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Les commentaires de cambacérès



  • cambacérès cambacérès 14 mai 2011 05:07

    se faire reprocher des formules toutes faites par quelqu’un qui sort des lieux communs est un plaisir de gourmet, comme disait Sacha Guitry....



  • cambacérès cambacérès 5 mai 2011 05:41

    ceci est un forum ouvert à la pluralité
    et non une boite à dialogue obsessionnel et partisan, avec des détracteurs systématiques, aigris, et simplement soucieux d’imposer le « point de vue » unilatéral qui de toute façon restera systématiquement le leur,



  • cambacérès cambacérès 4 mai 2011 19:15

    J’ai eu l’occasion de chomer, contrairement à ce que vous insinuez...
    je connais donc aussi ces institutions côté usager.

    DOmmage pour votre « argumentaire »....



  • cambacérès cambacérès 4 mai 2011 19:14

    POLE EMPLOI a comme l’ANPE naguèere, une vertu de défouloir...
    Mais ce n’est pas sa vocation première !



  • cambacérès cambacérès 4 mai 2011 04:08

    OUI,

    on a bien compris qui vous êtes, ce que vous représentez et ce que vous tenez à véhiculer.



  • cambacérès cambacérès 28 avril 2011 20:04

    Les poncifs de paoum sont connus & usés

    ils n’ajoutent strictement rien au débat,

    Les mécontents de POLE EMPLOI restent les aigris de l’ancienne ANPE



  • cambacérès cambacérès 9 février 2010 14:55

    Ce problème récurrent ne date pas d’aujourd’hui
    il est même aussi vieux que l’ANPE
    il procède tout simplement d’une « course aux offres », meilleure pour les statistiques d’activité de l’nstitution que pour la lutte contre le chômage



  • cambacérès cambacérès 10 janvier 2010 09:04

    TOUT NE VA PAS SI MAL A POLE EMPLOI : 50 % de réponse à l’enquête de la direction sur le stress, et sur ces 50% de réponse, 71% d’agents se déclarant en situation tendue.
    Ce qui, au final, ne fait plus guère que 35% de perceptions négatives des conditions de travail.

    D’amalgames imprudents en assimilations grossières, on présente souvent comme une conséquence récente du processus dont est né POLE EMPLOI, un contexte en réalité bien peu nouveau.
     
    Certains protagonistes du débat actuel sur le climat social au sein de POLE EMPLOI s’exonèrent avec une redoutable légèreté, voire avec un cynisme condamnable, de l’analyse nécessaire de problématiques anciennes ou enracinées, dont le nouvel établissement « hérite » sans que les syndicats-maison aient songé à s’en émouvoir dans le passé, quand ils ne leur ont pas prêté directement la main, par leurs comportements paritaires au fil des ans.
     
    Le sujet est délicat, puisque dès fin mars 2009, un article de la TRIBUNE pointait déjà les débuts déconcertants du nouvel établissement : lourd héritage en effet, jalousies des ex-ANPE vis-à-vis des ex-ASSEDIC, collusion tacite de certaines franges du personnel et de l’encadrement avec des syndicats pour torpiller une réforme phare du Président etc...
     
    Remontons le passé pour remettre certaines collusions de circonstance voire quelques alarmes de complaisance en perspective, vis-à-vis d’une gestion qui d’après les syndicats, aviverait, des réalités obérant le quotidien de ressources humaines dont on sait pourtant combien sa qualité est la clef du service rendu, dans une activité comme celle de POLE EMPLOI.
     
    Ces réalités sont tout autres, et, pour certaines, beaucoup, plus anciennes.
     
    Au premier rang d’entre elles un mode de recrutement privilégiant de longue date la candidature de demandeurs d’emploi - donc de personnes en difficulté ou précarité, sur lesquelles il est ensuite facile ou tentant d’asseoir, de façon plus ou moins heureuse, des influences ou des « pouvoirs » de toute sorte.
     
    Si louable soit-il à première vue, cet appel à des populations à risque aura au final intégré à l’ANPE des agents venus par motivation sincère, puis, par la suite, souvent usés et blasés, après quelques années d’un travail mal reconnu par des mécanismes statutaires et un paritarisme qui n’ont pas fait la part belle à la promotion des compétences réelles.
     
    De plus, aucune politique de formation n’y a jamais véritablement cherché à assurer sérieusement la moindre préparation du personnel à la charge et à la complexité humaine de ses métiers, comme cela se fait, par exemple, pour infirmières ou médecins.
     
    Il est donc à craindre que le nouveau service public de l’emploi porte encore longtemps le poids de modes de recrutement et de promotion « hérités » de l’ex-ANPE, diluant effectifs, compétences et responsabilités vers le haut d’une pyramide inversée, dans un confort statutaire dont certains – cadres ou partenaires sociaux, peu disposés à y renoncer – encouragent ou espèrent, aujourd’hui, la transposition dans la convention collective en cours de finalisation
     
    Née de statuts successifs (dont la durée de vie moyenne est de plusieurs années) la crise de confiance vis-à-vis de l’encadrement qu’aurait détectée cet hiver l’enquête évoquée, ne date en rien de cette fusion, qui n’en aura été que le salvateur révélateur, si l’on peut dire.
     
    Tel est en gros l’origine et l’essentiel des situations à risques vis-à-vis desquelles les syndicats sont assurément fondés à exprimer des mises en garde qui seraient aujourd’hui bienvenues, s’ils n’avaient été autrefois les bénéficiaires ou les inspirateurs quasi directs de méthodes dont ils prétendent cette année découvrir et dénoncer les méfaits.
     
    Il est inutile et irresponsable de noircir publiquement une situation qui invite au contraire, à tempérer un tableau préoccupant, mais pour le moment dénué de l’urgence et de la gravité que voudraient lui attacher des interlocuteurs parfois peu scrupuleux dans les moyens de l’hostilité doctrinale qu’ils continuent de vouer à cette fusion.
     
    D’autres, plus responsables, se montrent essentiellement soucieux de prévenir une dégradation en prévision de laquelle le directeur général adjoint, spécialiste des ressources humaines qui a malheureusement quitté l’ANPE en juin 2008, avait déjà lancé dès 2006/2007, de premières et pertinentes mesures.
    Fusion oblige, déceptions, stress, fatigue sont là - c’est aussi classique qu’inévitable : mais l’évolution du climat social au sein de POLE EMPLOI doit moins aux mécanismes et objectifs de la fusion elle-même qu’à la persistance - provisoire, espérons-le - de modes de fonctionnement préoccupants et anciens.
     
    Alors que chacun s’accorde, en effet, sur le constat de la dégradation actuelle, il s’agit surtout d’enrayer désormais, la poursuite de cette dégradation, en prévision de laquelle le spécialiste des ressources humaines qui a malheureusement quitté l’ANPE en juin 2008, avait déjà lancé dès 2006/07, quelques premières et pertinentes mesures de prévention.
     
    La concomitance entre les conditions de sa succession et le retour de quelques vieux démons de la gestion des affaires sociales ne laisse pas de troubler, lorsque l’on considère avec le recul nécessaire, une détérioration qui doit moins à la fusion elle-même qu’à l’exacerbation de comportements que nourrissent, ici et là, dans l’appareil institutionnel ou syndical, des oppositions de principe toujours aussi viscéralement hostiles à cette fusion.
     
    Cette persistance de modes de fonctionnement anciens, souvent préoccupants et parfois condamnables oblige aussi à rappeler qu’ils n’avaient d’évidence, pas fait leur preuve, puisqu’exécutif et législateur réunis ont souhaité cette réforme, dont les premières pistes remontent au début des années 90, et dont les esquisses successives ont traversé les alternances politiques avec une constance significative.
     
    Maints articles de presse ont eu l’occasion d’évoquer ces derniers mois ce que d’aucuns ont appelé « la main mise des ex-ANPE » sur l’appareil institutionnel nouveau.
     
    Réalité qui invite à rappeler qu’on apprend en économie qu’une des leçons régulières du bimétallisme monétaire est que la mauvaise monnaie chasse la bonne
     
    Les hypothèques anciennes d’une gestion préoccupante feront elles tache d’huile sur l’ensemble du nouvel établissement ? C’est cette problématique délicate, qui doit retenir l’attention, dans ce milieu professionnel si particulier où la réalité veut que les uns doivent leur travail à tant d’autres qui n’en ont plus.
     
    Le paritarisme en vigueur dans les institutions précédentes et, désormais, dans l’institution nouvelle, renvoie donc à parts égales la responsabilité d’apporter une réponse pointue, commune et non conflictuelle à un triple et incontournable questionnement :
     
    • Ceux qui, de longue date ont contribué au développement de la situation sont-ils les mieux à même d’enrayer les problèmes qu’ils ont créé ?
     
    • Quel crédit ou quelle confiance peut-on porter à leur soudaine sollicitude – et, surtout, pour quel avenir, au lendemain d’élections professionnelles par ailleurs significatives pour ceux qui opposés à la fusion, sont tout de même devenus globalement minoritaires ?
     
    • Quel projet de ressources humaines, quelles compétences et quelle technicité mettront-ils, finalement, en nombre et qualité, au service d’une mutation d’une telle ampleur ?
    Certes, et de façon générale, on sait, depuis VIDOCQ, que d’utiles ou brillantes carrières peuvent absolument se faire ad augusta per angusta, et se mettre, un beau jour, à servir l’ordre public social qu’elles ont jusque là contribué à troubler, ou combattu.
     
    Institutionnellement et individuellement, ce n’est donc pas forcément un mauvais calcul que de s’appuyer sur de tels repères où se trouvent, au contraire, bien des raisons d’espérer
     
    4 millions d’usagers servis par un ensemble de 48 000 agents et 48 000 agents au service de 4 millions d’usagers attendent, incontestablement, de cette fusion, résultats et changements : agents de POLE EMPLOI et chômeurs savent aussi qu’ils ne seront ni immédiats, ni spectaculaires, tant il n’y a pas de baguette magique en la matière.
     
    Dans ce pays où l’on pousse à des études de plus en plus longues, le chômage laisse également de plus en plus de temps pour réfléchir : usagers et agents ne peuvent plus être « sous-estimés ». Telle est, au fond, la morale d’une enquête, qui aurait pu s’intituler « stress et mépris ».
     
    Face à des situations sociales individuelles ou collectives parfois délicates à maîtriser, ténacité et vigilance restent évidemment de mise : mais, la situation interne de POLE EMPLOI - normalement porteuse de soucis comme toute période de fusion institutionnelle -, n’est en rien aussi noire que certains veulent la présenter.
     


  • cambacérès cambacérès 10 janvier 2010 08:55

    « Cette fusion des deux métiers est tellement absurde que personne n’y croit, que pendant un an Christian Charpy lui même est allé répétant dans toute la France qu’il y aurait fusion des établissements mais maintien de deux métiers. Pourquoi a-t-il soudainement changé son orientation et souscris à cet absurde idée de fusion de métier ? »

    Vous avez vu çà où ?



  • cambacérès cambacérès 8 janvier 2010 05:54

    Le paritarisme soulève incontestablement des inquiétudes ..surtout qu’en cette année de réforme des retraites, il va falloir ménager les syndicats. Quoi de mieux que les pépètes ?

    http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/quand-le-paritarisme-en-vigueur-17518



  • cambacérès cambacérès 8 janvier 2010 05:49

    Le stress et l’angoisse de ces personnes est une toute autre affaire que celle du stress des agents de pole emploi.



  • cambacérès cambacérès 8 janvier 2010 05:46

    C’est comique....dès qu’on ne fait pas partie du front des aigris, on est un collabo !!!!!!


    Ces mêmes intervenants savent gloser sur l’étymologie du mot travail quand celà les arrange et oublient leur « érudition » dès qu’il s’agit ’éructer contre toute réforme...





  • cambacérès cambacérès 8 janvier 2010 05:35

    Y en à marre, en effet, de CEUX QUI CHERCHENT A SE FAIRE PLAINDRE A TOUT PRIX



  • cambacérès cambacérès 8 janvier 2010 05:30

    Il était évidemment inutile d’alourdir le corps de l’article avec le détai des problèmes, alors qu’un lecteur de bonne foi peut, en allant sur GOOGLE, se faire une idée personnelle de la des problèmes.

    http://www.google.com/search?q=enqu%C3%AAte+stress+%C3%A0+pole+emploi&rls=com.microsoft:fr:IE-SearchBox&ie=UTF-8&oe=UTF-8&sourceid=ie7&rlz=1I7GGLL_fr





  • cambacérès cambacérès 8 janvier 2010 05:21

    Ce site reste un site de propagande « anti-fusion », nourri de réactions subjectives et spontanées intéressantes, mais par définition dénuées de la moindre objectivité



  • cambacérès cambacérès 7 janvier 2010 18:02

    Tant qu’on pouvait penser à un homme comme Philippe SEGUIN, il n’y avait pas d’inquiétude à avoir sur ce qui fait l’identité nationale.

    Des hommes comme lui, tout simplement.
    Même leur mort n’empêchera pas de s’y référer



  • cambacérès cambacérès 16 août 2009 02:25

    Soyons lucides...
    Si nécessaire soit-il, il n’y aura pas de grand soir de la formation professionnelle tant qu’ il faudra acheter aux syndicats une paix sociale ... qui risque d’être chère cet automne.

    Les 25 milliards d’euros en cause sont collectés auprès des entreprises, pour l’essentiel via des taxes assises sur la masse sariale : ce n’est pas tout à fait de l’argent public, mais c’est donc , à tout le moins, de l’argent collecti : .il reste scandaleux que l’emploi de cette manne continue d’échapper à toute évaluation régulière ou permanente.
    On fait grand bruit de la prochaine transparence comptable des syndicats : à quand celle des organismes collecteurs ?

    Le plus grave, dans cette loi, c’est qu’elle se contente de « transposer » une fois de plus, les dispositions d’un accord national inteprofessionnel : en clair, des partenaires sociaux sans représentativité réelle ,font la loi . Ce raccourci n’apparait décidémment pas abusif
    Faut-il pérenniser, par cette méthode, ce qui devient un coup d’état social permanent ?

    Constatons que faute d’une représentatitvité réelle et consistante, les partenaires sociaux s’assurent ainsi une légitimité qu’is n’auraient pas...sla peur sociale d’une majorité dont ils ne cessent pourtant de critiquer, la politique sociale par ailleurs.
    Attendons de voir ce que dira le Sénat à la rentrée, lui qui dressait, il y a peu, un état des lieux significatif, pour ne pas dire préoccupant.

    Ce qui est en passe d’être concédé aux « camarades » sur la formation sera-t-il au moins le gage d’une certaine modération lors de la prochaine et nécessaire réforme des retraites ?
    Retraites dont la gestion paritaire elle aussi , mériterait certainement, comme pour la formation, un audit approfondi, préalable à toute hausse des prélèvements comme à tout allongement des durées de cotisation....

    Le plus grave, dans cette loi, c’est qu’elle se contente de « transposer » une fois de plus, les dispositions d’un accord national inteprofessionnel : en clair, les partenaires sociaux font la loi - sans représentativité ni légitimié réelles, il faut bien le dire.

    Faut-il pérenniser, par cette méthode, ce qui devient un coup d’état social permanent ?

    Constatons que faute d’une représentatitvité consistante, les partenaires sociaux s’assurent par ce biais une légitimité qu’is n’auraient pas...sans une majorité dont ils ne cessent pourtant de critiquer, la politique sociale par ailleurs.
    Attendons de voir ce que dira le Sénat à la rentrée, lui qui dressait, il y a peu, un état des lieux significatif, pour ne pas dire préoccupant..



  • cambacérès cambacérès 20 juillet 2009 20:47

    Le syndicat FSU (majoritaire) s’est juré faire échec à cette fusion et la nomination d’un directeur des ressources humaines de longue date compromis dans le fonctionnement très curieuse du paritarisme à la mode ANPE n’aura pas été une mesure heureuse.
    Syndicats auxquels de surprenants moyens financiers et matériels ont été « lâchés » l’été dernier : ils n’ont évidemment pas été utilisés pour défendre cette fusion qui reste une necéssité