Je connais bien moi aussi ,Christian Labrune la fable:elle met en scène un pauvre bûcheron ,en activité puis qu’il marche d’un pas pesant et lourd, il n’est pas à l’agonie,s’il ’avait été dans un état d’extrême souffrance,il aurait accueilli la mort à bras ouvert :une souffrance intolérable ,ce n’est pas la souffrance du travail de tous les jours...La morale de la fable « plutôt souffrir que mourir » montre simplement l’attachement des hommes à la vie mais quand la vie n’est plus la vie quand les souffrances sont trop atroces...comment l’envisager ? comment accepter que les êtres que vous aimez connaissent de telles souffrances ?