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Les commentaires de caraïbe



  • caraïbe 4 décembre 2007 23:51

    La feuille, soit ; elle serait des arts.

    Mais n’a-t-on point noté ce marbre poli , froid et impassible sur lequel repose ce laurier ? Une pureté , une perfection de la matière, vivante par ses veines grisées impalpables car figées dans l’inertie minérale.

    Le souffle de l’art, au coeur du théatre Chaillot, est moins dans le fragile végétal éphémère que dans le lisse albâtre éternel rappelant celui des statues antiques.

    Heureux donc les abonnés du théâtre Chaillot, ce septième ciel de l’esprit !



  • caraïbe 4 décembre 2007 20:21

    Encore un article qui n’a rien à dire ........ on se contentera d’un basta ya hebdomadaire, pour tenir le coup au sarkotidien.



  • caraïbe 2 décembre 2007 19:14

    « L’exploitation de ces fichiers à des fins mercantiles est pourtant soumise... » On en perd les mots raisonnables de ces questionnements sur le net. On n’a jamais pensé qu’agora était une grande firme, c’est une place citoyenne de grande envergure où le média citoyen donne le meilleur pour l’entière satisfaction de chacun.



  • caraïbe 2 décembre 2007 18:41

    @ ddacoudre,

    Merci pour ce commentaire pertinent .On a beau avoir éteint son poste de télé depuis longtemps à l’heure du JT, étant sûr ainsi de n’avoir que son jugement pour se faire une opinion de l’actualité, on s’aperçoit que les réflexes émotionnels ont été dressés à prendre la place de la raison à notre insu.

    On se rappelle le début de ce glissement de la réflexion avec l’entrée de Sarkozy au ministère de l’intérieur : c’était avant les élections de 2002, un père battu à mort sur une place de bus par les racketteurs de son fils. Ce fait divers avait été pris comme preuve du besoin du tout sécuritaire la veille des élections présidentielles. Depuis ce jour-là, le phénomène s’amplifie : les médias partent de l’émotionnel pour abstraire la réflexion et le sens critique, ils dressent chacun à percevoir et à communiquer par ce réflexe inconscient.

    En consultant le site

    http://sarkononmerci.fr

    les autres pièces du puzzle se mettent en place.

    Il semble indispensable d’approfondir les procédés de ce conditionnement insidieux pour mieux le dépasser...Des spécialistes ne pourraient-ils pas s’y consacrer ?

    Ainsi, les médias actuels suivant la volonté du pouvoir nous ravalent au niveau de notre animalité et nous y tombons en masse sans discernement. Pour autant, la répression ne semble pas une solution digne d’une démocratie. Beaucoup d’esprits critiques sont en état de veille et prêts à exprimer leur désaccord avec la démarche officielle. Un réveil citoyen est possible si l’occasion lui est donnée, comme cela s’est produit aux US sur la chaine FOX dans l’émission American Idol :

    http://jeanmarcmorandini.tele7.fr

    Une semblable réaction en France révèlerait une remise en question de la bien pensance des médias officiels et des modèles proposés. Il a suffi d’un citoyen, pris en relais par un journaliste, et d’un site internet pour affirmer la contradiction critique.



  • caraïbe 1er décembre 2007 23:17

    Commentaire intégré. Merci.

    Les causes de l’erreur de jugement sur une 2ème pensée unique contestataire : la masse de données qui la constituent à l’identique de la pensée dominante, et la reprise des mêmes thèmes, même sous forme critique. On trouve là un double en négatif de la pensée dominante. A ce niveau de réflexion, il est indispensable que l’esprit critique propose, en plus de ce double, de nouveaux modes de pensée , comme cela a été fait dans « Sommes-nous devenus des moutons ? ».

    Il semble important que la réflexion, après le doute et une remise en question, puisse se reconstruire suivant des pistes proposées. On ne lâchera pas des idées établies, même consciemment mauvaises, à la faveur d’un vide.

    Ce pas à franchir est long et difficile : faire la part des idées prédigérées et imposées, les abandonner, à condition d’en établir de nouvelles. Compte tenu de la désinformation ambiante à la TV et dans la presse, cela ne peut se faire actuellement qu’avec un investissement personnel.



  • caraïbe 1er décembre 2007 18:37

    Merci Atreide pour cet article,

    et on pourrait faire une petite distinction entre les hackers et les sociétés qui constituent des fichiers de données personnelles.

    L’exploitation de ces fichiers à des fins mercantiles sont pourtant soumis à des lois sur la protection des données visant à protéger la vie privée, donc la liberté individuelle :

    - loyauté et transparence de la collecte

    - pertinence et exactitude des données collectées

    - information des personnes sur les données collectées et leur finalité

    - droit d’opposition ou consentement pour les données sensibles

    - droit d’accès et de rectification

    - obligation de sécurité et de confidentialité des données.

    Une question reste non élucidée aux yeux de l’internaute qui se prévaut de cette législation : quelle est la finalité réelle du fichier, celle annoncée ( quand elle l’est ) correspond-elle vraiment à ce que l’on en fait ? Le véritable danger vient en fait de ces grandes firmes qui possèdent toutes les technologies pour observer chacun de nos mouvements et constituer, à notre insu, des fichiers qui méprisent les bases élémentaires de la vie privée. Ces fichiers seront revendues à prix d’or, à des fins publicitaires, marchandes, politiques......... ( une adresse email a une valeur marchande, et couplée à d’autres informations, vaut encore plus )

    On ne pourra donc jamais avoir confiance dans l’avertissement donné de respect de la vie privée au rappel de la loi évoquée, et on ne sera jamais anonyme sur le net, malgré toutes les astuces technologiques possibles, à moins d’aller dans un cybercafé.

    Et comme vous le disiez dans votre précédent papier, tout dépend en fait de l’esprit de celui qui a accès à ces données.



  • caraïbe 1er décembre 2007 17:55

    Merci Atreide pour cet article,

    qui amène des réponses à beaucoup de questions.

    Sidérant ce catalogage au bénéfice de l’internaute, ou à son détriment. Plus inquiétant est de savoir que la différence réside dans les esprits de ceux qui ont accès à ces données. On s’en doutait un peu.



  • caraïbe 1er décembre 2007 11:00

    Pas bu, l’ordi est accaparé par 1 tierce personne pour du foot en ligne, Ô game.........

    Ils ont combien de vies, ces dieux du net ? Ils ont tout vu, tout vécu. RAS.

    Les miens et moi et moi et moi.



  • caraïbe 1er décembre 2007 10:51

    C’est le WE du démon, nounou d’agora ?

    Bouhhhh ! Faudrait d’abord qu’il crache le bubble-gum qui colle aux bagues de son appareil dentaire pour parler à l’ex- première dame des US.

    Ensuite, on suivra les conseils des 7 nains, pour n’en faire qu’une bouchée.



  • caraïbe 30 novembre 2007 22:48

    Maintenant que les petits sont rendus à leur misère et à leur ignorance irresponsable, ne conviendrait-il pas de les laisser retourner dans l’oubli, et à cet effet de nettoyer la place de toute trace de leur passage ?

    Quitte à rembourser les frais de cette opération. La béatitude de l’ignorance n’a pas de prix.



  • caraïbe 30 novembre 2007 22:20

    Pourquoi, la vie a-t-elle une autre teinte ? Ainsi se révèle la diversité de la vie aux uns et aux autres, selon l’angle de vue.



  • caraïbe 30 novembre 2007 21:57

    Ceux qui savent, ceux qui ignorent, on croirait entendre un ancien refrain. Sans ce petit air de musique, ne risque-t-on pas de sombrer dans la pensée unique ? La réflexion ne se nourrit-elle pas de la diversité plus que de la conformité ?

    Le temps qui passe, les autres,le quotidien, tout ne prend-il pas une autre couleur ?



  • caraïbe 30 novembre 2007 21:40

    Point de météore, juste un reflet de lune.

    Le contenu ne peut être abordé sans scrupules, les susceptibilités sont encore vives. On y pense, dans le respect des maîtres et des formules de civilités. ( hors compètes de jeux vidéos des juniors qui monopolisent l’ordi )

    Cependant, pas d’élitisme ni d’arrivisme : les petits se connaissent bien dans le regard des grands. Et c’est ce regard-là avec ces repères-là qui déroute quand on vient de l’Homme qu’on pense partager. Mais on ne va pas se fâcher, ni faire l’enfant de La Bruyère, on a des certitudes maintenant.

    Les grands peuvent tout broyer, la santé, le travail, la jeunesse, les retraites. L’Homme restera toujours un, et grandira de ses idées renouvelées, échangées et partagées, celui des banlieues, du chômage, des libres penseurs, des précaires....



  • caraïbe 30 novembre 2007 20:04

    4ème, 5ème site, on ne pouvait pas léviter !

    2 à 3 heures en moyenne par soir à naviguer sur ce média citoyen. Mais on s’instruit mieux en silence auprès de ses maîtres, qu’on se défend d’avoir blessés. Chagrin de leurs meutrissures, tristesse sur la mer immense. On apprend à les connaître, tous mélomanes. On vient encore y chercher l’excellence du quotidien, on se réjouit de pouvoir l’imprimer et l’emporter pour la partager au gré du vent.

    Chut, on est là, on apprend.............



  • caraïbe 27 novembre 2007 23:59

    Mazette !

    des internautes « traficants de drogue, terroristes, pédophiles, judiciarisation, méfiance, milice de rôdeurs......... » Ah ça, de quel côté est passée la méfiance lol ?

    L’humanisme n’autait-il pris sa source que sur un seul continent ?

    Palsambleu ! dans ce cas, Haddock en aura embarqué sur son vieux rafiot, avant de jeter à la mer le cercueil de son meilleur second tombé de la hune de vigie. Il ne s’en remettra pas, de sa mort, pas avant d’avoir éclusé toute sa réserve de vieux rhum, et du meilleur !

    Au grand coeur de ce vieux briscard de la mer, plus magnanime que tous ces continentaux !

    Le rapport Olivennes devrait plutôt s’occuper de la rubrique netcrologique : laisser reposer tranquilles les marins au verre franc.



  • caraïbe 25 novembre 2007 22:09

    A l’origine, le destinataire de l’Encyclopédie était « le Peuple », et pourtant les souscripteurs étaient des gens cultivés, ecclésiastiques, nobles et parlementaires

    L’histoire aura rectifié l’objectif : le Peuple est maintenant présent et lit. smiley

    Il connaît ses défauts, les assume pour partager la connaissance, échanger les idées, recevoir le savoir qu’on lui transmet.

    http://www.restode.cfwb.be/français

    « Ce qui nous menace davantage, alors que nous nous disons libres de penser et de croire en toute indépendance, c’est le confort de la vie moderne et l’apathie intellectuelle qui rongent et étiolent ce qui fut la préoccupation majeure des hommes des Lumières : le souci du bien collectif. »

    Ne pas trop charger la bourrique, on aurait pu tomber sur un vieux canasson bon aryen. smiley



  • caraïbe 25 novembre 2007 20:51

    ROHHHH LA LA,

    On dirait alors que la censure se trouve vraiment très stupide, inutile et nuisible..............

    Dans ce noir très très noir on n’a pas vu la lumière du premier, ni du deuxième, ni du troisième coup.......... C’est que la nuit est épaisse.

    MADRE DE DIOS, on lui ferait même parler belge dans ce petit dico..........



  • caraïbe 25 novembre 2007 18:00

    Mais tous ici sont-ils animés de la même volonté d’enrichir ce petit dico ?



  • caraïbe 25 novembre 2007 14:57

    @ JL,

    un excellent dico portatif tel qu’en auraient rêvé les encyclopédistes des Lumières.

    Mais il faudra du temps pour en sourire, car une majorité le lit actuellement au 1er degré. Sachant cela, on est tenté de répondre par média interposé à la critique officialisée. Quiproquo, attaque aveugle pour certains, expression libre pour d’autres.



  • caraïbe 25 novembre 2007 12:20

    M. APHATIE, bonjour.

    Puisque vous le permettez ici, un internaute va vous répondre.

    Il est toujours surprenant pour les simples internautes de voir comment vous recevez leurs commentaires. Vous centrez les remarques sur votre profession ou sur le contenu de l’article publié. Vous ne détenez là qu’une infime part de la vérité. Vous appartenez à une sphère , et vous le savez, qui inspire de la méfiance et de l’hostilité à bon nombre de lecteurs : dans les médias actuels, mensonges, manipulations, tout est bon pour diriger les consciences individuelles. Vous n’y pouvez rien, ce soupçon vous accompagnera longtemps comme une deuxième peau, car ce site est jeune et n’a pas encore fait ses preuves d’honnêteté et de moralité dans la profession.

    Il faut à ce propos révéler une autre part de vérité : les lecteurs qui viennent vous lire sur ce site espèrent trouver une part de liberté ailleurs refusée. Liberté des idées à lire et à partager, avec le temps de la réflexion. Et vous voilà victime d’une autre réalité : certains internautes arrivent ici à vif, déjà bien éprouvés par la désinformation ambiante, la propagande officielle le désignant comme un parasite de la société. N’ayant, de surcroît, aucune représentation médiatique pour répondre à cette critique, aucun contre pouvoir, et que peu de moyens pour retrouver des données non manipulées, ils se sentent parfois agressés à nouveau dans cet espace. Une fois de plus on les aurait trompés, ici aussi les idées seraient faussées pour servir les intérêts de certains. Ils se demandent comment on peut se réclamer d’une éthique citoyenne quand leur pensée n’est pas représentée ou fidèlement exprimée.

    Sur ce point intervient une troisième réalité : ces citoyens savent que leur vie est juste et estimable, respectueuse des valeurs fondant la société, et que leur avenir dépend en partie de leur capacité à réagir au reniement de ces valeurs. Tout est maintenant exacerbé, chaque mot est par avance engagé dans une lutte sans neutralité. Peut-être alors comprenez-vous que la tristesse et l’amertume sont ici le reflet de la vie au jour le jour : l’actualité comme l’avenir ont la couleur des écrits. Car les individus sont fragiles dans cette réalité : un décret, une, lois peuvent les priver, eux et le groupe qu’ils assistent, d’une prospérité programmée jugée bien méritée. Et la colère s’installe quand les lecteurs comprennent que leur vie ici est sacrifiée pour des idées, car elle n’est pas représentée.

    Là s’ajoute un autre fait que vous soupçonnez : les lecteurs ne maitrisent pas toujours les moyens d’exposer leurs arguments. Cette ressource là, ils viennent la puiser ici, inspectant et pesant les mots écrits, les idées argumentées, articulées, confrontées, les idées plurielles, les comparant aux leurs et à la propagande officielle. Et ils s’en nourrissent, en parlent autour de lui, et reviennent obligatoirement à une pensée figée, seuls à vouloir quitter ce grand troupeau. Alors, voyez-vous, votre place n’est que très mineure, juste un détonateur. L’absence de commentaires de votre part importe peu, pourvu que d’autres apportent des points de vue différents.

    Encore une précision pour apaiser le climat internaute : cessez de décrypter les mots, le style, de les classer selon des critères qui vous coupent de ceux pour qui vous écrivez. Une vie en vaut une autre et ne peut être jugée. Bouseux par le style et les idées, ils vous regardent étonnés rejoindre le troupeau que vous venez de dénoncer. Les insultes et le mépris sont régulièrement leur lot dans les médias. Dressés à ces agressions et à ce rapport de force depuis longtemps, rien ne les décourage. Entre une dignité qu’on leur retire et la liberté de parler et de penser, ils ont choisi. C’est ce qui les pousse à rester ici.

    Pour terminer, on va tenter de vous complaire avec une évidence qui porte à sourire : Les journalistes comme vous, tout éclairés et fidèles qu’ils soient à leur éthique, perçoivent quand même la réalité par le filtre de leurs préjugés : un commentateur se déclare femme et distille sa vérité au fil des ses interventions. Elle connaît assez les données de la société à ce sujet. Et voilà que tout renie leurs beaux principes d’esprits libres : aveuglés qu’ils sont par les données publicitaires et médiatiques, ils refont l’image de cette internaute à l’image des modèles proposés. Et là, si vous le permettez, l’internaute sourit. Pour revenir à plus sérieux, on se demande si les préjugés ne l’emportent pas ailleurs. Et dans la quête de l’essentiel, on est parfois, simple internaute, poussé à tester.

    Cordialement, en toute simplicité.