• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Hervé Hum



  • Hervé Hum Hervé Hum 9 mars 13:03

    @Iris

    permettez que je vous donne mon point de vu.

    Par définition, l’altruisme est une action gratuite, qui donc n’implique pas la réciprocité, car c’est la définition du principe de l’échange.

    De fait, la voie juste, équilibré est celle de l’équilibre (juste) de l’échange et non une prise d’intérêt sur lequel fonctionne le système capitaliste (qui implique la souveraineté et propriété).

    Autrement dit, la voie juste est celle du principe du mérite personnel, qui interdit par définition la prise d’intérêt sur le mérite d’autrui.

    On peut l’exprimer par la formule d’égalité ou d’équilibre ou de justice suivante (mot différent selon le domaine considéré, mais fondamentalement c’est le même principe).

    Nul ne peut prétendre à plus de droits (monétaire et immobilier) qu’il n’accomplit de devoirs par lui même et nul ne peut se voir exiger plus de devoirs qu’il ne demande de droits pour lui même.

    C’est seulement à partir de là que chacun peut décider ou non d’une action altruiste !

    Mais ici, il est interdit de prétendre avoir un droit de prélever un intérêt sur le travail d’autrui, seulement en relation avec son mérite reconnu. Qui peut être très grand selon son apport personnel à l’accomplissement de la volonté générale (avec effet d’échelle !). Il y a toujours des êtres avec des richesses différentes, mais elles ne sauraient être déconnecté de la richesse totale. Autrement dit, le profit est collectif et sa répartition dépend du gain de productivité obtenu par l’innovation d’un être humain. S’il n’y a que la machine comme intervenant, il n’y a pas de profit autre que le besoin du produit. Etc....

    Bref, on peut toujours aller vers l’altruisme, mais il est interdit d’aller vers la prédation sur le temps de vie d’autrui, car fondamentalement, l’enjeu est le temps de vie des êtres où la monnaie est l’outil le plus efficace sinon le seul dans son principe de mesure de la valeur du temps de vie détenu sur autrui et/ou dû à autrui.



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 mars 15:51

    @Et hop !

    Ah, et dites moi donc comment ce sont constitué les nations ?

    Prenez le cas de la France, vous croyez peut être que la nation française existe depuis toujours, même au temps de cromagnon ?

    Ici, il vous échappe (encore) que la nation française peut être vu comme un impérialisme vis à vis des peuples régionaux qui la constitue et qui avant de se reconnaître dans une même nation se sont affrontés pendant des siècles. Bref, la paix à l’intérieur des frontières françaises sont le fait de l’unification de peuples autrefois en guerre pour le compte de leur maîtres. Idem pour la Chine, Russie, Etats Unis, etc.

    Toutes les nations qui comportent en leur sein plusieurs peuples ont trouvé la paix intérieure par le même procédé, l’intégration dans un même ensemble, car c’est la seule manière d’établir des règles communes ou lois et de les faire appliquer par la détention de la force, sans laquelle une loi est caduque, n’a aucune valeur autre que sur le papier sur lequel elle est écrite et peut tout aussi bien servir à se torcher le cul.

    Ici, il vous échappera sans doute encore la singularité de la mondialisation, le fait que, parlant de l’unification via des lois communes de toutes les nations, cela renvoi directement à l’individu lui même et est définie par la charte des droits humains. Mais tant qu’on atteint pas ce stade d’unification, alors, il n’y a pas de droit humain universel, mais seulement ce que chaque détenteur de la force à l’intérieur d’un pays veut bien établir.

    Etc...



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 mars 15:40

    @Zolko

    Vous vivez donc en autarcie, mais alors, comment se fait il que vous soyez ici même ?

    Ici, il vous échappe qu’un principe est fondamentalement invariant quelle que soit l’échelle ou le domaine auquel on l’applique, seule la forme change (restons simpliste !).

    Cela veut dire que, quelle que soit l’échelle observée, de la famille jusqu’à la globalisation ou mondialisation ou empire ou internationalisation en passant par la ville, région et nation, vous pouvez organiser la vie sociale et économique qu’à la condition ABSOLUE d’établir des règles communes qui s’imposent à chaque membres, enfin, à la même échelle.

    Car l’histoire nous enseigne et les évènement actuels en sont un exemple comme un autre, que dès lors où la force est détenu individuellement par les membres d’une communauté, alors, on est dans le rapport de force direct entre les individus, ce qui au niveau international se traduit par ceux qui détiennent le pouvoir d’une communauté d’individus comme les nations .

    Autrement dit, si on appliquait à l’échelle nationale ce qui se fait au niveau de ce qu’on nomme le droit international, alors, cela reviendrait à ce que les délinquants doivent s’arrêter eux mêmes pour les délits puni par le droit (ce qui est absurde) et donc, aboutirait à une société féodale, c’est à dire, en guerre perpétuelle entre bandes rivales, comme cela peut s’observer partout où la force supérieure des Etats est absente, avec donc, guerre des gangs.

    Bref, si vous n’avez pas compris, dans le cadre actuel où la force n’est pas mutualisé au niveau mondial, global, on est dans le rapport de force direct où les dirigeants des nations agissent et se comportent comme des chefs de gangs, qui peuvent avoir ou non une éthique ou morale, mais toujours limité et contrainte par ceux qui n’en ont pas et n’ont d’autre objectif et valeur que la prédation de la vie d’autrui.

    A partir de là, vous pourrez bien dire que vous vous en fichez, mais soit vous devrez faire partie d’une bande (un empire), soit être le sac à foutre de toutes les bandes. Mais si vous aimez vous faire mettre, alors, pas de problème, vous êtes gâté !

    Bref, vous ne savez pas de quoi vous parlez, mais voilà, une des stratégie de ceux qui savent est de faire croire au idiots qu’ils sont intelligents, de telle sorte de créer un brouhaha tel que la voix de la raison n’est plus audible. Par contre, eux, peuvent tranquillement mettre en place leur agenda... Avec le soutient des idiots utiles !



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 mars 12:59

    @Seth

    Je ne savais pas que le tournoi des six nations voyait s’affronter des hommes en armes !



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 mars 11:13

    @Soucougnan

    Pour tout prédateur humain, le capitalisme à pour seule vocation de lui permettre d’exercer sa prédation, c’est à dire, s’approprier le temps de vie d’autrui à son profit. Sans cela, le capitalisme n’a aucun intérêt, aucun sens.

    Ceci étant dit, la théorie de l’évolution ne repose pas sur le seul principe de compétition, car il n’y aurait pas d’évolution possible. Elle repose aussi sur le principe de coopération qui seule ne permet pas non plus l’évolution.

    Autrement dit, l’évolution repose sur la relation entre ces deux principes intriqués l’un à l’autre que sont la coopération et la compétition. Dans la réalité qui obéit à la causalité, il est strictement impossible de supprimer l’un ou l’autre, mais seulement d’inverser le sens de priorité de l’un par rapport à l’autre. Dont je donne l’exemple avec le cas d’une entreprise où à l’intérieur, c’est le principe de coopération qui commande à la compétition, alors que c’est l’inverse vis à vis de l’extérieur. Tout simplement parce que le principe de coopération est toujours une relation d’intériorité, alors que celui de compétition est toujours vis à vis de l’extérieur. Ici, pour saisir le mécanisme, il faut faire appel au principe de fractalisation, mais je ne vais pas perdre mon temps à l’expliquer ici !

    j’ai écris un article à ce sujet dont le lien est donné plus haut. Libre à vous de le lire

    Ceci étant dit, je vous laisse à vos illusion et cesse cette discussion qui est arrivé à son terme.



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 mars 10:58

    @Ouam (Paria statutaire non vacciné)

    C’est d’autan plus facilement contestable que les faits sous nos yeux disent exactement le contraire de ce que vous écrivez.

    En effet, la guerre entre l’Ukraine et la Russie repose sur quel argument si ce n’est la formule magique « la patrie en danger ».

    Le conflit israélo-palestinien, quel autre argument si ce n’est le même.

    etc...

    Quant à Macron, n’utilise t’il pas lui même ladite formule magique « la patrie en danger », pour justifier son agressivité envers Poutine ?

    Bref, ne croyez surtout pas que Trump soit moins va t’en guerre, car lui aussi invoque la même formule magique « la patrie en danger » pour se faire élire et ne doutez pas un instant que le pseudo Trump pacifique de son premier mandat va se transformer en va t’en guerre.

    Encore une fois, la nation est le seul outil capable de persuader des gens par ailleurs pacifiques de se transformer en chiens enragés. La religion n’en est pas capable, sinon de manière très exceptionnelle. Or, cette dernière confirme la règle par le fait de sa rareté et devient la règle si elle devient courante et donc ce qui était la règle devient de facto l’exception. Mais les fais actuels montre bien qu’il n’en est rien !

    Votre « démonstration » fait donc de l’exception la règle, mais tous les faits passés et récents prouvent de manière absolue le fait que la nation est l’outil, le SEUL outil dont ils disposent pour maintenir leur domination. Ce que vous admettez, tout en voulant conserver le cadre de la nation comme socle ultime du monde.

    Libre donc à vous de persister à vénérer une cause dont vous déplorez les conséquences, mais la réalité physique (pléonasme d’affirmation) obéit strictement à la causalité et à aucun être, fut il Dieu tout puissant. Autrement dit, soit vous vous soumettez volontairement à la causalité, soit vous le refusez et en subirez les conséquences comme tout le monde, y compris ceux qui sont prêt à renoncer au nationalisme pour garantir la paix, l’identité culturelle et la justice sociale. Car non, l’identité culturelle ne repose pas sur la nation, mais sur la volonté des êtres à perpétuer une culture.



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mars 22:39

    Le hic est que les gens croient qu’ils peuvent enchainer les idées sans s’assurer de leur cohérence logique, parce que tout le monde fait pareil et qu’ils ne voient donc pas pourquoi ils feraient autrement,

    vous écrivez " au même titre que l’occident contre Kadafi en 2011 - pour protéger les populations civiles.

    « 

    vous ne voyez pas la contradiction avec le principe énoncé au début, à savoir »les pays n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts"

    Autrement dit, la guerre mené contre Kadafi n’a jamais été pour protéger les populations civiles, qui n’était qu’un prétexte dissimulant la véritable raison.



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mars 22:32

    A t’on déjà vu un outil avoir des « amis » ?

    non, il y a juste un intérêt à utiliser un outil, que ce soit un marteau ou un pays, puisque tout comme un marteau, un pays obéit toujours à celui qui en a la maîtrise, que ce soit un individu ou une association d’individus.



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mars 22:29

    a t’on déjà vu un outil avoir des « amis » ?

    Non, il y a juste un intérêt ou pas à utiliser un outil, que ce soit un marteau ou un pays



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mars 22:26

    @ETTORE

    Alors ?

    un idiot très utile et fier de l’être !



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mars 22:25

    Krishnamurti avait bien identifié le nationalisme comme source de conflit armé, mais il ne s’agit pas là de la cause, mais du seul moyen pour les natures prédatrices humaine d’asseoir leur domination et de s’assurer de la soumission des autres. Car seul l’état de guerre ou d’urgence nécessite la dévotion, culte du chef de guerre, que ce soit sur le plan militaire ou économique. La paix nécessitant, elle, leur destitution et fin de règne.

    La patrie en danger est la formule magique pour envoyer des gens qui ont tout intérêt à coopérer à s’entretuer. L’exemple le plus fameux étant la 1ère guerre mondiale où la classe ouvrière internationale, à commencer par celle de la France et de l’Allemagne s’alliaient la veille, pour s’entretuer le lendemain par millions. Bis répétita 20 ans plus tard et aujourd’hui à nouveau.

    Très bien résumé par la Paul Valéry disant « La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas. »


    Ou encore celle de Felix Faure « on croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels » ou des ploutocrates si vous préférez.


    Ce qui nous ramène à la citation actualisé de Bossuet « le diable se rit de ceux qui vénère les causes dont ils déplorent les conséquences ».


    N’en doutez pas, Macron et cie se rient des français !





  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mars 22:02

    @Clocel

    il me semble que Krishnamurti à surtout échappé à ceux là même qui voulaient en faire leur maître !



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mars 13:12

    @Soucougnan

    D’accord pour le fait d’une économie entièrement robotisé, seulement voilà, ce que j’écris par ailleurs ne porte pas sur une telle société, mais sur l’état de la société actuelle et son évolution à moyen termes.

    Bref, oublions le postulat de départ d’une automatisation complète et contentons nous de la société actuelle avec sa projection à moyen terme. Surtout que je suis bien d’accord avec vous sur le fait qu’une IA ouvrant un bistrot ou site de vente n’a pas de sens. Par contre, celle-ci a vocation à établir une étude de marché pour décider ou non de l’ouverture d’un site de vente ou d’un bistrot, notamment lorsqu’il y a demande de prêt pour décider de l’accorder ou pas.

    Sinon, des restaurants avec des robots qui servent les clients et préparent les plats, cela existe déjà en Asie, mais on ne saurait faire de l’exception la règle, même si le postulat de départ portait dessus.

    Mais encore une fois, répondez donc à ce qu’écris où un des maîtres stratégique du système ultralibéral disait qu’à moyen terme, seuls 20% des actifs seront nécessaires à l’économie capitaliste, dont vous persistez à nier le fait que l’économie capitaliste n’a pas vocation à nourrir la population entière, mais UNIQUEMENT satisfaire ceux qui détiennent les moyens financiers, les autres, tous les autres étant de ce point de vu soit des outils, soit des parasites, des charges. Or, un outil devenu obsolète ne se conserve pas, sauf un ou quelques exemplaires dans des musés.

    L’évolution du système dans le contexte d’un environnement toujours plus contraignant est à l’image du radeau de la Méduse où il s’agit donc à court terme de couper la corde et d’abandonner toutes les personnes sur le radeau pour sauver ceux qui se trouvent sur les canots de sauvetages. Autrement dit, il n’y a pas comme le disait Macron de premier de cordé qui tire les autres, mais une corde à couper et c’est à ce que s’emploie un Macron en France. Et il a de la chance d’avoir des gens qui croient qu’il en sera autrement parce que la corde n’est pas encore coupé.



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mars 10:11

    @Ouam (Paria statutaire non vacciné)

    on ne choisi pas entre la peste et le choléra, on lutte contre les deux, car l’un ou l’autre aboutit fatalement au même résultat.

    Bardella fait partie du problème et n’est donc pas la solution.

    Si vous préférez, la différence entre Bardella et Macron est de forme, mais pas de fond, ils défendent tout deux le même système, mais ne sont pas d’accord sur la meilleure façon de le préserver. Le premier considère que le niveau ultime est l’état nation pour conserver la division entre les peuples et le culte du chef (politique et économique) qui repose sur l’état d’urgence permanent. Tandis que le second pense qu’on peut aller jusqu’à la division du monde en blocs ou empires tel que le décrit Orwell dans 1984.

    Mais ce qui est fondamental, c’est de conserver la division entre les peuples quiç ne peut descendre en dessous de 2. L’interdit étant la mondialisation sociale, car cela signifie la fin du système capitaliste actuel, parce que cela signifie un monde en relative paix sociale et donc avec des règles économiques fondées sur le principe du mérite personnel et de la coopération devant la compétition. Cette dernière ne disparaissant pas, mais portant dès lors sur les projets et non sur les personnes. Principe fondamental de toute entreprise qui veut prospérer, car toute compétition entre les personnes est ce qui menace toujours le plus une entreprise en interne. La compétition devant toujours porter sur la meilleure façon d’atteindre le but de l’entreprise par le principe d’émulation (je l’explique dans un article « de la relation entre compétition et coopération »)

    Bref, si vous soutenez Bardella, sachez que de mon point de vu vous jouez le parfait idiot utile de l’élite au pouvoir pour qui les Bardella ont deux fonctions essentielles. Comme indicateur qu’une majorité relative de citoyens sont prêt à la guerre et d’autre part, sert de plan B au cas où la mise en place d’un monde de blocs devait échouer. C’est à dire, retour à la situation politique, économique et sociale du XIXème siècle, la pire pour pour les travailleurs en occident.



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mars 09:50

    @Soucougnan

    Selon l’analyse d’un économiste (je sais plus lequel) 30% des emplois de services sont inutiles et ont pour objectif de nourrir le propagande du système, le temps pour lui d’assurer la transition.

    Ensuite, il vous échappe que cette délocalisation se fait via l’explosion de la dette de l’occident envers les pays asiatiques et quelle ne durera pas éternellement, mais permet de maintenir encore pour un certain temps l’illusion pour la classe moyenne de son pouvoir d’achat. Que cette dette touche par ailleurs les classes pauvres et moyennes envers l’élite et ne cesse de s’accroitre. Que la robotique touche essentiellement le secteur industriel et non le secteur du btp, de l’agriculture, du maintien de l’ordre et encore une grande partie des emplois de services. Bref, les emplois dits précaires à faible rémunération et valorisation, dangereux et insalubres. Donc on est encore loin d’une économie totalement robotisé qui était la base de réflexion.

    Mais il vous échappe surtout que le fait de la concentration de la richesse qui ne cesse de grandir et qui a pour conséquence de financer une grande partie des emplois actuels via les subventions d’état et de l’explosion de sa dette, elle même dû à l’élite financière, conduit inexorablement à la dépossession de la propriété actuelle détenu par les classe moyennes à revenus médians pour rembourser cette même dette envers cette même élite qu’elle à d’abord volé. Autrement dit, c’est comme si un voleur qui vous détrousse de votre argent revient vers vous pour vous le prêter avec intérêt dû et où, ne pouvant la rembourser se rembourse avec votre maison si vous en avez une. Donc, jusqu’au jour où il ne lui restera que les yeux pour pleurer.

    Bref, l’élite applique différentes stratégies, ici, celle de la grenouille que l’on chauffe lentement. Qu’en conséquence, il y aura une petite minorité qui aura accès à tous les biens et services, tandis que tous les autres seront cantonnées dans des ghettos qui ne font que croître. Ce mouvement est d’ailleurs en marche comme dit Macron et tend à s’accélérer, mais il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

    Que vous ne répondez pas à l’analyse stratégique de ceux qui sont les conseillers de l’élite au pouvoir quant au fait que 20% de la masse de travailleurs disponibles seront suffisant et donc, soit on emploiera les autres pour des activités inutiles (déjà 30% selon un économiste), soit on leur donnera juste de quoi survivre (en les gavant de produits nocifs réduisant leur capacités cognitives et physiques), mais je crains surtout que tout sera fait pour réduire cette masses devenue obsolète par des moyens plus ou moins radicaux. La guerre (en préparation) ou un virus mortifère dont le covid n’est finalement qu’un prélude, un essai pratique où ils ont pu établir le niveau de résistance, l’identifier et réfléchir au moyen de la réduire. Etc. Ces gens là n’ont qu’une seule éthique ou morale, conserver leur position dominante à tout prix. 

    Bref, si vous êtes vieux, vous pouvez garder les yeux fermés et les oreilles bouchés, mais n’ayez pas d’illusion pour l’avenir de vos enfants avec le système actuel si vous n’êtes pas du bon coté. Car le but a toujours été de mettre en place une société de caste sociale où il sera alors très difficile d’en sortir. La menace communiste avait mis un sérieux coup d’arrêt, mais celle-ci suffisamment dénigré et réduite, le processus peut reprendre de plus belle. C’’est d’ailleurs ce que disait le président du medef il y a plus de 30 ans après la fin de l’URSS, disant qu’il fallait en finir avec le modèle social français et faire comme Reagan et Thatcher.

    Alors, vous allez peut être me traiter de complotiste, mais sachez que tout ce qui est caché au public et qui porte sur le domaine public (toute l’économie !) constitue en soi un complot contre la souveraineté citoyenne, du moins, dans une société qui se dit démocratique ! La transparence étant le baromètre de la démocratie.

     



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 mars 16:42

    @Hervé Hum

    Ceci étant, les jeux ne sont pas encore fait et rien ne dit que leur stratégie fonctionne et qu’ils ne sont pas en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis. C’est à dire, la mondialisation, car autorisé sur le plan économique, mais absolument interdit sur le plan social car cela signifie la fin du système actuel.

    Selon ma propre analyse, seule la classe dites moyenne peut faire la révolution pour changer de modèle économique et social au niveau mondial. En aucun cas la classe précaire ou pauvre car noyée et sans la compétence technique et capacité de réflexion et de remise en cause suffisante. Seule la classe moyenne technicienne et ingénieuse peut le faire et l’imposer à l’élite actuelle prédatrice. En s’attaquant à elle, l’élite sait qu’elle prend le risque de sa propre fin et pour l’éviter n’a d’autre solution que de jouer aux pompier pyromane. Il n’y a pas d’autre solution pour elle !

    Mon second article publié sur agoravox expose le principe fondamental de cette révolution (sachant qu’il n’y a pas d’autre solution alternative), c’est à dire, le principe d’équilibre fondée sur la responsabilité individuelle et collective. Responsabilité définie comme la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui, jamais envers soi même, car c’est là que réside la souveraineté (de ses choix) et la propriété (de son temps de vie). Donc, où le socle est l’individu dans la société et non une minorité prédatrice sur la société. Etc...



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 mars 16:17

    @Soucougnan

    Vous ne répondez toujours pas à la question, car elle est pour vous comme une poule devant un couteau.

    Je vais vous recopier un extrait qui va vous éclairer ou pas, mais qui traite précisément des conséquences de l’automatisation et de l’IA sur la société en devenir, enfin, celle que les tenants du système mettent en oeuvre, tout en se préparant à devoir appliquer une methode radicale au cas où ce serait insuffisant ;


    Voici un extrait du livre « Le piège de la mondialisation » expliquant clairement le processus : (sauf que ce n’est pas la mondialisation qui est en cause, mais uniquement le modèle économique et cette faute de raisonnement quand à la cible est la raison première de l’incapacité des opposants au système actuel de le combattre réellement. Autrement dit, ce sont des idiots utiles).

    L’avenir, les pragmatiques du Fairmont le résument en une fraction et un concept : « Deux dixièmes » et « tittytainment ».

    Dans le siècle à venir, deux dixièmes de la population active suffiraient à maintenir l’activité de l’économie mondiale. « On n’aura pas besoin de plus de main d’œuvre », estime le magnat Washington Sycip. Un cinquième des demandeurs d’emploi suffira à produire toutes les marchandises et à fournir les prestations de services de haute valeur que peut s’offrir la société mondiale. Ces deux dixièmes de la population participeront ainsi activement à la vie, aux revenus et à la consommation – dans quelque pays que ce soit. Il est possible que ce chiffre s’élève encore d’un ou deux pour cent, admettent les débatteurs, par exemple en y ajoutant les héritiers fortunés.

    Mais pour le reste ? Peut-on envisager que 80 % des personnes souhaitant travailler se retrouvent sans emploi ? « Il est sûr, dit l’auteur américain Jeremy Rifkin, qui a écrit le livre La Fin du travail, que les 80 % restants vont avoir des problèmes considérables. » Le manager de Sun, John Gage, reprend la parole et cite le directeur de son entreprise, Scott McNealy : à l’avenir, dit-il, la question sera « to have lunch or be lunch » : avoir à manger ou être dévoré.

    Cet aréopage de haut niveau qui était censé travailler sur « l’avenir du travail » se consacre ensuite exclusivement à ceux qui n’en auront plus. Les participants en sont convaincus : parmi ces innombrables nouveaux chômeurs répartis dans le monde entier, on trouvera des dizaines de millions de personnes qui, jusqu’ici, avaient plus d’accointances avec la vie quotidienne confortable des environs de la baie de San Francisco qu’avec la lutte quotidienne pour le survie à laquelle doivent se livrer les titulaires d’emplois précaires. C’est un nouvel ordre social que l’on dessine au Fairmont, un univers de pays riches sans classe moyenne digne de ce nom – et personne n’y apporte de démenti.

    L’expression «  tittytainment », proposée par ce vieux grognard de Zbigniew Brzezinski, fait en revanche carrière. Ce natif de Pologne a été quatre années durant conseiller pour la Sécurité nationale auprès du président américain Jimmy Carter. Depuis, il se consacre aux questions géostratégiques. Tittytainment, selon Brzezinski, est une combinaison des mots entertainment et tits, le terme d’argot américain pour désigner les seins. Brzezinski pense moins au sexe, en l’occurrence, qu’au lait qui coule de la poitrine d’une mère qui allaite. Un cocktail de divertissement abrutissant et d’alimentation suffisante permettrait selon lui de maintenir de bonne humeur la population frustrée de la planète. »

    Et ce cocktail est déjà bien en place aux USA et s’étend en Europe où cette population servira au mieux de réservoir ponctuel de main d’oeuvre, au pire, sera poussé à s’autodétruire à l’image du radeau de la méduse.



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 mars 15:40

    @rosemar

    Oui et moi qui ne suis ni ukrainien ni russe, bien je ferais pareil. 

    Contrairement à ce que disait Brassins, je veux bien mourir de mort rapide pour un idéal, mais en aucun cas pour l’intérêt d’un autre.

    Bref, ni le russe, ni l’ukrainien ne va mourir pour un idéal, mais pour l’intérêt d’une minorité prédatrice et perverse, celle-la même que vous défendez par bêtise et non par calcul. Car le fait de choisir un camp ne veut pas dire qu’il s’agit du bon et l’autre camp les méchants, en vérité, les deux sont des méchants dont le but est de s’assurer de la soumission des braves gens de leur propre pays.

    Technique de manipulation qui date de Mathusalem et est toujours utilisé avec le même succès jusqu’à aujourd’hui !



  • Hervé Hum Hervé Hum 5 mars 16:29

    Il paraît que pour échapper à la conscription, les jeunes ukrainiens n’hésiteraient pas de se mettre en danger, on se demande bien pourquoi !?



  • Hervé Hum Hervé Hum 5 mars 16:13

    @Soucougnan

    D’accord avec vous sur le fait que l’IA ne pourra jamais se doter d’une conscience, car elle se définie par le sens de l’action et un outil n’a pas d’autre sens que celui que lui confère l’être qui en a l’usage. L’IA ne peut pas avoir de sens propre autre que servir l’humain de la même manière qu’un marteau qui normalement sert à construire, sauf si l’humain détourne son usage pour fracasser le crâne de quelqu’un.

    Par contre, non, la seule manière que l’industrie perde toute sa valeur est de ne plus en avoir besoin, c’est à dire, que la production de biens se fasse dans de petites unités quasiment au niveau artisanal, comme pour par exemple construire une Ferrari ou un yatch privé. Donc, qu’il n’y ait plus d’intérêt à la production de masse parce qu’il n’y a plus besoin de travailleurs humains et donc, de produire pour satisfaire leurs besoins parce que non rentable et jugés nuisibles à l’environnement de ceux qui ont la propriété effective de l’immobilier et de la réserve monétaire. Autrement dit, ceux qui pensent que la Terre leur appartient car ils l’ont « acheté ».

    Aussi, vous n’avez toujours pas répondu à ma question ou partiellement, car ma question porte sur les moyens de vivre d’une population devenue obsolète vis à vis de ceux qui ont la propriété de l’outil de production et de la réserve monétaire, c’est à dire, ce fameux 1% de la population qui domine la société via le modèle capitaliste.