• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Fenzy



  • Fenzy 4 septembre 2009 18:42

    Article ahurissant. Comment a-t-on pu arriver à l’idée qu’il était du devoir de la France de prendre à sa charge la misère du monde ? Au frais de qui, au fait ? Ben des pauvres cons de Français !

    A-h-u-r-i-s-s-a-n-t.



  • Fenzy 28 août 2009 15:29

    Alternatives Economiques est une revue de propagande trotzkystes, c’est de notoriété publique et vous-mêmes vous le savez. Quant à l’OCDE, ils ne sont certes pas dans le même camp puisqu’il s’agit d’un organisme néo-libéral mais dont les études sont clairement orientées pour dire à la population ce que les grands argentiers veulent qu’elle entende. Camps opposés, donc, mais même volonté de tranvestissement à des fins idéologiques. Etre pour un modèle français suppose au minimum d’être conscient qu’il faut trouver une autre voie au milieu de celles proposées par ces deux bonimenteurs, bref ...
    Quant au seuil de productivité marginal pour accéder à l’emploi actif, certes on ne connaît pas sa valeur mais comparativement, on sait qu’elle est plus élevée ici, moins ailleurs ... c’est la comparaison de ces seuils qui est intéressante et non leur valeur absolue. Ainsi, le seuil est beaucoup plus élevé en France qu’au Japon, et il l’est un peu plus qu’aux Etats-Unis etc.
    Quant à ce que recouvre la notion de productivité ce n’est pas à vous d’en décider, c’est à l’employeur qui se pose éternellement cette question au moment d’embaucher : ce nouveau salarié va-t-il me rapporter de l’argent ou m’en coûter, c’est aussi bête que cela.



  • Fenzy 28 août 2009 14:47

    Vous dites pas mal de choses vraies dans votre article, pourtant il me pose problème. Vos références sont les chiffres de l’OCDE, Alternatives Economiques : autant dire que vos références sont bidons. Ensuite, la démonstration de Julius reprise par Péripate est parfaitement valide : si les Français au travail sont très productifs, cela veut simplement dire que tous ceux qui sont en dessous du niveau de rentabilité nécessaire en France pour avoir un travail sont au chômage, le chômage du système français est donc structurellement très élevé et il est difficile de le faire baisser. Les raisons à cela : les 35 heures, les dépenses de l’Etat globalement trop élevées phagocytant 55% du PIB ... d’une façon générale des charges très élevées sur l’emploi privé et un Etat financèrement boulimique.

    Là où on pourrait être d’accord avec vous, c’est sur le fait que le contre-modèle américain n’est pas forcément meilleur. Ca veut surtout dire qu’il ne faut pas tronquer le modèle français contre un autre, en revanche la réforme de l’Etat pour qu’il fonctionne mieux, soit plus efficace, est une vraie urgence. Il est donc urgent de réformer plutôt que de rassurer avec des articles aux sources bidonnées les bastions qui bloquent les réformes en France, à la SNCF, à la SNCM, la Banque de France, les NMPP, les docks de Marseille, mais aussi les banquiers ripoux en mèche avec l’Etat pour racketter leur réseau dans un contexte de quasi-monopole, le système de distribution-hypermarché français qui ne souffre d’aucune concurence ... tout ce petit monde qu’une société paralysée par le poids et l’inertie de l’Etat arrange bien.

     



  • Fenzy 10 juin 2009 17:34

    Nobody knows me : mais je suis bien d’accord avec vous, les femmes savent se faire aguicheuse et désirable avec l’habillage, le maquillage ... sauf que dans le cas du voile l’argument avancé est : on attente à la pudeur des musulmanes en leur demandant de retirer leur voile dans les administrations et les écoles où les élèves sont mineurs. C’est de la pure hypocrisie. Le combat pour le voile est un combat global hypocrite et de duplicité pour remettre en question le cadre de vie occidental, pour montrer son refus d’adhérer aux valeurs de la société hote, pour imposer un mode de vie à la musulmane sans avoir à faire de concession sur son mode de vie importé. Pour le plus grand bénéfice de qui ? Au détriment de qui et de quoi ? On se le demande bien ...



  • Fenzy 10 juin 2009 16:34

    Le voile est une astuce utilisant l’argument d’autorité religieux pour dire : « moi, femelle musulmane, me réserve à un bon musulman. Kouffars, merci de passer votre chemin ».
    Le voile révèle ce qu’il prétend cacher : il essentialise la femme dans sa dimension sexuelle. Comme le dit Chahdortt Djavann : le voile n’est pas un vêtement de chasteté mais un vêtement obscène.
    Comme par hasard la religion musulmane autorise le mâle à se marier à une non musulmane pour la soumettre, alors que cette religion proscrit tout mariage de musulmane à un non musulman.
    Les musulmans ont donc beau jeu de se poser en victime de l’exclusion alors même qu’ils ne font que suggérer, voir reconnaître explicitement qu’ils n’ont pas l’intention de se mélanger mais de pratiquer l’échange à sens unique, à toujours revendiquer plus avec l’intention de ne rien concéder sur leurs pratiques et leurs valeurs. Voilà pourquoi ils suscitent la défiance et que tous les discours sur les pauvres femmes musulmanes dont on ne respecte pas leur liberté de se voiler passe pour une grande hypocrisie, même si ponctuellement on peut certainement trouver des femmes qui sont sincères dans leur démarche.



  • Fenzy 6 avril 2009 12:04

    Les forces de l’ordre obéissent aux politiques qui eux-mêmes ont l’opinion publique dans le rétroviseur. En dernière analyse, l’attitude des forces de l’ordre est à l’image de ce que l’opinion publique versatile en attend.
    Lorsque les policiers et CRS laissent une manifestation dégénérer, on trouve les éternels pleurnicheurs qui, si les forces de l’ordre étaient intervenues, nous auraient gratifier des mêmes pleurnicheries.
    Bref, l’usage ou l’absence d’usage de la force est toujours à double tranchant : soit on préfère des magasins et des bâtiments brûlés et pillés au risque de bavure lorsque les CRS chargent, soit on accepte le risque de bavure au nom de l’ordre public, c’est à dire de la protection des biens et des personnes présent sur place.
    Contrairement à ce que pensent les éternels niais et pleurnicheurs faisant office d’électeurs, on ne peut pas avoir le maintien de l’ordre public sans la bavure et on ne peut avoir des forces de l’ordre passives sans inciter les casseurs à aller toujours plus loin dans la violence. Il faut donc choisir : on appelle ça un raisonnement d’adulte ce que beaucoup de pleurnicheurs pseudo-citoyens ne sont visiblement toujours pas.



  • Fenzy 31 décembre 2008 15:55

    quen_tin

    Le fait qu’on parque les étrangers pauvres loin des centres villes dans des banlieues à l’architecture inhumaine et qu’ils n’aient quasiment pas accès au marché du travail a certainement à voir avec beaucoup de problèmes de notre société mais je ne mettrais pas ça sur le compte des différences culturelles.

    Allez, encore un brave type qui nous ressort pour la nième fois la légende urbaine des pauvres immigrés placés dans les ghettos par les vilains Dupond Lajoie. Sachez, jeune homme, que j’ai passé une dizaine d’années dans ces cités que, dans les années 70, tout le monde était ravi de rejoindre car pour beaucoup de gens c’était une opportuité nouvelle pour vivre dans un appartement qui serait grand, chauffé à discrétion en hiver, avec des espaces en bas de l’immeuble pour faire du vélo, et moyennant voiture les hypermarchés et même le centre ville pas si loin que ça. C’était dans les années 70, années durant lesquelles cohabitaient ouvriers, petits cadres, fonctionnaires, postiers, instituteurs, immigrés de deuxième et troisième génération, c’était inespéré à l’époque.
    Et puis les choses on lentement mis à se dégrader. Rackets, insultes, crachats, attaques en bande, les parkings à vélo qui se transforment en mosquée, les sous-sols d’immeuble où il ne fallait raisonnablement plus descendre, les pneus crevés, les profs insultés etc. etc. Beaucoup de gens ont fui ces quartiers vers la fin des années 80 car petit à petit ces quartiers tendaient à se transformer en ce qu’ils sont désormais : des ghettos à immigrés. Cependant, ce n’est pas "on" ou je ne sais qui qui a délibérement parqué des immigrés dans des ghettos, mais bien des quartiers au départ agréables et recherchés qui se sont petit à petit transformés en poubelles où l’on se sent ni chez soi, ni en sécurité.
    Or je retiendrais tout de même de ces années que le social n’explique pas tout, en fait peu de choses. Il y a bien incompatibilité culturelle et incompatibilité d’humeur entre certains groupes humains, poussant certains à la fuite et d’autre à la concentration, et voilà comment nous en sommes arrivés là aujourd’hui.
    Je répète donc que vous parlez d’un sujet que vous ne connaissez pas, ce qui explique la naïveté confondante de vos propos.



  • Fenzy 31 décembre 2008 15:55

    quen_tin

    Le fait qu’on parque les étrangers pauvres loin des centres villes dans des banlieues à l’architecture inhumaine et qu’ils n’aient quasiment pas accès au marché du travail a certainement à voir avec beaucoup de problèmes de notre société mais je ne mettrais pas ça sur le compte des différences culturelles.

    Allez, encore un brave type qui nous ressort pour la nième fois la légende urbaine des pauvres immigrés placés dans les ghettos par les vilains Dupond Lajoie. Sachez, jeune homme, que j’ai passé une dizaine d’années dans ces cités que, dans les années 70, tout le monde était ravi de rejoindre car pour beaucoup de gens c’était une opportuité nouvelle pour vivre dans un appartement qui serait grand, chauffé à discrétion en hiver, avec des espaces en bas de l’immeuble pour faire du vélo, et moyennant voiture les hypermarchés et même le centre ville pas si loin que ça. C’était dans les années 70, années durant lesquelles cohabitaient ouvriers, petits cadres, fonctionnaires, postiers, instituteurs, immigrés de deuxième et troisième génération, c’était inespéré à l’époque.
    Et puis les choses on lentement mis à se dégrader. Rackets, insultes, crachats, attaques en bande, les parkings à vélo qui se transforment en mosquée, les sous-sols d’immeuble où il ne fallait raisonnablement plus descendre, les pneus crevés, les profs insultés etc. etc. Beaucoup de gens ont fui ces quartiers vers la fin des années 80 car petit à petit ces quartiers tendaient à se transformer en ce qu’ils sont désormais : des ghettos à immigrés. Cependant, ce n’est pas "on" ou je ne sais qui qui a délibérement parqué des immigrés dans des ghettos, mais bien des quartiers au départ agréables et recherchés qui se sont petit à petit transformés en poubelles où l’on se sent ni chez soi, ni en sécurité.
    Or je retiendrais tout de même de ces années que le social n’explique pas tout, en fait peu de choses. Il y a bien incompatibilité culturelle et incompatibilité d’humeur entre certains groupes humains, poussant certains à la fuite et d’autre à la concentration, et voilà comment nous en sommes arrivés là aujourd’hui.
    Je répète donc que vous parlez d’un sujet que vous ne connaissez pas, ce qui explique la naïveté confondante de vos propos.



  • Fenzy 31 décembre 2008 15:17

    Allez vivre quelques années en Seine Saint Denis et vous aurez gagné votre droit à parler d’un sujet que manifestement vous n’observez que de très loin. Comparer le voile de votre grand-mère et le hijab, faut vraiment vivre dans le monde des bisounours pour ne pas saisir la différence entre les deux. Le fait d’habiter loin de la Seine Saint Denis ou d’autres banlieues chaudes de France pourrait expliquer votre manque de peur de l’autre et votre enthousiasme benêt quant aux joyeusetés du multiculturalisme.



  • Fenzy 31 décembre 2008 14:13

    Allez à une offre d’emploi en basket et avec la coupe de cheveux à l’iroquoise, et vous verrez comment vous serez reçu ...



  • Fenzy 31 décembre 2008 11:36

    En France on est pas libre de se ballader nu avec une plume dans le derrière sur la voie publique, en France on est pas libre de se ballader torse nu quand on revient de la plage dans les rues des villes de la côte, c’est tout simplement illégal et sanctionné d’une amende. Par conséquent, en France comme ailleurs la liberté est restreinte par les lois qui impliquent des droits et des devoirs à chacun. La laïcité étant un pilier fondamental du régime Français qui sous-tend les lois françaises, tout le monde doit bien comprendre qu’il faut accepter de se plier aux lois françaises dont la laïcité est un principe fondamental. Si c’est trop vous demander, si vous vous considérez injustement traitée ou persécutée par le système français, il faut partir. Quittez ce pays, allez dans un pays où la laïcité n’est pas la règle, et vous pourrez vivre de façon plus entière votre foi et les pratiques qui en découlent. Quittez donc la France, personne ne vous retient de partir, dans votre intérêt. Sachez que la France ne renoncera pas à la laïcité, et que ceux qui vous suggèrent le contraire vous conduit droit à de grosses désillusions.



  • Fenzy 30 décembre 2008 22:57

    Bonsoir Ibn al Farouk,

    votre réponse me convient parfaitement et j’espère que votre point de vue est celui partagé par la plupart des musulmans Français. J’ai tendance à penser que tout musulman honnête avec lui-même doit comprendre que s’il n’accepte pas que ce sont les lois de la république et non la Charia qui régit la vie des citoyens Français, il doit partir. Pour le reste, tant qu’il s’agit de pratiquer sa religion au sens où on l’entend sous nos lattitudes, pas de problème pour moi. Je pense malheureusement que beaucoup de musulmans sont face à un énorme dilemme : ils savent ce qui leur en coûtera économiquement et en terme de perspective d’avenir de "retourner au bled", et en même temps ils refusent d’accomplir cette violence volontaire qu’il faut s’infliger à soi-même pour renoncer à certains repères communautaires qui, à terme rendra leur acceptation dans la société française impossible. C’est le contrat français : accepter à renoncer à certains pans de son identité pour devenir citoyen Français. C’est très dur mais c’est ainsi. Ceux qui ne jouent pas le jeu seront d’une façon ou d’une autre exclus du jeu, c’est le contrat tacite Français que d’accepter tous les immigrants quelque soit leur origine, à condition d’accepter et de respecter les valeurs fondamentales du régime Français qui justement rendent possible une aussi grande ouverture à l’étranger.





  • Fenzy 30 décembre 2008 20:51

    >Ibn Al Farouk (IP:xxx.x2.110.80) le 30 décembre 2008 à 16H24
    >Je suis d’accord avec vous sur la nécéssité de légiférer dans un certains nombres de problématiques. L’être >humain étant parfois incapable de s’auto-régulé (comme les banques d’ailleurs lol).

    >Par contre mon propos était que certains de mes concitoyens présente toujours les musulmans comme un >corps étrangers en les appelant parfois "accuellis" par exemple ou autre et ils n’arrivent pas à intégrer que >des français aussi français qu’eux puisse être musulman.

    Le problème est que l’islam n’est pas qu’une religion. La Charia est un système juridique difficilement dissociable de l’islam. La question est de savoir si les musulmans se sentent loyaux d’abord vis à vis de l’islam comme système juridico-religieux, et Français ensuite ; ou bien si les musulmans se sentent d’abord Français et reconnaissent donc l’état de droit et les lois françaises de façon pleine et entière avant les règles de la Charia. Ne sachant sonder le coeur de chaque musulman, je n’ai pas de réponse définitive à cette question, en revanche j’ai plusieurs fois été choqué par certaines manifestations d’hostilité ouverte vis à vis de la France et de ses symboles de la part de musulmans. La Marseillaise sifflée au Stade de France, les revendications communautaires au niveau des piscines, des écoles, et tant d’autres. Tout cela inspire plus la méfiance que la confiance, le sentiment que nous n’appartenons pas à la même communauté de destin.
    Le problème était d’ailleurs le même avec les communistes durant la Guerre froide. Il y avait des personnes très Français du terroir dont on ne savait pas envers qui ils seraient prêts à montrer allégence en cas de conflit avec le bloc soviétique. D’une certaine façon, on pouvait douter à l’époque et de la même manière de leurs sentiments de loyauté envers la France et les Français. D’aucuns diront qu’il s’agissait de potentiels traîtres.





  • 30 décembre 2008 14:26

    >Ibn al Farouk
    >Tous les musulmans de France ne sont pas forcément des "accueillis", la pluparts sont chez eux et >jouissent juste de leur liberté de penser et de cultes. Est-ce si étonnant que ça que des français d’origine >chrétienne se convertissent à l’Islam ?

    >Tant que vous ne traiterez pas tous les enfants de la république sur un même pied d’égalité et que vous >considérerez les français de confession musulmane comme un corps étranger à notre république, la >situation ne s’améliorera pas et les incompréhensions perdureront

    C’est pourquoi une solution non législative est toujours préférable à une solution législative dans la mesure du possible. Il a fallu du temps à la France avant de légiférer sur ce problème, qui est le temps de l’observation et de la réflexion. Or qu’observe-t-on ? Une montée en puissance du prosélytisme dans les cités et les lycées environnant. La solution pour stopper cours à des problèmes très gourmands en temps et en énergie puisqu’ils se reproduisent partout ? La loi.
    La loi est toujours ambivalente, par son côté restrictif il y a toujours des gens qui sont pénalisés à la marge, mais lorsque les avantages de la loi sont bien plus grands que les inconvénients qu’elle implique (dans le cas présent certaines jeunes femmes pieuses qui souhaitent porter le voile selon une foi sincère et non prosélyte), il faut légiférer. Il en est de même pour tout ce qui passe sous la loi ou les règlements. La vitesse sur la route est limitée pour tous parce que certaines personnes sont incapables d’évaluer par elles mêmes quand il faut ralentir, l’alcool est interdit sur les lieux de travail parce que certaines personnes sont incapables de gérer l’alcool pour eux mêmes, la loi limite les heures de travail pour tous parce que certains patrons s’ils le pouvaient feraient bosser les gens 60 heures par semaines etc. etc.



  • Fenzy 7 novembre 2008 10:31

    Pas plus que la Turquie, Israël n’a rien à fair en Europe, c’est un pays du Moyen-Orient.
    La Russie n’a rien à faire en Europe non plus, tous blonds et chrétiens qu’ils sont pour aller dans le sens des petits vigilants du politiquement correct.
    Tous ces pays ne sont pas l’Europe, ils appartiennent culturellement ou géographiquement à des aires distinctes.



  • Fenzy 6 novembre 2008 16:02

    N’hésitez pas à vous installer en Turquie pour y faire votre vie. Par contre, soyez prévenus : pour réussir en Turquie, mieux vaut être turc ET musulman. Votre religion sera d’ailleurs inscrit sur vos papiers d’identité.

    Par ailleurs, l’Europe n’est pas un continent de chrétiens exclusivement : c’est un continent dont les racines religieuses chrétiennes constituent un élément fondamental de son identité tout en étant loin d’être le seul. l’Europe c’est aussi une histoire commune des monarchies, des penseurs de Leibniz à Descartes, en passant par Maxwell et Einstein, des artistes, écrivains tels que Cervantes, Flaubert, Shakespeare, Kafka, De Vinci ...
    C’est ainsi qu’en Europe, nous avons des chrétiens catholiques et orthodoxes, des protestants, des juifs, des musulmans, des agnostiques, des boudhistes, des athées et que les gens ne sont pas persécutés pour leur religion ou leur absence de religion. On leur demande juste de considérer leur religion comme une question de foi personnelle et non une affaire politique, car la condition d’une telle coexistence pacifique de toutes ces diverses sensibilités est précisément qu’elle ne serve pas de base directe à l’écriture des lois communes. Toute tentative de faire l’amalgame entre religion et politique est inévitablement source de tensions et de conflits, que ce soit en Europe ou ailleurs (en Turquie sous l’égide de l’AKP de Erdogan, par exemple).





  • Fenzy 6 novembre 2008 14:49

    Les vrais ennemis de la Turquie sont ceux qui poussent pour lui faire faire les concessions sur son identité sous les expressions polies de ’modernisation’ ou ’aménagement’, pour intégrer un l’ensemble politico-économique Europe dont elle ne partage ni l’histoire en dehors de guerre contre l’Europe dont le croissant de boulangerie est une allusion, ni l’identité politique (contre-pouvoir militaire, occupation militaire d’un pays membre de l’UE, non reconnaissance du génocide arménien), ni les valeurs (pays musulmans à 95%, minorités chrétienne et juive tolérée sans plus mais officiellement inexistante quand pas persécutées).

    Quant à l’élection d’Obama, c’est une excellent nouvelle pour les Américains et la bonne santé de leur démocratie smiley



  • Fenzy 6 novembre 2008 14:38

    Débat n fois mené dont les conclusions sont connues. Nos dirigeants, technocrates bruxellois ou carriéristes nationaux de la politique, sont tenus de nous vendre la Turquie en Europe pour des raisons que d’autres ont déjà évoqué ici mais qui n’ont rien avoir avec l’intérêt des citoyens européens, voir en dépit et contre leurs intérêts.
    Dans le même temps, tout est fait pour éviter un referendum car le résultat est connu d’avance : ce serait non à une écrasante majorité.



  • Fenzy 6 novembre 2008 11:22

    Ah, Ségolène, c’est un peu notre Sarah Palin à nous. Elle fait partie du spectacle de marionnette faisant office d’une certaine élite française smiley
    Elle est marrante à voir à la télé ou en représentation quand elle se prend pour Gad Elmaleh ou Anne Roumanoff, mais qui peut concevoir sérieusement qu’elle aurait été à la hauteur lors de la crise financière actuelle ou tout autre crise à venir ...