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Commentaire de Daniel Roux

sur L'affaire DSK et l'activisme des féministes radicales : un livre de Marcela Iacub, « Une société de violeurs ? »


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Daniel Roux Daniel Roux 9 janvier 2012 10:00

L’intégriste apportent le poison de l’exclusion, des idées, de la liberté de l’autre.

Les féministes intégristes ne font pas exception.

Si leurs thèses aboutissaient au principe qu’une femme agressée ne peut pas mentir, cela reviendrait à admettre qu’une femme qui prétend avoir été agressée ne peut pas mentir.

Soit : « Une femme ne peut pas mentir. » et a contrario « Les hommes qui contredisent une femme, mentent. »
 
Au delà de la stupidité de telles affirmations. En imagine, la terreur d’un homme ou de plusieurs, se retrouvant avec une femme ou plusieurs, dans un lieu clos tel qu’un ascenseur, un bureau, un bus, une chambre d’hôtel...

Cela aboutirait inévitablement à une ségrégation sexuelle, à un partage de l’espace, voire du temps. Les hommes d’un côté et les femmes de l’autre.

Ajoutez à cela la reconnaissance du viol dans le couple marié ou pacsé, et on tombe dans l’ubuesque. Qui oserait rester seul avec sa femme dans ces conditions.

Dans la réalité, certain en sont déjà là. Des avocats sans scrupules se sont faits une spécialité de menacer le mari de plainte pour « viol, attouchement, agression » de ses enfants, pour obtenir l’abandon de ses droits. 


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