines rigidités , censure , peurs et révoltes face à la nouveauté, des attitudes dont on se plaint lorsqu’elle émanent habituellement .... des gouvernements ... et ceci est somme toute très instructif. Le titre de cet article en est d’ailleurs éloquent. Il pose directement la question de savoir si cet internaute doit oui ou non faire partie de ce que l’on a coutume d’appeler , notre communauté . Alors si l’on prête très souvent aux gouvernements les torts de vouloir couper tout ce qui dépasse en société, de tirer vers le conformisme , de freiner l’innovation , l’initiative , et bien maintenant , vous relirez ce fil et vous saurez pourquoi. En effet, l’on a tous tendance semble t il à s’indigner de l’arrivée d’une telle ...différence et de vouloir par un moyen ou par un autre , la rejeter tout en argumentant de diverses indignations morales , " il passe à coté de son enfance " , il " devrait être à l’école " , pas possible , ce n’est pas lui " , " ces articles sont nuls " , " il ne peut connaitre les sujets qu’il aborde " , .... et j’arrête là devant tant d’indignations quelque peu tirées par les cheveux en fait ... Et donc pour finir , ce pourquoi j’écris , c’est juste pour remarquer devant vous que dans ce fil , nous avons là un exemple typique d’accueil de "la différence" par une communauté et malheureusement , même ici , les suspicions abusives et les jugements rapportés font partie de cet accueil. " L’indignation morale est de la jalousie surmontée d’une auréole" Merci de votre lecture GRL



  • GRL GRL 11 novembre 2008 23:42

    Merci pour cet article.

    Juste pour l’échange et une vue peut etre complémentaire à la votre , dans l’édition d’hier. 

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=46995



  • GRL GRL 11 novembre 2008 23:31

    Justement , je ne sais pas moi non plus , si on a le temps... Mais le seul moyen de le savoir , si celà ne change pas, et bien c’est qu’il soit trop tard .... arg !

    Alors m’est avis que mieux vaudrait s’y mettre de suite.