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Les commentaires de Albert Ricchi



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 25 avril 2008 21:33

     

    @ Bulgroz

    Merci pour ces précisions très intéressantes et fort bien documentées mais d’ici 2020, les choses peuvent encore beaucoup changer dans un sens comme dans l’autre.

    Ce qui me parait essentiel, c’est bien le type de financement complémentaire et pérenne à trouver pour le risque vieillesse dès maintenant afin d’éviter une baisse des pensions commencée en 1993 avec la réforme Balladur et poursuivie par la réforme Fillon de 2003.

    Le gouvernement de Nicolas Sarkozy ment honteusement quand il affirme que la réforme à venir en 2008 sera encore faite pour éviter une baisse du montant des pensions qui continue en fait depuis 1993. Cette baisse va même s’accentuer fortement car il sera de plus en plus difficile pour de nombreux salariés d’atteindre prochainement la durée de 41 ou 42 ans pour avoir une retraite à taux plein.

    Et un financement complémentaire par la solidarité nationale et l’IRPP est de loin préférable à un financement assuré par des fonds de pension, type FRR, alimentés de façon aléatoire et dont certains se sont littéralement effondrés outre-atlantique.

    Cordialement

    Albert

     



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 28 mars 2008 21:23

     

    Bonsoir Francine,

    J’ai bien noté votre autre remarque sur le montant des allocations et je l’intégrerai précisément dans une prochaine mise à jour de l’article sur le blog bien que pour moi, cela allait de soi naturellement.

    Si j’ai bien compris, sur la base 100 pour un enfant, il conviendrait de payer 200 pour deux enfants, 300 pour trois enfants, etc.

    Sur le reste et notamment sur les retraites, je vous invite à consulter mon article de mars 2008. En dehors d’une diminution du montant des retraites et d’une augmentation de la durée de cotisations, solutions préconisées par nos chers libéraux, il n’y a aujourd’hui qu’un seul moyen juste pour remédier au problème financier, c’est de faire appel à la solidarité nationale et donc à l’impôt progressif sur les revenus et les richesses plutôt que des cotisations sur les seuls salaires.

    Mais avec notamment plusieurs milliards d’euros de cadeaux fiscaux faits par NS aux personnes les plus aisées, on en est loin…

    Très cordialement,

    Albert



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 19 mars 2008 22:00

     

    Bonsoir Gilles,

    Vraisemblablement, les points que vous soulevez, notamment les périodes de chômage, seront toujours validées en terme de trimestres mais à condition qu’il s’agisse de périodes indemnisées par l’assurance chômage. En cas d’inscription à l’ANPE mais de chômage non indemnisé par l’ASSEDIC, pour fin de droits par exemple, ces périodes ne sont plus validées.

    En ce qui concerne l’intérim, les CDD ou les TP, les trimestres sont validés compte tenu des salaires perçus au cours d’une année civile mais il faut un minimum de salaire pour pouvoir valider un trimestre.

    Et comme vous le dites justement, la situation des salariés étant de plus en plus précaire, plus on allongera la durée de cotisations pour pouvoir toucher une pension à taux plein (160 trimestres aujourd’hui, 164 et 168 demain), plus il y aura de personnes qui seront obligées de travailler jusqu’à 67 ans, comme en Allemagne, ou de partir plus tôt mais avec une retraite qui subira une décote par année manquante…

    Cordialement

    Albert

     



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 12 mars 2008 23:33

    Bonsoir Francine,

    Je partage votre indignation sur l’absence d’AF pour les familles avec seulement un enfant.

    Mais faire connaître des choses simples et évidentes est aujourd’hui très difficile, même sur le net, d’autant plus que depuis la fin de la seconde guerre mondiale, ni droite ni gauche n’ont pu ou voulu réformer ce système.

    Mais j’ajouterai qu’il faut aussi parler des modalités de financement et de déclaration fiscale pour toutes les familles à 1,2,3 enfants ou plus.

    Est-il normal par exemple que des milliardaires en euros touchent des allocations familiales pour parfaire à l’éducation de leurs enfants !

    Donc, si elles sont versées tout le monde, elles pourraient être intégrées dans l’IRPP.

    Mais la meilleure solution semble être que leur montant soit dégressif en fonction des revenus et qu’elles ne soient plus servies du tout aux très hauts revenus.

    En plus d’une pétition sur le web ou une lettre au 1er ministre, une lettre ou un mail adressé à chaque député ou sénateur serait également envisageable (vous trouverez tous les mails sur le site de l’AN et du Sénat).

    Très cordialement

    Albert



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 6 mars 2008 19:17

     

    @ Fred

     

     

    Si vous avez consulté ma fiche sur Agora, vous verrez que je ne suis pas entrepreneur mais vous semblez confondre augmentation et maintien du pouvoir d’achat comme d’ailleurs de nombreuses personnes trop sensibles à la désinformation concernant le sens initial des mots, pratiquée depuis longtemps sur l’ensemble des médias.

     

    Lorsqu’un entrepreneur ou l’Etat accordent une « augmentation » de salaire inférieure au taux d’inflation, c’est en fait une baisse de salaire. Un exemple concret : les pensions de vieillesse ont été augmentées au 1er janvier 2008 de 1,1%. Il s’agit en fait d’une baisse car l’inflation était de plus de 2,5% en 2007.

     

    Lorsque c’est une « augmentation« égale au taux de l’inflation, c’est en fait un maintien du pouvoir d’achat.

     

    Dans de très rares cas, lorsqu’il s’agit d’une augmentation supérieure au taux d’inflation, c’est une réelle augmentation de salaire et je comprends très bien que les petites entreprises ne puissent accorder une vraie augmentation de salaire. 

     

    Mais dans tous les cas, petites ou grosses entreprises, les salariés devraient voir leur pouvoir d’achat au moins maintenu.

     

    Salutations et à bientôt sur le web

     

    Albert



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 5 mars 2008 23:48

     

    @ fred

     

    Effectivement, je vous l’accorde, tous les milliards d’euros du paquet fiscal 2007 ne vont pas directement dans les poches des personnes les plus riches mais les principales comme la (quasi) fin des droits d succession ou le bouclier fiscal porté de 60% au 1er janvier 2007 à 50% au 1er janvier 2008 profitent exclusivement aux personnes les plus fortunées.


    Il faut apprécier les effets de cette loi sur plusieurs années et non uniquement sur 2007 (voir chiffres publiés sur Wikipédia à ce sujet). Les chiffres sont alors bien plus importants et je ne parle pas des 200 milliards d’euros accordés en exonérations de charges depuis 1993 aux entreprises, dont certaines délocalisent ensuite, alors que les salariés, eux, n’ont jamais vu leurs cotisations de sécurité sociale diminuer…

    Mais je crois que l’important n’est finalement pas là. L’essentiel réside sans doute dans le fait que pour récupérer plusieurs dizaines de milliards d’euros et éviter la faillite, Nicolas Sarkozy va utiliser une méthode chère à la droite (et hélas de temps en temps à la gauche…) qui est celle de l’augmentation des impôts indirects que l’on appellera tantôt TVA sociale, CSG ou autre taxe immobilière ou foncière, etc.. Un avant goût nous a déjà été donné au 1er janvier 2008 avec trois nouvelles franchises médicales…

    Les personnes les plus aisées sont donc favorisées à deux reprises : une première fois par le contenu de la loi Tepa en leur faveur et une seconde fois par des impôts indirects identiques pour tous, les riches comme les pauvres.


    La France a ainsi un budget de l’Etat alimenté à plus de 80% par des impôts indirects et seulement moins de 20% par l’impôt direct progressif sur le revenu, un record mondial en la matière. Même les USA, premier pays capitaliste du monde, ne nous égale pas…



    Salutations et à bientôt sur le web



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 1er mars 2008 14:09

     

    @ Radix

    Merci pour ces précisions fort intéressantes sur les prix.

    C’est bien parce que l’indice Insee ne reflète pas la réalité des prix qu’il faut le réformer, sans plus attendre.

    Quant à l’idée de maintenir au moins le pouvoir d’achat des Français, chaque année, en augmentant les salaires ou les prestations sociales d’un taux égal à l’inflation, elle devrait s’imposer d’elle-même à l’ensemble du monde politique, que l’on s’appelle Ségolène ou Nicolas…

    Mais gauche et droite, lorsqu’elles gouvernent, ne le font jamais…

    Salutations et à bientôt sur le web

    Albert



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 29 février 2008 22:53

     

    @ llibéral

    Merci pour votre commentaire et le "tableau plutôt juste" mais si j’ai bien compris, il faudrait accepter sans broncher, tous les ans, que les salaires augmentent moins vite que le taux d’inflation pour que l’économie se porte bien.

    Que le pouvoir d’achat ne soit pas augmenté, c’est à dire que les salaires n’augmentent pas plus que le taux d’inflation, c’est peut être à la rigueur tolérable mais que systématiquement chaque année, ceux-ci augmentent moins vite que l’inflation, c’est bien pour l’entreprise mais le résultat est là : une paupérisation des salariés sans cesse grandissante depuis 1983...

    Que je sache, la Belgique ou le Luxembourg ne se portent pas plus mal que la France...

    Salutations

    Albert



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 20 février 2008 22:03

    Attention aux apparences qui sont souvent trompeuses...

    Aujourd’hui encore, la France se distingue par son exception concordataire en Alsace et en Moselle, qui constitue un véritable scandale dans la République. Le maintien du statut clérical d’exception favorise outrageusement les cultes « reconnus » : catholicisme, luthérianisme, calvinisme, et judaïsme. Plusieurs milliers de religieux sont payés à des indices de la fonction publique, ce qui représente un détournement de près de 40 millions € pour financer les religions !

    Elle se distingue aussi par son financement public à des enseignements à caractère privé. Le gouvernement verse au titre des lois Debré-Guermeur-Rocard, en remboursement des salaires des maîtres du privé, la somme de 7 milliards € à l’enseignement privé. Cette somme détournée de sa mission d’origine, l’Ecole de la République, représente l’équivalent de 200 000 postes d’enseignants (charges comprises) !



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 5 février 2008 21:59

    @ Arthur

    Vous semblez avoir une bien étrange conception de la démocratie. Si l’Europe était vraiment démocratique, c’est dans tous les pays d’Europe sans exception q’un référendum aurait eu lieu et ce le même jour…

    Votre mémoire semble également vous faire défaut car même en 2005, c’est par peur du peuple que la majorité des pays européens ont renoncé au référendum.

    Enfin, au nom de quel principe, pouvez-vous affirmer que parce qu’un président fait aujourd’hui ce qu’il a dit pendant la campagne présidentielle, son action est automatiquement la bonne ?

    Heureusement qu’il y a encore des personnalités remarquables comme NDA et malheureusement trop de petits ségolènistes comme Manuel Valls…



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 5 novembre 2007 22:42

    @ Idyllique

    « Le chômage croît, le nombre de rmistes aussi par conséquent les impôts augmentent encore et encore pour subvenir aux besoins de millions d’assistés ! »

    Nous n’avons sans doute pas les mêmes lectures car contrairement à ce que vous affirmez, les impôts directs n’augmentent pas mais viennent au contraire de baisser de plus de 10 milliards d’euros pour les personnes les plus aisées.

    Par contre effectivement, les impôts indirects qui frappent ce que vous appelez les rmistes et les assistés augmentent !

    C’est ce qui s’appelle une solidarité à l’envers...



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 4 novembre 2007 21:17

    @ ostrogoth

    Bonsoir et merci pour votre commentaire et les « propositions frappées au coin du bon sens »

    Effectivement, il convient aussi de faire des économies dans tous les secteurs où cela est possible.

    Mais, comme je l’indique dans l’article, ne plus accorder d’exonérations de charges aux entreprises qui délocalisent par la suite ou ne plus donner d’allocations familiales à ceux qui n’en n’ont pas besoin pour vivre, c’est justement faire des économies...

    D’une manière générale, en matière d’économies, on parle trop des assurés sociaux (économies sur la prescription de médicaments, etc.) et peu des autres économies pouvant être réalisées dans d’autres secteurs.

    Par exemple, lorsqu’un hôpital ou une clinique privée facture à la Sécurité sociale 2 repas alors que le patient est parti au petit matin ou lorsque la Sécu ne contrôle pas du tout la réalité des actes ou le bien fondé d’analyses médicales souvent répétées et pratiquées dans ces établissements, on n’en parle pas.

    C’est beaucoup plus facile de rendre les assurés sociaux responsables de tous les maux...



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 2 novembre 2007 23:23

    @ Marc

    Bonsoir,

    Le désaccord que vous évoquez à propos des cotisations salariales et patronales n’en est pas un vraiment.

    Et vous avez tout à fait raison sur le cout réel d’un salarié pour l’employeur (salaire net + cot. patr. + cot. Sal.).

    Mais, comme je l’indique d’ailleurs dans l’article, si on fiscalisait les cotisations salariales - au moins pour les risques maladie et allocations familiales - il n’y aurait plus de fait de cotisations salariales car elles seraient encaissées directement par le fisc (sur la base de l’ensemble des revenus déclarés) et non plus par les Urssaf (comme actuellement sur la base essentiellement des salaires).

    En ce qui concerne les charges patronales, elles ne devraient elles aussi ne plus être basées sur l’assiette salariale mais sur la valeur ajoutée des entreprises comme le demande plusieurs organisations politiques ou syndicales (même Jacques Chirac s’était à un moment prononcé pour ...). Car il y a toujours une grande injustice entre les entreprises : celles faisant peu de bénéfices et ayant une masse salariale importante (notamment les entreprises de main d’œuvre) et celles dégageant une forte plus-value avec une masse salariale nettement moindre.

    Cordialement,



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 2 novembre 2007 18:49

    @ Fanfan la Tulipe

    S’il y a effectivement toute une série de mesures qu’on peut prendre et que vous citez, une vraie réforme ne pourra pas laisser de côté les principaux points à revoir qui sont la dette de l’Etat, le problème des exonérations de charges, le mode de financement, les allocations familiales attribuées sans conditions de ressources, les cadeaux de l’assurance maladie aux entreprises ou le contrôle insuffisant des Urssaf...

    Cordialement,



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 1er novembre 2007 22:18

    @ judel 66

    Vous devez sûrement faire partie de ces braves gens qui pensent que les chômeurs ou les rmistes s’enrichissent fortement en percevant leurs prestations sociales mais pas du tout choqués quand il n’y a pas un centime d’euros de cotisations sur les stock-options ou quand des milliardaires en euros perçoivent toujours des allocations familiales alors que le chômeur avec un enfant ne les perçoit pas...

    Comme c’est facile de cacher son manque d’argumentation en voyant des gauchistes de partout...



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 31 octobre 2007 23:29

    @ Alberto

    Il faut distinguer plusieurs sources financières dont sont privées les Urssaf et les organismes sociaux en général :

    - les cotisations réclamées sur la base des informations déclarées par les entreprises et qui ne peuvent pas être recouvrées pour des raisons diverses (redressements et liquidations judiciaires, etc.). Ces dettes finissent en admission en non valeur (voir article) et se montent à 2,25 milliards d’euros.

    - les cotisations qui auraient dues être encaissées normalement par les Urssaf si les entreprises avaient appliqué correctement la législation mais qui n’ont pas pu être recouvrées car elles sont loin d’être toutes contrôlées. Elles se montent à environ à 7 milliards d’euros.

    - la fraude caractérisée et l’absence de versement aux Urssaf pour toutes les situations de travail clandestin ou au noir qui s’élèverait à plusieurs dizaines de milliards d’€ chaque année.

    - le manque à gagner pour toutes les délocalisations se produisant vers les autres pays d’Europe à cause d’une absence d’harmonisation fiscale et sociale ainsi que les délocalisations hors d’Europe

    - il convient enfin d’y ajouter la fraude fiscale qui concerne uniquement l’administration fiscale et non les Urssaf et qui s’élèverait également à plusieurs dizaines de milliards d’€ par an !

    De quoi absorber plusieurs fois le fameux « déficit » de la sécurité sociale et payer les retraites pendant plusieurs décennies !

    Pour les compagnies d’assurance, on ne peut voir que le contenu du contrat.

    Cordialement,



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 31 octobre 2007 00:05

    @ Zen Merci pour ce compliment Cordialement Albert



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 15 octobre 2007 22:57

    à Farniente,

    Vous avez tout à fait raison : c’est non seulement un déni de démocratie mais en plus cette commission accouchera de peu de choses, en tout cas rien de ce que le Président ne voudrait pas...

    En ce qui concerne les termes « incontestables pour leurs compétences », une coquille m’a fait malencontreusement oublier les guillemets car c’est une expression employée dans les communiqués officiels de l’Elysée ou Matignon et repris par la presse « bien-pensante »...

    Cordialement,

    Albert Ricchi



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 9 octobre 2007 22:42

    @ Teo Toriatte

    Ce que je sais, c’est que vous avez raison sur ces deux points.

    Mais, ce que je sais aussi, c’est que le Sénat s’est toujours opposé, tout au long de son histoire, aux réformes modernisatrices, notamment le PACS, la parité ou encore l’indépendance de la justice.

    Le compte n’y est vraiment pas...



  • Albert Ricchi Albert Ricchi 6 octobre 2007 00:16

    @ Nemo,

    Vous avez sans doute mal lu mon article et vous semblez vous cantonner qu’à relever des éléments d’analyse secondaires.

    Il ne s’agit pas forcément de mettre à mal le bicamérisme, ni de jeter aux orties la représentativité des territoires.

    Le Sénat n’a jamais changé de couleur politique et c’est cela qui est tout à fait anormal dans une démocratie. Il est tout aussi anormal que les territoires ruraux soient sur-représentés par rapport aux territoires urbains.

    Quant aux papys de la République, ce sont d’abord ceux qui veulent maintenir un mode d’élection séculaire et continuer à fonctionner avec une collectivité territoriale (le département), datant de Napoléon Bonaparte, qui n’a plus aucune raison d’exister avec la création des régions, sauf pour les petits notables départementaux ou autres conseillers généraux qui coûtent très cher aux contribuables...