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Les commentaires de Jean.Jacques



  • Jean.Jacques 26 janvier 2008 08:35

    @jfdelhomme

    Je ne crois que nous nous connaissions, aussi je vous demanderais de cesser d’une part de m’interpeller sans arrêt et d’autre part de me tutoyer. Par ailleurs, je ne suis en général pas trop à cheval sur l’orthographe dans les fora, mais si vous pouviez essayer de faire un effort, car là c’est limite incompréhensible.

    Enfin pour information le financial Times n’est pas américain mais anglais. C’est probablement l’un des plus prestigieux journaux dans le domaine de l’économie, et leurs analyses font généralement autorité dans le domaine.

    Financial Times

    Le journal de référence, couleur saumon, de la City et du reste du monde. Une couverture exhaustive de la politique internationale, de l’économie et du management. Depuis 1999, le FT est le premier journal britannique à être dirigé par un français, Olivier Fleurot.

    Le Financial Times est sans doute l’une des plus belles réussites de la presse mondiale. Le quotidien, fondé en 1888, est l’un des très rares journaux à consacrer plus de place à l’étranger qu’à son actualité nationale. Une seule page est en effet dédiée aux UK News, le reste étant réservé aux événements des cinq continents. Les deux dernières pages d’éditoriaux et de commentaires se distinguent par la qualité et la précision de leurs analyses. En outre, le FT publie tous les jours un ou plusieurs suppléments thématiques ou géographiques. Le journal dispose d’une édition américaine et aussi d’une édition allemande (FT Deutschland).

     Merci par avance

     



  • Jean.Jacques 25 janvier 2008 23:19

    « J’ai lu tout le rapport. C’est du délire. » : Sans doute n’en avez-vous pas saisi toutes les subtilités. En tous cas, le Financial Times[1] ne semble pas du tout de votre avis :

    FRANCE • Attali veut libérer son pays

    Pour le Financial Times, Jacques Attali a beau être particulièrement agaçant, le rapport qu’il a présenté hier à Nicolas Sarkozy est digne d’intérêt. Il permettrait de briser en France bien des tabous et des privilèges. Sera-t-il suivi ?

    Il est facile d’ironiser sur Attali, un homme dont la prétention et les artifices tendent à masquer le brio. Conseiller pour les affaires économiques de feu François Mitterrand – qui aurait déclaré "Je n’ai pas d’ordinateur, j’ai Jacques Attali" –, il a accompli peu de choses.

    Son bref passage à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), dont il a été le président fondateur, a été éclipsé par sa passion pour le marbre de Carrare. Sa production littéraire, un livre par an, parfois trois, allant de la musique aux mathématiques, de la finance à la philosophie, tout en exerçant deux fonctions de premier plan, fait l’objet de débats animés.

    Cela dit, le rapport qu’il donnera aujourd’hui au président Sarkozy mérite d’être pris au sérieux. Si les principales recommandations qu’il contient étaient mises en application, ce serait une véritable révolution socio-économique en France.

    Comme il est l’œuvre de M. Attali, le rapport contient plus de 300 mesures. Traduit en plan d’action, comme il se doit, il prône principalement la déréglementation, la concurrence et l’élimination de la bureaucratie.

    Dans un pays dont la capitale compte moins de taxis aujourd’hui qu’en 1928, dont les commerçants et les fournisseurs sont pris dans un réseau inextricable de contraintes, il propose de libérer les commerces et les services. Ouvrir un système dominé par des initiés profiteurs créerait des centaines de milliers d’emplois rien que dans la distribution et doperait d’un point la croissance économique française.

    Le rapport contient d’autres idées louables (investir dans l’éducation et la recherche) ou sympathiques (dix villes vertes appelées "écopolis"). Mais il parle essentiellement de libéralisation. M. Sarkozy sera-t-il vraiment capable de convaincre ses compatriotes de l’intérêt de la chose une fois que les chauffeurs de taxi, les coiffeurs, les notaires et les avocats seront dans la rue ? Car cela ne manquera pas d’arriver ; ils accusent déjà M. Attali d’être un Attila des temps modernes décidé à massacrer leurs privilèges.

    Editorial
    Financial Times

     

    [1] Financial Times : www.courrierinternational.com/planetepresse/planeteP_notule.asp ?not_id=3638



  • Jean.Jacques 25 janvier 2008 22:25

    Avec mes excuses par avance à l’auteur et aux lecteurs de cet article déjà largement « trollé », je me permets une parenthèse très courte pour répéter aux Renève, Péripate, Zen ainsi qu’au reste de leur petit groupe de nuisance qui ne devrait pas tarder à rappliquer qu’ils perdent leur temps ! Leurs invectives et attaques personnelles puériles ne m’atteignent pas plus quelles ne m’intéressent. Qu’ils aillent donc jouer ailleurs ! Je referme définitivement cette parenthèse.

    Pour ceux que le débat intéresse vraiment, il semblerait que le très respecté Financial Times[1] juge le rapport de J. Attali tout à fait digne d’intérêt. Voici donc un article de Courrier International qui en précise les détails.

     

    FRANCE • Attali veut libérer son pays

    Pour le Financial Times, Jacques Attali a beau être particulièrement agaçant, le rapport qu’il a présenté hier à Nicolas Sarkozy est digne d’intérêt. Il permettrait de briser en France bien des tabous et des privilèges. Sera-t-il suivi ?

    Il est facile d’ironiser sur Attali, un homme dont la prétention et les artifices tendent à masquer le brio. Conseiller pour les affaires économiques de feu François Mitterrand – qui aurait déclaré "Je n’ai pas d’ordinateur, j’ai Jacques Attali" –, il a accompli peu de choses.

    Son bref passage à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), dont il a été le président fondateur, a été éclipsé par sa passion pour le marbre de Carrare. Sa production littéraire, un livre par an, parfois trois, allant de la musique aux mathématiques, de la finance à la philosophie, tout en exerçant deux fonctions de premier plan, fait l’objet de débats animés.

    Cela dit, le rapport qu’il donnera aujourd’hui au président Sarkozy mérite d’être pris au sérieux. Si les principales recommandations qu’il contient étaient mise en application, ce serait une véritable révolution socio-économique en France.

    Comme il est l’œuvre de M. Attali, le rapport contient plus de 300 mesures. Traduit en plan d’action, comme il se doit, il prône principalement la déréglementation, la concurrence et l’élimination de la bureaucratie.

    Dans un pays dont la capitale compte moins de taxis aujourd’hui qu’en 1928, dont les commerçants et les fournisseurs sont pris dans un réseau inextricable de contraintes, il propose de libérer les commerces et les services. Ouvrir un système dominé par des initiés profiteurs créerait des centaines de milliers d’emplois rien que dans la distribution et doperait d’un point la croissance économique française.

    Le rapport contient d’autres idées louables (investir dans l’éducation et la recherche) ou sympathiques (dix villes vertes appelées "écopolis"). Mais il parle essentiellement de libéralisation. M. Sarkozy sera-t-il vraiment capable de convaincre ses compatriotes de l’intérêt de la chose une fois que les chauffeurs de taxi, les coiffeurs, les notaires et les avocats seront dans la rue ? Car cela ne manquera pas d’arriver ; ils accusent déjà M. Attali d’être un Attila des temps modernes décidé à massacrer leurs privilèges.

    Editorial
    Financial Times

     

    [1] Financial Times : www.courrierinternational.com/planetepresse/planeteP_notule.asp ?not_id=3638



  • Jean.Jacques 25 janvier 2008 12:56

    Le souci avec ce genre de rapport adressant des sujets extrêmement complexes au travers d’analyses multidisciplinaires, c’est qu’il n’est pas à la porté de tout le monde. Rappelons quand même aux quelques « experts » venu ici critiquer son « incompétence » que J. Attali est quelqu’un d’extrêmement brillant :

     « Les deux frères jumeaux Jacques et Bernard suivent des études brillantes au lycée Janson-de-Sailly, à Paris XVI, où ils ont pour amis Jean-Louis Bianco et Laurent Fabius. En 1966, il sort major de promotion de Polytechnique (X63). Docteur d’État en sciences économiques, Ingénieur de l’École des mines de Paris, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’École nationale d’administration dont il sort troisième de sa promotion en 1970 (promotion Robespierre avec Philippe Séguin et Louis Schweitzer). »

     « Professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine, à l’École polytechnique et à l’École des Ponts et Chaussées, il réunit autour de lui quelques jeunes chercheurs : Yves Stourdzé (inventeur du programme européen de recherche Eurêka) ou Érik Orsenna (prix Goncourt en 1988 et conseiller spécial de Roland Dumas au ministère des Affaires étrangères). Il développe un réseau de personnalités dans des domaines très divers (journalisme, mathématiques, show business, analyse financière…). »

     Rappelons également que dans cette commission J. Attali n’était pas seul mais entouré de 43 des meilleurs experts dans leurs domaines de compétence. Je trouve à ce titre assez amusant que la plupart des critiques les plus virulentes viennent de gens qui ne comprennent pas grand choses (et qui soyons honnête n’ont très certainement pas lu ce rapport ardu paru que hier).

     Il est également assez amusant de voir que les critiques les plus virulentes viennent de la gauche. Celui qui a été l’un des leur pendant si longtemps, et l’éminence grise du seul président de gauche de la Vme, serait donc devenu subitement complètement stupide à leur yeux depuis qu’il participe à une commission pour Sarkozy (voila le mot est lâché). Ils ont pourtant été sollicités pour participer :

     « J’ai demandé à François Hollande s’il avait des idées, il m’a répondu : "Ecoute, en ce moment, on est occupés par d’autres choses que d’avoir des idées. Sois gentil, envoie-moi quelques idées qui peuvent se trouver dans ton rapport et je te les renverrai comme étant les miennes." »

     « Dray ? Montebourg ? « Je n’entends que des borborygmes contradictoires. » « Ces gens-là, qui n’ont d’idées sur rien, sont préoccupés par le fait qu’ils ne comprennent pas ce rapport. C’est un objet non identifié pour eux. »

     « Seule trouve grâce à ses yeux Ségolène Royal à qui il a remis en mains propres mercredi. « C’est la personne la plus importante de l’opposition. »

     Je ne vous parle même pas des critiques de nos « camarades » communistes relayées par la « Pravda » locale. Finalement l’intérêt de la France est-elle la véritable préoccupation de nos petits camarades de gauche si prompt à critique tout et n’importe quoi en cette période électorales où ils jouent leurs derniers élus ? J’en doute, eux qui n’ont encore strictement rien proposé aux français (ah si pardon, ils sont quand même entrés dans le 21me siècle en comprenant après leurs « camarades Russes et Chinois » les vertus de l’économie de marché), en sont toujours à agiter des épouvantails.

     Tout cela n’est pas sérieux ; que les détracteurs de ce rapport commencent par se demander s’il sont vraiment compétent pour le faire. Qu’ensuite ils descendent de leurs postures idéologiques, lisent ce rapport ardu, essaient d’en comprendre les rouages et mécanismes sous-jacents, et qu’enfin seulement ils viennent le critiquer voire, est-ce trop demander, contribuer.

     Allez la gauche, on relève ses manches et on se met au boulot sinon en 2012 vous en serez encore à contester les résultats des urnes.



  • Jean.Jacques 25 janvier 2008 11:45

    Le souci avec ce genre de rapport adressant des sujets extrêmement complexes au travers d’analyses multidisciplinaires, c’est qu’il n’est pas à la porté de tout le monde. Rappelons quand même aux quelques « experts » venu ici critiquer son « incompétence » que J. Attali est quelqu’un d’extrêmement brillant :

    « Les deux frères jumeaux Jacques et Bernard suivent des études brillantes au lycée Janson-de-Sailly, à Paris XVI, où ils ont pour amis Jean-Louis Bianco et Laurent Fabius. En 1966, il sort major de promotion de Polytechnique (X63). Docteur d’État en sciences économiques, Ingénieur de l’École des mines de Paris, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’École nationale d’administration dont il sort troisième de sa promotion en 1970 (promotion Robespierre avec Philippe Séguin et Louis Schweitzer). »

    « Professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine, à l’École polytechnique et à l’École des Ponts et Chaussées, il réunit autour de lui quelques jeunes chercheurs : Yves Stourdzé (inventeur du programme européen de recherche Eurêka) ou Érik Orsenna (prix Goncourt en 1988 et conseiller spécial de Roland Dumas au ministère des Affaires étrangères). Il développe un réseau de personnalités dans des domaines très divers (journalisme, mathématiques, show business, analyse financière…). »

    Rappelons également que dans cette commission J. Attali n’était pas seul mais entouré de 43 des meilleurs experts dans leurs domaines de compétence. Je trouve à ce titre assez amusant que la plupart des critiques les plus virulentes viennent de gens qui ne comprennent pas grand choses (et qui soyons honnête n’ont très certainement pas lu ce rapport ardu paru que hier).

     

    Il est également assez amusant de voir que les critiques les plus virulentes viennent de la gauche. Celui qui a été l’un des leur pendant si longtemps, et l’éminence grise du seul président de gauche de la Vme, serait donc devenu subitement complètement stupide à leur yeux depuis qu’il participe à une commission pour Sarkozy (voila le mot est lâché). Ils ont pourtant été sollicités pour participer :

    « J’ai demandé à François Hollande s’il avait des idées, il m’a répondu : "Ecoute, en ce moment, on est occupés par d’autres choses que d’avoir des idées. Sois gentil, envoie-moi quelques idées qui peuvent se trouver dans ton rapport et je te les renverrai comme étant les miennes." »

    « Dray ? Montebourg ? « Je n’entends que des borborygmes contradictoires. » « Ces gens-là, qui n’ont d’idées sur rien, sont préoccupés par le fait qu’ils ne comprennent pas ce rapport. C’est un objet non identifié pour eux. »

    « Seule trouve grâce à ses yeux Ségolène Royal à qui il a remis en mains propres mercredi. « C’est la personne la plus importante de l’opposition. »

    Je ne vous parle même pas des critiques de nos « camarades » communistes relayées par la « Pravda » locale. Finalement l’intérêt de la France est-elle la véritable préoccupation de nos petits camarades de gauche si prompt à critique tout et n’importe quoi en cette période électorales où ils jouent leurs derniers élus ? J’en doute, eux qui n’ont encore strictement rien proposé aux français (ah si pardon, ils sont quand même entrés dans le 21me siècle en comprenant après leurs « camarades Russes et Chinois » les vertus de l’économie de marché), en sont toujours à agiter des épouvantails.

     

    Tout cela n’est pas sérieux ; que les détracteurs de ce rapport commencent par descendre de leurs postures idéologiques, lisent ce rapport ardu, essaient d’en comprendre les rouages et mécanismes sous-jacents, et qu’ensuite seulement ils viennent le critiquer voire, est-ce trop demander, participer.

     

    Allez la gauche, on relève ses manches et on se met au boulot sinon en 2012 vous en serez encore à contester les résultats des urnes.



  • Jean.Jacques 21 janvier 2008 23:06

    Il semblerait que cette chute de quelques points dans les sondages ait redonné des ailes à nos petits camarades de gauche du net. Sans doute pensent-ils que cela suffira à redresser leur situation. Soit, voyons voir quelle est la situation :

    A gauche, nous avons un attelage de petits partis (PS, PC, MRG, LCR, LO, VERTS et autres) tous en plus mauvais états les uns que les autres. Le PS est au bord de l’explosion, sans programme, sans projet et avec une idéologie qu’il reconnait lui-même obsolète et dont les éléphants se battent déjà pour prendre la direction des restes. Le PC est au bord du dépôt de bilan, et malgré la gesticulation permanente de sa secrétaire nationale, poursuit inévitablement sa descente aux enfers. Les verts sont inexistants. Quand a l’extrême gauche, la LCR est en phase de refonte idéologique et de reconstruction.

    A droite, nous avons une UMP en ordre de marche et rejoint par TOUS les élus du centre. Une majorité absolue à l’Assemblée Nationale et au Sénat. Un gouvernement fraichement nommé qui conduit les réformes à un rythme soutenu et met en œuvre les promesses électorales du candidat. Une ouverture rêvée par le PS et le Modem et mise en œuvre par la droite.

    Voyons maintenant comment les français jugent la situation.

    Malgré la baisse de quelques points de la cote de popularité du président, le sondage CSA/Valeurs actuelles montre que les français « lui donnent quitus sur la plupart des questions qui forgent un mandat réussi : 58 % pensent qu’il « fait ce qu’il faut » pour réformer le pays, 64 % qu’il « tient ses promesses de campagne », et 73 % qu’il « défend bien la France à l’étranger ». »

    « Surtout, l’absence d’opposition crédible saute aux yeux : seules 15 % des personnes interrogées estiment que le PS, s’il était au pouvoir, mènerait une meilleure politique que celle conduite par la majorité ! »

    « Le fait est que seuls 33 % des sympathisants socialistes estiment que leurs dirigeants feraient une meilleure politique que Sarkozy (contre 54 % estimant qu’elle ne serait ni meilleure ni moins bonne !) et que les mêmes sont 47 % à penser que leur parti ne fait pas son travail…  »

    « Mieux : 48 % des électeurs de gauche (dont un électeur vert sur deux – miracle du Grenelle de l’environnement ?) jugent que Nicolas Sarkozy tient ses promesses de campagne, et 49 % des mêmes qu’il défend bien la France à l’étranger !  »

    « Non content de faire voler en éclat la bipolarisation, le président de la République « bétonne » son camp : 84 % des électeurs de droite jugent qu’il tient ses promesses de campagne, 90 % que « son action va dans le bon sens » (parmi lesquels 55 % des sympathisants lepénistes et 53 % de ceux de François Bayrou), et 96 % qu’il défend bien la France à l’étranger ! »

     Finalement, ce que pensent quelques journalistes du Point (ils n’étaient donc pas inféodés au pouvoir ?) est il bien l’essentiel ? Nos camarades de gauche du net sont bien gentils de s’intéresser à la situation de la droite, peut être devrait ils se préoccuper un peu plus de la leur.



  • Jean.Jacques 15 janvier 2008 12:07

    De toute façon tout cela n’est que de l’agitation pré municipales. Les transports en commun sont déjà à saturation aux heures de pointe et seraient incapables de supporter un report des automobilistes. Ces transports sont vieux, bruyants et inadaptés aux handicapés et femmes enceintes. Ils sont également dangereux (agressions, vols, viols) et très peu fiables car beaucoup trop souvent en grève.

    Bien sûr, c’est plus facile de s’en prendre aux utilisateurs de l’automobile qu’à ceux qui les construisent trop polluante. Bref comme le dit Bob, les verts (enfin ce qu’il en reste) sont complètement "à côté de la plaque" et ne savent plus quoi inventer pour avoir le sentiment d’exister.



  • Jean.Jacques 14 janvier 2008 20:14

    Il est vrai que les dirigeants actuels, notamment notre président, sont notoirement sous-payés.

    Je vois pas bien le rapport, l’UMP s’est reconstruit, a gagné 3 élections présidentielles et législatives successives et est actuellement au gouvernement. Qu’à fait la gauche pendant 15 ans ? RIEN, si ce n’est brailler et critiquer (avec les résultats que l’on connait).

    Mais puisque vous posez la question, je vais quand même y répondre. Oui les dirigeants actuels, notamment notre président, sont notoirement sous-payés. Pour info : la moyenne de la rémunération brute globale des patrons du CAC 40 s’établit pour 2006 à 2,2 millions d’euros, en excluant de l’échantillon ceux arrivés en cours d’année. Ce chiffre est comparable à celui de l’an dernier, mais s’inscrit dans un mouvement de renouvellement important à la tête des grands groupes. Source les Echos

    Un ministre émarge à moins de 170 000 €, un premier ministre à moins de 270 000€ et le président à moins de 240 000€. On peut dire que comparés au 2,2 millions d’euros des grands patrons du CAC 40, leurs salaires sont largement inférieurs. Source l’internaute

     



  • Jean.Jacques 14 janvier 2008 17:34

    Excellent commentaire Pierre.

    Vous avez raison, mais ne cherchez surtout pas de raison rationnelle, tout cela est beaucoup plus bassement électoraliste. Il se trouve que le patron de TF1 est un homme de droite et ami de Sarkozy, cela suffit pour que tout ce qui le touche de près ou de loin entre dans le cadre de la grande campagne de dénigrement de tous les proches de Sarkozy, initié pendant les présidentielles. Souvenez-vous le PS qui n’avait aucun programme, et dont la candidate a reconnu publiquement qu’elle n’approuvait pas les idées défendues par son propre parti, s’est lancé dans ce que l’on a appelé le TSS (Tout Sauf Sarkozy), avec les résultats catastrophiques que l’on connait.

    La campagne est fini, la gauche n’a toujours pas de programme et a même fini par admettre que son idéologie est obsolète. Alors, ils continuent pour exister médiatiquement, et bien évidemment leurs soutiens internetiques leur emboitent le pas.

    Tout y passe, cet artiste, ce comédien  ou ce comique soutien Sarkozy, il devient immédiatement mauvais (et son auditoire avec). Tel media soutien la majorité, ce sont des vendu (mais ceux qui soutiennent l’opposition sont bien). Tel intellectuel ou expert soutien Sarkozy, il devient instantanément idiot, dépassé et autres qualificatifs agréables. Tel homme ou femme politique de gauche accepte de travailler pour la France en collaborant avec la majorité, il devient immédiatement un traitre (de toute façon, ils l’avaient toujours dit que c’était un mauvais), etc. Je ne vais pas énumérer toutes les catégories, vous les connaissez aussi bien que moi.

    Comment voulez vous dans ces conditions qu’ils soient audibles et aient la moindre crédibilité aux yeux des français. Ces français qui attendent d’eux qu’ils se décident enfin à faire le travail de reconstruction qu’ils n’ont pas fait ces 15 dernières années et pour lequel ils sont pourtant grassement payé par la république. Voila peut être aussi pourquoi les français ne leur font plus confiance (moins de 15% des français pensent que la gauche au pouvoir ferait mieux que la droite).

    Jean-Jacques



  • Jean.Jacques 11 janvier 2008 18:40

    @ Eloi

    L’important ? Mais l’important pour qui ? Avez vous réellement besoin d’une information prédigérée pour vous faire votre propre opinion ? N’êtes-vous pas capable de faire le travail de réflexion que fait le journaliste ?

    Je ne vous apprends rien en vous disant que l’on appréhende notre environnement en fonction de nos orientations, de nos croyances et de notre culture. Comment faîtes vous pour déterminer où s’arrêtent les faits et où commencent les opinions si vous mélangez tout ?

    Vous dites : "Si on ne vous donne qu’une information brute, vous n’aurez pas ce raisonnement. Vous "ressentirez" l’article immédiatement, selon votre popre subjectivité", sans doute préférez-vous "ressentir" l’article selon la "subjectivité" du journaliste ? Avez vous si peu confiance en vos propres capacités d’analyses ?

    Enfin vous dites : "D’ailleurs, si vous ne souhaitez que l’information brute, comment se fait-il que vous trainiez sur le fil des commentaires", vous avez raison, il y a longtemps que j’avais compris qu’il était complètement inutile de venir sur Agoravox pour s’informer. Mais si vous aviez lu mon commentaire, vous auriez compris que je venais ici pour confronter mes propres convictions à celles des autres.



  • Jean.Jacques 11 janvier 2008 17:13

    Et bien moi je suis complètement d’accord avec Pierre. Pourquoi voulez vous de l’information pré-digérée, n’êtes vous pas capable de vous faire votre propre opinion à partir des éléments d’information brut ? Seriez-vous comme ceux qui, dans les émissions comiques, ont besoin d’attendre les faux rires pour en faire autant ?

    En ce qui me concerne j’aime que les journalistes me délivrent toutes les informations brutes quand je recherche des infos, bien que je ne sois pas contre un bon débat où je peux apprécier et confronter ma propre opinion à celles des participants.

    Seule une séparation très nette entre faits et opinions est et restera pour moi le meilleur garant que les media ne deviennent pas des outils de propagande du rédacteur en chef ou autres.



  • Jean.Jacques 11 janvier 2008 15:38

    Agoravox a publié au moins 50 articles sur N. Sarkozy (ses talonnettes, sa poignée de main au pape, ses bourrelets, ses voyages, ses amis, ses amours, certains trouvent même que nous ne parlons pas assez de sa santé). Que voulez vous de plus mon cher Pierredantan ? Le "journalisme citoyen" ne peut être partout à la fois.

    Pendant ce temps, les tenors du PS se déchirent pour savoir s’ils doivent ou non participer au congrès de révision de la Constitution.



  • Jean.Jacques 9 janvier 2008 16:01

    Phénomène caractéristique : la horde ses sarkozystes se précipite pour plusser les commentaires qui vont dans le sens de leur idole et pour moinser les autres..

    Ils sont vraiment insupportables ces "sarkozistes", ils refusent systématiquement de mettre des « +1 » sur les commentaires antisarkozystes. C’est vraiment insupportable à la fin.
     
    Figurez-vous, et sans vouloir vous faire de peine, qu’il paraitrait d’après un sondage CSA/Valeurs actuelles (tous des vendus ces instituts de sondages de toute façon, hein ?) que : "seules 15 % des personnes interrogées estiment que le PS, s’il était au pouvoir, mènerait une meilleure politique que celle conduite par la majorité !", est-ce à dire que les 85% restant voteraient Sarkozy aujourd’hui, je n’irais quand même pas jusque là.
     
    Il semblerait même (mais que valent les sondages, hein ?) que : "48 % des électeurs de gauche (dont un électeur vert sur deux – miracle du Grenelle de l’environnement ?) jugent que Nicolas Sarkozy tient ses promesses de campagne, et 49 % des mêmes qu’il défend bien la France à l’étranger !". Si l’ont ne peut même plus compter sur les quelques électeurs de gauche qu’il reste, où va t’on ma brave dame. Consolons-nous avec les quelques points de confiance perdus par le président et occupons-nous l’esprit avec des futilités en attendant 2012.
     
    Mais si mes souvenirs sont exacts, les Chiraquiens n’étaient pas plus tendres, ils vous ont quand même infligé deux défaites de suite dont une vraiment cuisante. Faut-il que les français soient bêtes quand même pour voter pour la droite, alors que la gauche leur propose un si bel attelage hétéroclite (des trotskistes aux verts en passant par cette espèce en voie de disparition que l’on appelle communément "communiste") aux idées si claires, homogènes et surtout si modernes (sic).

     



  • Jean.Jacques 9 janvier 2008 12:30

    Bingo ! tu as tapé là où ça fait mal aux sarkozystes. Les scores négatifs collés à tes commentaires en sont la preuve.

    Ils ne sont vraiment pas sympa ces "sarkozistes", ils vous refont le coup des élections en ne votant pas pour la gauche et ses idées (sic).

    Sans vouloir vous faire de peine, il paraitrait d’après un sondage CSA/Valeurs actuelles que : "seules 15 % des personnes interrogées estiment que le PS, s’il était au pouvoir, mènerait une meilleure politique que celle conduite par la majorité !", est-ce à dire que les 85% restant voteraient Sarkozy aujourd’hui, je n’irais quand même pas jusque là. Il semblerait même (mais que valent les sondages, hein ?) que : "48 % des électeurs de gauche (dont un électeur vert sur deux – miracle du Grenelle de l’environnement ?) jugent que Nicolas Sarkozy tient ses promesses de campagne, et 49 % des mêmes qu’il défend bien la France à l’étranger !". Consolons-nous avec les quelques points de confiance perdus par le président et occupons-nous l’esprit avec des futilités en attendant 2012.

    Mais si mes souvenirs sont exacts, les Chiraquiens n’étaient pas plus tendres, ils vous ont quand même infligé deux défaites de suite dont une vraiment cuisante. Faut-il que les français soient bêtes quand même pour voter pour la droite, alors que la gauche leur propose un si bel attelage hétéroclite (des trotskistes aux verts en passant par cette espèce en voie de disparition que l’on appelle communément "communiste") aux idées si claires, homogènes et surtout si modernes (sic).

    Bon, allons voir ces photos, peut être nous en diront-elles un peut plus sur le futur programme de la gauche, à moins qu’elles ne nous annoncent encore un nouveau candidat pour la tête du PS. Ah les gens de gauche, vous en avez de la chance, dans votre camp c’est tous les jours Dallas et ses rebondissements.



  • Jean.Jacques 6 janvier 2008 20:18

    Pour vérifier je me suis fait une statistique perso : depuis septembre 2006 j’ai fait 33 articles. Moyenne de 74%de votes favorables

    Je parlais de vos commentaires. Vous savez inutile de mentir, il suffit de de reprendre vos deux ou trois derniers articles pour constater que la grande majorité de vos commentaires sont mal notés et ce depuis très longtemps. Mais soit, agoravox semblant être le centre de votre vie, après tout si cela vous aide à vivre, pourquoi pas.

    Et je vous emmerde....

    Vous voila donc sous votre véritable visage. Vous avez raison, c’est plus faile de se plaindre et d’insulter les autres que de leur répondre, comme ici.



  • Jean.Jacques 6 janvier 2008 20:02

    Mais quand maintenant des Crapulox, Jean-Pierre, John, Jean-Jacques viennent nous attaquer ouvertement avec des insultes caractérisées

    Ben voyons, pourriez-vous citer le passage où je vous ai insulté SVP ? Vous êtes tellement imbu de votre personne (ce n’est pas une insulte, vérifiez par vous même) que vous ne supportez pas la contradiction.

    Pourquoi méler Crapulox à Jean-Pierre et John ? Qui a t’il de commun entre eux ? Faut il vous rappeler que Capulox est clairement à gauche et antisarkoziste primaire comme vous ?



  • Jean.Jacques 6 janvier 2008 17:35

    Il est 16h 55, ce commentaire de JL en est à -2. Je me demande, Jean-Pierre comment un tel commentaire peut « déplaire aux visiteurs d’Avox » ?

    Que voulez-vous, c’est effectivement le grand problème de nos démocraties occidentales, les gens votent ce qu’ils veulent. Pensez donc, ils sont même allés jusqu’à voter massivement à droite, c’est dire s’ils sont ingrats. Pire ils persistent dans leurs erreurs.



  • Jean.Jacques 6 janvier 2008 17:29

    @Léon

    C’est un peu confus, vous vous plaignez d’abord de faire les frais d’une haine pathétique et ensuite être plutôt appréciés (je suppose que vous avez fait un sondage pour affirmer cela). Laissez donc les lecteurs d’agoravox en juger, ce sera plus simple et plus crédible. Quant aux affirmations péremptoire du type il est absolument évident, oubliez les, elles n’apportent que du discrédit.

    « qui ont pour caractéristiques communes d’être de gauche, très critiques vis à vis du nouveau pouvoir »

    Un coup des militants de l’UMP sans doute.



  • Jean.Jacques 6 janvier 2008 01:05

    Je ne voudrais vous miner le moral, mais ce n’est pas Agoravox mais toute la France qui semble dériver vers la droite. Il faut dire que vu l’état dans lequel se trouve la gauche et le peu de crédibilité qu’il reste aux dirigeants de la gauche y sont pour beaucoup.

    Le dernier sondage CSA/VAleurs actuelles montre dans un instantané de l’opinion française, une situation catastrophique pour la gauche, et dont voici quelques extraits :

    « l’absence d’opposition crédible saute aux yeux : seules 15 % des personnes interrogées estiment que le PS, s’il était au pouvoir, mènerait une meilleure politique que celle conduite par la majorité ! »

    « seuls 33 % des sympathisants socialistes estiment que leurs dirigeants feraient une meilleure politique que Sarkozy (contre 54 % estimant qu’elle ne serait ni meilleure ni moins bonne !) et que les mêmes sont 47 % à penser que leur parti ne fait pas son travail »

    "Mieux : 48 % des électeurs de gauche (dont un électeur vert sur deux - miracle du Grenelle de l’environnement ?) jugent que Nicolas Sarkozy tient ses promesses de campagne, et 49 % des mêmes qu’il défend bien la France à l’étranger !

    Cette situation commence d’ailleurs à devenir assez problématique. En effet, une démocratie moderne se doit de disposer d’une opposition crédible, ce qui n’est plus le cas. Peut-être le MODEM, aidé des derniers irréductibles de la gauche (et de l’extrême gauche), sauront-ils reprendre le flambeau avec une offre de type social-démocrate. En tout cas nous comptons sur vous pour nous proposer très vite autre chose que de la politique de presse à scandale.



  • Jean.Jacques 5 janvier 2008 10:56

    49% de 47% ne sont pas une majorité écrasante

    Certes mais il ne vous a pas échappé qu’il ne s’agissait là que des électeurs de gauche favorables à la politique de Sarkozy. Ajoutez-y les électeurs de droite et vous verrez que cela donne bien une majorité écrasante !

    Quant aux sondages, on peut discuter de l’interprétation qui en est fait pour extrapoler l’avenir. Mais le sondage proprement dit, qui est un instantané de ce que pensent les français, est lui INDISCUTABLE !