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Les commentaires de Christian Labrune



  • Christian Labrune Christian Labrune 26 juin 2019 14:48

    Cette fin de partie ressemble beaucoup au jeu du chat et de la souris, lequel peut durer un certain temps qui est fonction des réserves d’énergie du plus petit animal. Quand celui-ci ne bouge plus du tout, la règle du jeu veut qu’il soit mangé par le plus gros, et cela est sans exception : personne n’a jamais vu la souris dévorant le chat !

    Ca prendra le temps qu’il faudra, mais le régime des mollahs est foutu. Il ne tardera pas à tomber dans les poubelles de l’Histoire. Sic transit stultitia mundi !




  • Christian Labrune Christian Labrune 26 juin 2019 13:20

    Enfin, bref, Gruni, vous avez raison, c’est un scoop : il fait chaud en été...

    ...........................................................
    @Pale Rider
    Petit extrait de L’urgence climatique est un leurre de François Gervais :
    page 232 : le syndrome carbocondriaque
    «  »s’il fait froid, c’est la météo, s’il fait chaud c’est le changement climatique« , un nouveau paradigme : s’il fait froid, si le vent est glacial, s’il neige, si se forme le verglas, c’est à cause du réchauffement. Comme les épisodes les plus chauds lui sont immanquablement attribués, le réchauffement accède au statut de dogme qu’il fasse chaud ou froid, ou sec, ou humide, ou venteux, ou orageux... »

    J’ajouterai que le mois de mai, et le mois de juin jusqu’à ces derniers jours, avaient été particulièrement froids et pluvieux, ce que personne n’avait songé à remarquer, mais c’est que le froid, dans cette perspective, annonce nécessairement un réchauffement, et nous l’avons enfin, même si ce matin, dans mon appartement à Paris, et au plus fort de la canicule, je n’ai pas même besoin de faire tourner un ventilateur !



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2019 16:43

    Le réchauffement climatique n’est pas aussi irrémédiable que beaucoup paraissent le croire. Ainsi, les historiens expliquent l’effondrement de l’économie et du système politique après le règne de Pepi II, à la fin de l’Ancien Empire égyptien, par une modification climatique de grande ampleur. Le Sahara, qui était encore une steppe, est devenu le désert que nous connaissons. Les crues du Nil devenues insuffisantes ont cessé de fertiliser la vallée, et cette situation s’est prolongée durant toute la Première période intermédiaire ( 2200  2030) qui précède le Moyen-Empire où s’opéra, fort heureusement, un rapide redressement qui durera jusqu’à la fin de la XXe dynastie, celle des Ramsès.

    En tant qu’écologiste féru d’histoire, je proposerai cette explication : la construction des grandes pyramides avait été un vrai désastre écologique. Qu’on imagine le nombre de camions nécessaires pour transporter les millions de tonnes de matériaux, et l’effarante quantité de CO2 dégagée par la combustion du carburant dans les moteurs diesel ! A mon avis, c’est là que l’entreprise Berliet, spécialiste des gros camions, a dû commencer à connaître un véritable décollage économique ! A l’époque du Moyen-Empire, on construira encore quelques pyramides, certes, mais si modestes qu’elles ont presque disparu, et on interdira en même temps la traction automobile et même l’utilisation des avions.

    Grâce à ces très sages mesures imposées par les écologistes d’alors, et dès le règne d’Amenemhat Ier qui ouvre la XIIe dynastie, ça va déjà beaucoup mieux. Le Nil recommence tous les ans, vers le 18 juillet, à inonder la plaine.

    C’est bien la preuve que la première cause des variations climatiques, c’est l’activité humaine. Interdisons déjà la construction des pyramides, on s’en trouvera mieux, et profitons de l’occasion pour exiger la démolition de celle de la cour du Louvre, qui est une parfaite horreur.



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2019 10:18

    si François Gervais publie ses doutes dans un revue avec comité de lecture, son étude sera prise en compte.

    ADDENDUM
    François Gervais est un scientifique de haut niveau et il n’a jamais publié que dans des revues contrôlées par un comité de lecture ! Les auteurs qu’il cite (deux ou trois pages de références à la suite de chaque chapitre !) sont également des auteurs sérieux qui s’appuient.
    Ce que vous paraissez ne pas avoir compris, c’est que le GIEC, précisément, ne s’embarrasse jamais des thèses qui contredisent son idéologie. Il fonctionne à peu près comme l’inquisition médiévale chargée de lutter contre l’hérésie. Les « scientifiques » du GIEC sont rétribués pour mettre en évidence un réchauffement, et ils font ce qu’on leur demande de faire et qui justifie leur salaire. Ce qui est hérétique, ils ne l’examinent pas, ils le condamnent comme l’Eglise avait condamné les thèses de Galilée. Le XXIe siècle post-moderne, c’est triste à constater, a définitivement renoué avec le pire obscurantisme.



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2019 10:01

    . En 2030, elle avait dépassé 38° !

    ==========================
    On aura compris que je voulais parler de l’année 2003. Faute de frappe, excuses !
    J’ai aussi oublié un « s » quelque part : « les étés » et non pas « les été » !



  • Christian Labrune Christian Labrune 25 juin 2019 09:56

    si François Gervais publie ses doutes dans un revue avec comité de lecture, son étude sera prise en compte.

    ..................................................................
    @Garibaldi2
    à la Page 230 de son étude, Gervais laisse la parole à Serge Galam, directeur de Recherche au CNRS et physicien à l’Ecole Polytechnique, dans son livre Les scientifiques ont perdu le nord, lequel pose que mettre en avant un consensus est un aveu d’absence de preuve. Citation de Galam :
    « En tant que mathématiciens, nous avons toute légitimité pour répondre à la question suivante : si les travaux du GIEC étaient soumis pour publication à une revue scientifique honnête, seraient-ils acceptés ? La réponses est particulièrement simple : aucune revue de bon sens, de bon niveau, ne publierait de tels travaux. Les conclusions du GIEC sont en contradiction avec les observations ; les données utilisées sont délibérément choisies pour étayer les conclusions (au mépris de l’honnêteté scientifique la plus élémentaire), la variabilité naturelle des phénomènes est passée sous silence. Le rapport du GIEC n’obéit pas aux règles fondamentales de la recherche scientifique et ne pourrait être publié dans aucune revue avec comité de lecture ».
    Gervais ajoute : « Si une discipline scientifique n’a pas de théorie validée par l’expérience, elle doit s’interdire d’annoncer qu’elle est capable de faire des prévisions ».

    Fin des citations.
    Tout ça rappelle fâcheusement, dans les années 80, les théories d’un certain Benveniste sur la « mémoire de l’eau » dont les expériences, pour lui très concluantes, n’avaient jamais pu être reproduites, et dans aucun laboratoire.
    Par ailleurs, la situation actuelle est très éclairante : la semaine passée, on annoncait -réchauffement climatique oblige ! qu’on aurait à partir de lundi une canicule terrible et mortelle. Hier, je n’ai même pas fait tourner le ventilateur. Pas plus ce matin, et la nuit à Paris aura été plutôt fraîche. Gros mensonge dans tous les media : c’est particulièrement grave, dit-on, parce qu’on n’est qu’en juin. Or, les vagues de chaleur, les années précédentes, ont toutes coïncidé avec la fin du printemps et les premiers jours de l’été. Je me souviens très bien que dans les premières années du siècle, je ne partais jamais pour interroger les candidats à l’oral du bac sans emporter un énorme ventilateur parce que les salles d’examen étaient de véritables fournaises. Depuis, les été sont de moins en moins chauds. Quand la température extérieure atteint 35°, certes, il fait chaud, mais dans les années 50, c’était déjà assez constant pendant une ou deux semaines en juillet-août, mais il y a bien dix ans que la température, dans mon appartement, n’a jamais atteint 30°. En 2030, elle avait dépassé 38° !



  • Christian Labrune Christian Labrune 24 juin 2019 13:12

    C’est bien vous qui l’avez qualifié de climatologue, non ?

    ...................................................................... ...
    @Garibaldi2

    François Gervais, qui est un spécialiste dans des domaines très pointus et qui s’est penché sur la question du climat, vient de publier un bouquin extrêmement éclairant, relevant toutes les erreurs scientifiques de ceux qui n’ont pas ses compétences. Il fait même oeuvre de sociologue lorsqu’il examine les mécanismes de fabrication de la croyance, et il mérite donc plus qu’aucun autre le titre de « climatologue » puisque la plupart de ses confrères sont des climatologues auto-proclamés sans réelle formation, un peu comme les imams qui prêchent dans nos banlieues.
    Il fait observer par exemple que la posture première de tout scientifique, c’est le scepticisme, même vis-à-vis de ses propres hypothèses. Par un curieux renversement, le climato-scepticisme est devenu un crime. Il fait observer que l’antonyme de climato-sceptique, c’est climato-crédule !
    Il fait aussi remarquer que la climato-crédulité est une aubaine pour un certain nombre d’acteurs économiques et même de chercheurs fort peu pointilleux sur l’éthique de la recherche. Page 189 :
    « Rassurons-nous, les sciences du climat restaient jusqu’à présent très bien dotées car le financement de la recherche opère de plus en plus par appels d’offres fléchées au détriment d’un »financement durable« . S’agenouiller, prosterné devant l’ostensoir du »réchauffement« , devenu »changement« puis »dérèglement« climatique [*] reste la mention obligée de nombre de demandes de financement ; Rajouter une petite phrase pour évoquer la lutte contre le changement climatique peut contribuer au succès du projet, même s’il n’a rien à voir avec le CO2 et encore moins avec le climat ».
    [*] Gervais fait ici allusion à l’embarras actuel des « réchauffistes » confrontés au fait que depuis plus de dix ans, il n’est plus possible d’observer le moindre réchauffement significatif.



  • Christian Labrune Christian Labrune 24 juin 2019 12:35

    https://energieetenvironnement.com/2018/04/10/legypte-ancienne-a-reagi-aux-changements-climatiques/

    @Eric F
    A cette page, quelques aperçus très sommaires sur l’évolution du climat dans l’Egypte antique. On explique maintenant l’effondrement politique et économique du pays durant la période intermédiaire (2200-2060) qui succède, après le règne de Pépi II, à l’Ancien Empire, par une augmentation de la sécheresse dans toute l’Afrique du Nord. Le Sahara, qui était une steppe, devient un désert. Plus tard, à la fin du Nouvel Empire le même phénomène se reproduira sur près de cent ans, entraînant à peu près les mêmes conséquences. Mais entre la première période intermédiaire et celle des derniers Ramsès, le Nil avait recommencé à inonder les plaines, le pays avait retrouvé sa richesse et son opulence. Ce fut l’apogée de cette grande civilisation.
    Je suppose que les écologistes au Moyen empire, ont dû interdire l’exploitation du pétrole, celle du charbon dans les centrales électriques, et même détruire les haut-fourneaux des aciéries, de manière à limiter efficacement la production de CO2 !!!
    Aujourd’hui à Paris, c’est une terrible canicule. On ne parlait de rien d’autre ces derniers jours dans les media. J’ai bien un ventilateur à portée de main, mais je n’ai même pas encore songé à le faire tourner !



  • Christian Labrune Christian Labrune 23 juin 2019 10:18

    ce qui ne fait pas de lui un climatologue.

    ......................................................
    @Garibaldi2

    Un « climatologue », ça n’existe pas. On appelle « climatologues » des gens dont l’expertise s’applique seulement à un domaine qui peut être utile à l’étude des variations climatiques. Un « spécialiste du climat », qui ne serait pas à la pointe dans un domaine très précis des sciences, qui s’amuserait simplement à confronter des courbes statistiques auxquelles il ne comprendrait pas grand chose, ça ne serait pas un climatologue, ce serait un journaliste. Le journalisme et la rigueur scientifique, ça ne fait pas toujours bon ménage. On en est là aujourd’hui, et c’est une calamité.

    Un extrait de l’article « climatologie » de Wikipedia :

    "La climatologie est constituée d’une multitude de disciplines scientifiques. On y retrouve entre autres les astrophysiciens qui s’intéressent à la quantité d’énergie solaire reçue par la terre, les dynamiciens de l’atmosphère qui s’intéressent aux échanges d’énergie entre les différentes couches de l’atmosphère, les chimistes de l’atmosphère qui étudie la composition de l’air, d’océanographes, de glaciologues, de volcanologues, des géophysiciens, des biochimistes, de biologistes, etc. C’est l’addition du savoir de chacune de ces disciplines qui permet d’obtenir une compréhension globale de l’histoire de notre climat, ainsi que de permettre de faire des projections pour prédire statistiquement son évolution".



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 juin 2019 22:59

    Un point fait l’unanimité, c’est que la pollution de manière générale est néfaste

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    @Eric F
    Des villes comme Paris ou Londres étaient infiniment plus polluées vers 1830, à cause de la révolution industrielle, qu’elles ne le sont aujourd’hui. A cette époque-là, avant la création du réseau d’égouts par Belgrand sous le seconde empire, on crevait aisément du choléra, les riches comme les pauvres. Casimir Périer en est mort lors de l’épidémie de 1832. Et l’espérance de vie, à cette époque, est encore plus proche de quarante que de cinquante ans.
    On n’a pas attendu les écologistes pour créer des égouts, des stations d’épuration, et pour assainir les processus industriels !



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 juin 2019 22:47

    le doute progresse.

    .................................
    @Eric F

    Il progresse même très bien, le doute, comme ces grandes peurs qui, à la fin du XIVe siècle, après la grande peste, agitaient l’Europe. Du côté du Cimetière des Innocents à Paris, on prédisait la fin des temps. Partout surgissaient des processions de flagellants. Si on veut voir ceux d’aujourd’hui, il suffit d’allumer la télévision : plus un seul bulletin d’information sans l’apocalypse climatique.
    J’ai déjà plusieurs fois recommandé sur ce site l’excellent bouquin du climatologue François Gervais (L’urgence climatique est un leurre). Lui au moins sait de quoi il parle. Son exposé technique est très pointu, et chaque chapitre est étayé par des dizaines de références à des publications scientifiques dont les idéologues du GIEC préfèrent ne pas tenir compte.
    Le climat change, certes, mais il n’a jamais rien fait d’autre. Il a fait plus chaud et il fera plus froid ! Le CO2 n’y est pas pour grand chose, et son augmentation aura surtout permis celle de la biomasse dont on aurait tort de se plaindre. Sans cette spectaculaire amélioration des rendements agricoles depuis le milieu du XXe siècle, beaucoup crèveraient encore de faim.



  • Christian Labrune Christian Labrune 22 juin 2019 10:12

    Tout ce que je peux dire, sans invoquer la montée des océans et la calotte polaire qui avait déjà complètement disparu en 2015 conformément aux prédictions des spécialistes, c’est que le climat a quand même effectivement changé à Paris ces dernières années.

    En 2004, j’avais dû acheter un climatiseur. Je l’ai fait fonctionner, pendant à peu près cinq ans, durant une vingtaine de jours chaque été. Il y a trois ans, j’avais regretté de l’avoir installé (ce qui implique le bricolage et la condamnation d’une fenêtre) parce qu’il n’avait servi que durant trois ou quatre jours. Même situation l’année suivante, et l’an passé, je ne l’ai même pas installé  : jusqu’à 28°, un ventilateur est bien suffisant. C’est donc bien qu’il fait de plus en plus chaud, comme on aura pu le constater encore avec la terrible canicule que nous venons de connaître à Paris ces dernières semaines.

    Par ailleurs, des études tout aussi « scientifiques » que celles du GIEC font observer que la configuration des champs magnétiques solaire (je n’en dirai pas plus parce que je suis là-dessus tout à fait incompétent) devrait, vers 2030, nous faire entrer dans une situation très comparable à celle du « petit âge glaciaire » qui avait produit durant une cinquantaine d’années, avec un pic au début du XVIIIe siècle, des hivers particulièrement rigoureux : le pinard, en 1709, gelait dans les carafes sur la tables de Louis XIV !

    C’est très probablement parce que les écologistes, au début du XVe siècle, avaient pris des mesures beaucoup trop sévères pour interdire l’utilisation du pétrole et des ressources fossiles afin de limiter le CO2 responsable, dès le XIe siècle, de ce spectaculaire optimum climatique médiéval qui avait permis d’étendre, dès le XIIIe siècle, la culture de la vigne jusqu’au Sud de l’Angleterre.

    Ajoutons que depuis 2.5 millions d’années, les périodes chaudes de vingt mille ans tout au plus ont succédé 17 fois, avec une régularité de métronome, à des périodes glaciaires de plus de cent mille ans. Nous sommes donc à la fin de la période chaude qui a vu, dès le néolithique, se développer au Proche-Orient les grandes civilisations. Ce qu’il y a devant nous, c’est donc le plus grand froid, et peut-être quelques accidents très spectaculaires et aggravateurs causés par l’éruption de grands volcans (Yellowstone, Champs phlégréens) dont la chambre magmatique est déjà pleine à craquer. 







  • Christian Labrune Christian Labrune 18 juin 2019 20:03

    Article absolument génial. J’avoue que je n’avais jamais envisagé la question sous cet angle du droit à l’égalité, mais d’un seul coup, pour moi, tout s’éclaire.

    J’ajouterai simplement, pour prouver que j’ai parfaitement compris, qu’on devrait dire aux Iraniens, comme dans le récit légendaire de la bataille de Fontenoy : « Messieurs les Iraniens, faites exploser en premier ! »

    Le problème c’est quand même qu’avec des connards aussi fanatiques, il ne sera même pas nécessaire de le leur dire : leur logique na rien à voir avec celle de la dissuasion qui aura permis la guerre froide, laquelle fut, fort heureusement, une absence de guerre.

    Citons le maître à penser de Soleimani et de tous les joyeux militaires actuels en Iran, l’imam Khomeini :

    "La guerre sainte signifie la conquête des territoires non musulmans. Il se peut qu’elle soit déclarée après la formation d’un gouvernement islamique digne de ce nom, sous la direction de l’Imam ou sur son ordre. Il sera alors du devoir de tout homme majeur et valide de se porter volontaire dans cette guerre de conquête dont le but final est de faire régner la loi coranique d’un bout à l’autre de la Terre. "

    On me permettra bien d’ajouter : Allah akbar !




  • Christian Labrune Christian Labrune 18 juin 2019 14:12

    https://www.rtl.fr/actu/international/diplomatie-pourquoi-marielle-de-sarnez-est-elle-envoyee-en-iran-7797850734

    Personne n’en a dit mot sur cette page, mais la Présidente de la commission des Affaires étrangères à l’Assemblée, Marielle de Sarnez, est allée ces derniers jours en Iran, probablement voilée jusqu’au menton, pour résoudre la crise qui menace de mettre à feu et à sang le Moyen-Orient.

    Cette « franche collaboration » (ainsi parlait Pierre Laval !) de notre pays avec le régime islamo-nazi de Téhéran, champion de la démocratie intégrale, doit en réjouir plus d’un ici.

    Il est donc très probable que dans les prochaines semaines on verra l’Iran renoncer à faire tourner ses centrifugeuses, et les missiles à plus ou moins longue portée destinés à frapper la vieille Europe seront envoyés à la casse.

    Soleimani et ses Gardiens de la Révolution vont se retirer de la Syrie - enfin ! Le Hezbollah libanais sera dissous, le Jihad islamique à Gaza comme les Houthis, privés de munitions et de commandement, vont finir par s’étioler, et le trafic des stupéfiants, qui était une spécialité du Hezbollah, va en prendre un sacré coup !

    Je tire mon chapeau à cette politique si courageuse de la France, laquelle n’aura jamais hésité à prendre le taureau par les cornes. Je n’ai donc jamais été plus fier d’être français.



  • Christian Labrune Christian Labrune 17 juin 2019 17:41

    Il va vous falloir vivre avec ça.

    .............................................
    @Philippe Huysmans

    « ça », c’est probablement votre problème ; ça vous obsède visiblement, mais ce n’est pas du tout le mien, qui est seulement de penser librement avec un maximum de rigueur et de lucidité, tant que ce sera possible.
    Vous aspirez évidemment à devenir « quelque chose », semble-t-il, et même n’importe quoi, ne serait-ce qu’un presse-purée, un chomsky ou un antisémite, et je vous vois sur ce forum comme un vieux mégot refroidi au bord d’un cendrier encrassé.
    Il reste qu’un pareil résultat, c’est pire que tout, et même pire que rien.



  • Christian Labrune Christian Labrune 17 juin 2019 17:05

    @Philippe Huysmans

    Je ne vous réponds même plus. Vous vous êtes maintenant bien suffisamment ridiculisé, et je ne veux jamais la mort du pécheur.



  • Christian Labrune Christian Labrune 17 juin 2019 16:47

    @Philippe Huysmans

    Pour moi et pour beaucoup d’autres, munis de suffisamment d’esprit critique, chomsky est un salopard. Point.



  • Christian Labrune Christian Labrune 17 juin 2019 15:09

     Bon en même temps, la réponse saute immédiatement aux yeux, hein.

    ===========================
    @Philippe Huysmans

    ben oui, la Vérole : l’Allemagne nazie, avant d’attaquer la Pologne le 1er septembre 39, avait asservi ou annexé beaucoup moins de régions voisines que le régime des mollahs.