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Commentaire de Hervé Hum

sur C'est aux défavorisés que Jean-Luc Mélenchon pose problème


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Hervé Hum Hervé Hum 2 mai 10:42

@Jean Keim

votre commentaire s’applique à vous même autant qu’à moi même et vous me fatiguez et ce sera sans doute mon dernier commentaire.

Parce que, question compréhension et influence dictatoriale de votre pensée (vous utilisez le même mode que les autres), vous en faites la démonstration à chacun de vos commentaire.

Par exemple, vous finissez en écrivant "Quand on part à la guerre, l’égotisme n’est pas mis de côté, bien au contraire il est exacerbé, ça s’appelle le nationalisme.

Relisez mes commentaires, j’écris la même chose avec constance depuis des années et là, vous venez comme si je disais autre chose ! Vous vous foutez de ma gueule.

Car si vous savez lire sans mettre en avant vos propres préjugés, vous auriez lu que je ne met pas l’égotisme de coté, j’écris qu’il est toujours dans un rapport de confrontation, donc, qu’il est exacerbé vis à vis de l’extérieur et dans le cas présent, via le nationalisme. Mais pas à l’intérieur, là, c’est la solidarité qui est mise en avant. Principe de causalité qui veut que la coopération est toujours une relation intérieure qui place son égo au service de la communauté. tandis que la compétition est toujours une relation vis à vis de l’extérieur et place l’égo au premier plan, au dessus de la communauté (ici la communauté internationales car elle oppose les égotismes nationaux).

Ainsi, une personne qui ne reconnait que son égo, se considère toujours en compétition contre tous les autres, donc, contre toute communauté et n’entrevois alors que des rapports de domination/soumission ou d’intérêts matériels.

Il s’agit d’une relation dynamique et non pas statique tel que le mode de pensé que vous suivez vous l’a appris.

Bref, concernant tout ce qui porte sur la réalité, je reconnais comme argument d’autorité que la causalité et elle seule. Tandis que dans l’imaginaire, je reconnais à chacun de pouvoir y exercer sa propre dictature où la causalité n’est pas un argument suffisant. C’est la différence entre vous et moi. Vous pouvez faire la preuve que je me fourvoie uniquement en faisant appel à la causalité, pas à votre imaginaire. Idem pour n’importe qui, moi y compris bien évidemment.


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