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Les commentaires de dupont



  • dupont dupont 9 mars 2010 11:08

    Ouais...
    Donc la solution, comme toujours, aller prendre dans la poche des autres en l’occurence les mauvais patrons, les sales riches et bien sûr l’Etat honni mais duquel on attend tout. Et hop là, le tour est joué !
    Et si, déjà, on mettait tout le monde sur la même ligne : les politiques, les fonctionnaires, les régimes spéciaux, les cadres, les non-cadres, les cultivateurs, les artisans... avec des références communes et des prestations versées selon un mode de calcul identique ?
    Et si les subventions aux CE de certaines entreprises, qui vont rejoindre le système général en le grèvant suite à des conditions avantageuses accordées à leurs salariés, versaient l’excédent aux caisses de retraites (SNCF, RATP, EDF...) ?
    Et si travailler plus longtemps n’était pas ressenti comme une corvée dès lors que les conditions de travail étaient adaptées ?
    Et si l’on mettait un plafond de retraite par foyer fiscal, le complément étant du domaine de la gestion individuelle ?
    Et si les « petites retraites » que l’on se plaît à afficher sur un ton misérabiliste n’étaient que le résultat d’un calcul équitable et donc incontestable, le plus à apporter n’étant pas une affaire de montant de retraite mais de solidarité nationale ?
    Et si au final, le problème se révèlait insoluble tant que l’emploi ferait défaut (60% d’emplois industriels disparus en quelques années) ?

    Alors imposer, taxer, demander à travailler plus longtemps quand il n’y a rien à faire : les fausses bonnes solutions. De même que celle des partisans de la lutte finale prêts à faire des grèves dures dans le désert...industriel, pour préserver des avantages acquis auxquels ils n’ont plus droit.

    La solution ne peut passer que par l’emploi et l’équité dans l’attribution des pensions.



  • dupont dupont 26 février 2010 20:35

    Pourquoi ce tutoiement, nous ne sommes pas allés en prison ensemble, si ?
    Moi je pense d’abord aux victimes, celles qui ont été tuées ou handicapées à vie alors qu’elle ne demandaient rien à personne, qui laissent des veuves, des orphelins qui resteront traumatisés le restant de leur vie.
    Après cela, le confort d’un malfrat conscient de ses actes m’importe peu : il ne paiera jamais assez pour le mal qu’il a causé.
    J’ai déjà entendu Portelli, le gaucho de service parmi les juges, tenir ce propos que la prison c’était difficile. C’est sûr mourir assasiné ça dure moins longtemps, quoique certains arrivent à faire durer !
    Alors votre appel à la compassion très peu pour moi même enrobé de votre vulgarité.
    Se repent-il seulement votre coupable ? Chacune de ses nuits devrait être une nuit d’insomnie. Et l’oeil suivait Caïn...



  • dupont dupont 26 février 2010 18:40

    Pour en terminer, les victimes ont tort. elles sont coupables de s’être trouvées sur le chemin du criminel. Criminel qui doit bénéficier de toutes les attentions pour un crime qui n’existe plus : il est devenu victime.
    Apitoyons -nous donc sur son sort, faisons que sa punition soit la plus douce et rapide possible. Et s’il récidive, ce sera la faute de l’Etat et de l’administration pénitentiaire qui n’aura pas tout mis en oeuvre pour en faire un citoyen modèle.
    Marcher sur la tête est un exercice qui demande de l’entraînement, mais avec un peu de pratique...
     



  • dupont dupont 26 février 2010 15:18

    Ah, ouais ? Communiquer avec les morts, ça s’appelle comment déjà... ? Il est fort l’homme en rouge : c’est le père noël ?



  • dupont dupont 26 février 2010 14:53

    « Les victimes attendent, avant tout, une prise de conscience par le délinquant de ce qu’elles ont subies - les enfermer, dans un désir de vengeance fait d’elles des bourreaux et étend le problème au lieu de l’apaiser. »

    C’est beau ça ! Juste une question, les victimes décédées, elles attendent quoi déjà... ?



  • dupont dupont 26 février 2010 14:49

    Heureusement que des gens comme sot briquet sont là pour « décrasser » les autres.
    Merci sot briquet de nous permettre de nous enrichir !
    Il me semble que vous avez oublié un couplet :
    - Nous sommes tous des victimes, seule la société et coupable ! Sarko aussi, mais là vous l’avez déjà dit.



  • dupont dupont 26 février 2010 10:51

    Il est d’usage aujourd’hui d’inverser les valeurs. On oublie les victimes, on s’apitoie sur les coupables, c’est le nouveau courant. Tout est bon pour justifier cela : les innocents possibles incarcérés à tort, la réinsertion compromise, l’école du crime...
    Par contre les parents, les frères, les soeurs de la victime tuée sauvagement : le convoyeur payé au SMIC « buté » pour avoir été là, le commerçant assassiné pour quelques euros, le vieux torturé et exécuté pour une carte bleue, le passant battu à mort pour un regard jugé agressif, que ces gens là soient traumatisés le restant de leur vie : ce n’est pas le problème ! Ce qui compte c’est le bien être du coupable : confort, distractions, activité sexuelle... Attention, vous allez obtenir l’effet inverse : ils ne voudront plus sortir !
    Vous êtes juge et partie, madame, donc peu convaincante. Qu’en serait-il si au lieu d’un coupable vous aviez une victime parmi vos proches ?
    De même que Badinter qui s’est forgé une réputation humaniste totalement usurpée en abolissant une peine de mort qui n’était plus appliquée : il aurait aboli la peine de mort pour les victimes, là c’eût été un Grand Homme.
    Alors que l’on fasse un distinguo entre voleurs de poules et criminels de sang, Ok, mais c’est là ma seule concession.