Mouais,
C’est bien beau de parler des bons cotés du libéral. Mais en fin de compte on peut reformuler ces belles envolées en :
— T’as ce que tu mérite.
— T’es responsable, on t’as pas forcé, puisque t’es libre
Il ne faut donc pas oublier la naturelle responsabilité qui doit être la contrepartie de la liberté pour le libéral. Le premier gros défaut du principe libéral dont personne ne parle jamais, c’est à mon avis la dilution de la responsabilité.
Le second gros problème de ces nouveaux libéraux sur le retour (que je ne confond pas avec les néolibéraux) c’est que l’état ne devrait se limiter qu’à ses fonctions régaliennes. Mais si il n’intègrent pas une éducation obligatoire sur les valeurs et les techniques de la liberté comme par exemple un cours de pensée critique, comment leur système peut-il bien se pérenniser ?
Ha oui, on peut toujours pérenniser le système avec des flics. Mais bon pas besoin de critiquer plus loin, je pourrai m’étendre indéfiniment sur le sujet : Les nouveaux libéraux sont, d’après mes observations alcoolisées, des gens qui ont beaucoup plus ce qu’ils méritent, qu’ils ont peur de perdre ce qu’ils ont, et qui ont décidé de se retrancher maladroitement derrière la liberté pour exiger le démembrement de l’Etat afin de payer le moins d’impôts possible.
Le libéral c’est l’anti-bobo qui batifole au milieu de ressources infinies. La Liberté doit se retourner dans sa tombe.