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Les commentaires de Hakim I.



  • Hakim I. 30 mars 2009 10:35

    La pire des armes contre lesquelles on doit résister est le sentimentalisme.
    Les 3 exemples exposés en sont l’illustration.
    Dès qu’il s’agit de débattre autour d’un sujet à travers le prisme sentimental ou moral, celui-ci est biaisé dès son évocation.



  • Hakim I. 18 mars 2009 12:39

    "A quand des projets ambitieux, à quand des garanties offertes aux entreprises qui s’y engageront, à quand ?"

    Quand l’article 104 du traité de Maastricht (et tout ce qui va avec) sera aboli. En effet, c’est celui-ci qui oblige les collectivités à s’endetter auprès de banques privées.
    Si la France était encore maitresse de sa monnaie, tous les souhaits évoqués dans ce coup de gueule seraient exaucés.



  • Hakim I. 9 mars 2009 12:29

    Tout est dit That Jazz,

    Et j’ajouterai que le but n’a pas été seulement d’être des hommes, mais aussi de prouver leur supériorité éventuelle par rapport à eux.
    Un exemple, quand on écoute les discussions féminines, on a de grandes chances pour entendre les femmes se plaindre et railler leurs compagnons (si ce n’est les insulter). Moi qui suis un homme, je n’ai jamais eu de discussion entre hommes où l’on tartinerait d’insultes la compagne de l’autre.
    Sans oublier le problème décrit plus haut où elles ont 90% de chance de gagner au cours d’une affaire familliale.

    Ces états de faits sont en partie la cause de ce que j’appelllerais la féminisation de l’homme.



  • Hakim I. 17 février 2009 11:40

    On peut rajouter une trahison qu’apparement tout le monde a oublié : la vente de la quasi-totalité des stocks d’or de la Banque de France en mai 2004. Il était alors à Bercy. Chose étrange quand tous les analystes sérieux prédisaient un grand risque d’effondrement monétaire.
    Ce n’est pas un incompétent, il excelle dans sa volonté préméditée et délibérée (on peut même parler de mission) de mener la France à la faillite et à la guerre civile.

    Petit extrait de sa conférence de presse du 4 Mai 2004 :

    "...
    – Enfin, notre patrimoine public sera géré de façon plus dynamique. Dès cette année, 100 000 m2 de bureaux appartenant à l’État en centre ville seront vendus. Le produit viendra en diminution du déficit. Après accord avec le gouverneur de la banque de France, 500 à 600 tonnes d’or seront vendues dans les cinq années qui viennent. L’État laissera au bilan de la banque le produit de cette vente, mais récupérera l’intégralité des intérêts (200 millions d’euros chaque année à l’issue de la procédure et 100 dès la première année). Enfin, nous allons vendre des participations au capital d’entreprises publiques : 35 % du capital de la Snecma seront mis sur le marché avant le 30 juin pour un produit d’1,6 à 2 Md d’euros ; le capital des deux sociétés autoroutières SANEF et SAPRR sera ouvert avant la fin de l’année...."

    2004+5 ca fait combien ? smiley



  • Hakim I. 11 février 2009 13:18

    Article très interessant.

    Pour essayer de se faire une idée sur les causes qui nous ont ammené à un point où les gens n’existent que par ce qu’ils possèdent, je propose à tous la lecture de l’excellent ouvrage de René Guénon : "Le Règne de la Quantité".

    J’aimerais juste revenir sur quelques points si vous permettez.

    Une remarque sur le point 3, vous dites :  "La troisième des réformes, organisationnelle et structurante, devrait consister à redonner du sens, du contenu et des règles tant à l’école que dans le monde du travail. Il s’agit ni plus ni moins de remettre du mérite dans le système, non pas pour produire des élites, mais pour diversifier les excellences et conduire des générations de jeunes – et d’anciens via la formation continue – à des savoirs-faire professionnels, qualifiants et valorisables sur le marché."

    Pourquoi diable ne voudrions pas produire des élites, si elles sont saines et compétentes ?

    Deuxièmement, j’aimerais qu’on cesse de se construire un espoir avec la mascrarade sentimentaliste et les promesses de campagnes d’Obama. C’est quand même grave de tomber toujours dans les mêmes pièges, et je suis un peu déçu que cela vienne de vous, qui m’avez quand même l’air d’être censé et réfléchi.

    Aussi, la révolte que vous aperçevez n’est qu’un mirage. Je ne sais pas quelles sont les références historiques qui permettraient à quiconque de penser que la précarité extrème et le manque de repère créent une véritable révolte, encore moins une révolution. Car pour y arriver, il faut un puissant leadership, intellectuel, idéologique et surtout financier. Et quand je dis "y arriver", cela signifie que la situation succédant à cette révolte soit bien meilleure que la précédente.

    Autre chose, comme j’ai l’habitude de le dire, tout est vérouillé. Les révoltes partant des banlieues (qui sont pour moi les dernières ayant été susceptibles de lancer un mouvement national de protestation) ont été raillées et disqualifiées par les français eux mêmes. 30 ans de rebellions, et de luttes contre un système totalitaire et policier à l’époque naissant qui ont été rabaissées au strict domaine du "problème d’intégration". Aujourd’hui c’est trop tard. La police est devenue une milice présidentielle qui fait peur au lieu de rassurer. Et la peur, est l’arme de destruction massive qui vérouille toute réalisation externe de la révolte ressentie en son fort intérieur. A mon avis, ces frustrations se défouleront plutot sur le voisin que sur le dirigeant.

    Sans oublier qu’aujourd’hui, il est très difficile, voire impossible de faire assimiler correctement la notion d’intérêt général, car (dans la vision moderne) il ne constitue que la somme des intérets particuliers. En gros, si l’intérêt général dans un domaine X ne m’apporte rien, c’est qu’il n’est pas juste.

    Avec ce niveau intellectuel ambiant, et la perte totale de repères et de valeurs autres que strictement matérielles, la révolte que vous prévoyez a un nom : le chaos qui engendrera un ordre bien pire que celui qu’on a connu aujourd’hui. Personnellement, je pense que la cause et la conséquence ne peuvent être que préméditées.



  • Hakim I. 10 février 2009 09:22

    Gazi,

    A vérifier... qu’ils soient réellement musulmans.



  • Hakim I. 9 février 2009 17:26

    Ca fait longtemps que le loup est dans la bergerie... et il a fait des petits en plus.



  • Hakim I. 9 février 2009 17:00

    @ Marsu

    Déjà il reste à confirmer l’exactitude de l’information. Mais bon, meme si c’est un hoax, cette politique d’interdiction de noms non arabophones (car beaucoup de noms arabes n’ont aucun lien avec l’Islam) date de pas mal de temps. Je t’invite à faire des recherches.

    Et deuxièmement, il est vraiment naïf de penser qu’une seule personne est toute puissante... surtout au Maroc.



  • Hakim I. 9 février 2009 15:42

    Tu perds ton temps fouad...



  • Hakim I. 9 février 2009 11:44

    Le baise main est une tradition ancestrale de marque de respect au Maroc. Dans les villages qui ont gardé ces traditions, on se fait le baise main entre voisins et amis. A l’origine, ce n’est absolument pas une marque de soumission ou d’allégence.



  • Hakim I. 9 février 2009 11:20

    Bonjour Zalka,
    Merci pour votre réponse.

    Quand je parlais de pratique rigoureuse, je n’avais pas en tête les extrémismes de type wahabite. Je parles de tradition, de moeurs, de modes de pensées qui trouvent leur essence dans l’Islam.
    Et franchement, avoir une culture niée par les wahabite, c’est presque un compliment smiley

    Bien à vous.



  • Hakim I. 9 février 2009 11:06

    Equilibré avec des mots soulignés ou en majuscule... effectivement. smiley



  • Hakim I. 9 février 2009 10:53

    Il est clair qu’il est scandaleux d’interdire a qui que ce soit d’appeler son enfant comme il l’entend.
    Cependant, la comparaison entre la persécution faite aux Kabyles par le gouvernement algérien, avec ce qui se passe au Maroc est hors de propos. Bien que beaucoup d’injustices subsistent au Maroc envers les populations berbères.

    Ce qui est différent, c’est le ratio entre population arabophone et berbérophone, le rapport de force est tout à fait différent. La première est complètement minoritaire, et tout les efforts faits par l’élite pour étouffer un maximum la culture berbère n’ont obtenu qu’un résultat diamétralement opposé au but initial.

    Même si je soutiens l’identité Kabyle et leur combat, je me méfie de certains groupes qui finissent par rejeter tout ce qui a un lien avec l’arabité. Par exemple, certains groupes vont jusqu’à soutenir Israël, juste parceque ce pays est en conflit avec des arabes.

    Croyez bien que le but ici n’est pas d’obliger les gens à avoir un prénom musulman. C’est bien l’effacement de l’identité berbère qui servira de cheval de Troie à l’effacement de l’ancrage traditionnel religieux. Car il est certain que les berbères sont très rigoureux en ce qui concerne la pratique de la tradition islamique. Ce qui se passe dans les grandes villes ne leur plait pas du tout, et leur identité est le dernier rempart contre l’occidentalisation des esprits. Et ce rempart se fortifie de jours en jours.

    Je vois les choses d’un oeil beaucoup trop radical peut-être, mais pour moi il y a deux issues si le Maroc n’arrête pas sa fuite en avant vers l’occidentalisation et le "tout-tourisme" : soit les désirs de séparation et donc la balkanisation du pays, soit une reprise des rennes du pays par les cultures berbères. Je ne crois pas à la première issue, car le patriotisme au Maroc et la chose la mieux partagée. Quant à la deuxième, elle risque d’être étouffée par des mouvements financés par l’occident en général, et la France en particulier. Bref, on pourrait en parler des heures...




  • Hakim I. 6 février 2009 11:44

    Cachez cet arabe que je ne saurais voir...



  • Hakim I. 4 février 2009 12:20

    Monsieur tout le monde, c’est aussi le jeune a casquette/basquettes...

    30 ans qu’on essaie de résister à ces méthodes dans les quartiers populaires, les gens à l’époque s’en foutaient, soit faisaient l’autruche en se disant que ce traitement n’allait jamais leur arriver, ou carrément pensant que ceux qui le subissent le méritaient d’une facon ou d’une autre.

    Et aujourd’hui, quand cela vous arrive vous vous étonnez ? Et vous persistez encore dans vos illusions sous-entendant que ce traitement ne devrait pas être appliqué au "monsieur tout le monde" ???

    C’est marrant, mais avec mes potes de l’époque qui résistions un minimum, on savait que cela allait se propager aux francais "non-colorés" et propres sur eux. On y est aujourd’hui.

    C’est déséspérant. Vous réagissez aujourd’hui, mais c’est trop tard. Tout est vérouillé.

    J’ai juste une question à vous poser, que pensiez vous vers la fin des années 90 quand passait un reportage télé de 5 minutes à peine sur une bavure policière ?



  • Hakim I. 23 janvier 2009 09:59

    C’est un peu hors de propos, mais qu’est-ce qu’un palestinien a de vulgaire ?



  • Hakim I. 22 janvier 2009 17:45

    +1 le furtif



  • Hakim I. 22 janvier 2009 17:39

    Il y avait plein d’occasions pour le faire dans le passé.
    Maintenant c’est trop tard, tout est déjà vérouillé ; et ils le savent.
    A mon avis, ils ont justement attendu que le point de non retour soit franchi pour faire un semblant de baroud d’honneur avant l’avènement de la dictature officielle.
    Cela pour se dédouaner plus tard du fait d’avoir été inexistant pendant les tournants essentiels qui ont fait plonger le pays où il est aujourd’hui.
    Leur bataille est pour leur pouvoir, pas pour celui du peuple. Ils l’ont perdue depuis longtemps.

    Je n’ai plus aucune confiance en les hommes politiques de france.



  • Hakim I. 19 janvier 2009 17:36

    Oui comme les "francais" qui font leur service militaire en israel.



  • Hakim I. 15 janvier 2009 11:11

    La police nationale est devenue sa milice privée depuis son passage au ministère de l’intérieur. S’il déplace une armée, ce n’est pas par peur, c’est justement dans le but d’impressionner et d’affirmer son statut de dirigeant de dictature molle. Effectivement, les accoutrements des policiers sont une provocation, et aussi une préparation au mental des masses populaires qui ont des idées de révolution, surtout dans ce contexte de crise.
    Il va vraiment falloir se préparer au pire.