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Les commentaires de Traroth



  • Traroth Traroth 16 novembre 2007 16:41

    Et c’est quoi, votre diagnostic ?



  • Traroth Traroth 16 novembre 2007 16:38

    Il faut penser plus loin : quand ces universités seront en péril, on nous présentera leur privatisation comme « la seule solution », en nous disant de regarder ce qui se passe à l’étranger. Au hasard, aux Etats-Unis. C’est couru d’avance.



  • Traroth Traroth 16 novembre 2007 16:34

    Loin de moi l’idée de contester vos chiffres, mais pourriez-vous citer vos sources ?



  • Traroth Traroth 16 novembre 2007 16:31

    Comme c’est commode. C’est les Français qui seront responsables de échecs de Sarkozy, alors ? C’est ça, Nicolas, t’es trop bien pour nous, casse-toi !



  • Traroth Traroth 16 novembre 2007 16:22

    « Les professeurs du secondaire essayent bien d’orienter vers des filières courtes ceux qui n’ont pas un niveau suffisant pour faire une prépa, mais ils ne sont pas toujours écoutés » : Alors ça, c’est la meilleure ! Le problème fondamental, c’est qu’il n’y a pas assez de places. L’entrée en BTS ou en IUT se fait sur dossier, donc tout le monde n’y entre pas. Les problèmes fondamentaux des facultés, c’est :
    - elle ne récolte (presque) que ceux qui n’ont pas réussi à entrer dans une autre filière
    - elle a des moyens ridicules, le gros du budget étant consacré aux filières sélectives
    - ses objectifs ne sont pas clairement posés. On est passé de la formation des élites à une formation de masse, sans que ça soit vraiment dit



  • Traroth Traroth 16 novembre 2007 16:10

    J’ajouterais que les fonctions de conservation et de transmission du savoir, ça risque d’être folklorique si on confie ça aux entreprises ! Conserver du savoir non directement valorisable est un « frais fixe », même pas la peine d’y compter, et l’enseignement... la transformation en l’espace de queslques années des stages en esclavage moderne montre bien ce que ça peut donner...



  • Traroth Traroth 16 novembre 2007 16:10

    J’ajouterais que les fonctions de conservation et de transmission du savoir, ça risque d’être folklorique si on confie ça aux entreprises ! Conserver du savoir non directement valorisable est un « frais fixe », même pas la peine d’y compter, et l’enseignement... la transformation en l’espace de queslques années des stages en esclavage moderne montre bien ce que ça peut donner...



  • Traroth Traroth 16 novembre 2007 16:02

    La R&D, l’endroit où on produit, conserve et transmet le savoir, il fallait oser le dire. Si vous ne comprenez pas la différence entre recherche fondamentale et recherche appliquée, on ne peut pas faire grand chose pour vous.



  • Traroth Traroth 15 novembre 2007 17:14

    Vous partez du principe que l’Université ne peut avoir qu’un seul but. Pourquoi l’un exclurait l’autre ?



  • Traroth Traroth 15 novembre 2007 17:13

    Vous partez du principe que l’Université ne peut avoir qu’un seul but. Pourquoi l’un exclurait l’autre ?



  • Traroth Traroth 15 novembre 2007 17:08

    Je ne partage que partiellement votre analyse et pas du tout les conséquences que vous en tirez. Oui, la formation professionnelle et la R&D (appellons un chat un chat) peuvent entrer dans le champ d’activité de l’université, mais le problème, c’est qu’on veut qu’elle ne fasse plus que ça, et ça, c’est inacceptable. Rappellons d’abord brièvement ce qu’est l’université : l’endroit où on produit, conserve et transmet le Savoir. Vouloir la réduire à une annexe de l’entreprise est une erreur. Même si, comme je l’ai dit, ça fait aussi partie de son rôle. Les conséquences que vous tirez, sans les démontrer, de votre constat (ça reste implicite), c’est que la réforme actuelle est bonne, et là, on ne peut plus du tout vous suivre.

    L’autonomie des universités signifie d’abord une baisse des budgets que l’Etat va leur consacrer, à charge aux universités de « trouver des partenariats », c’est à dire de se mettre dans une position de dépendance par rapport au financement privé. Financement qui viendra donc des entreprises. A terme, outre le risque de privatisation pure et simple des universités, il existe un risque réel de dérive du rôle des universités vers le rôle d’annexe des entreprises que j’ai déjà mentionné, avec des logiques de rentabilité (au revoir, recherche fondamentale et filières n’ayant pas d’intérêt économique immédiat), de marques (voir ce que dit Naomi Klein sur les chaires sponsorisées dans les universités américaines dans « No Logo »), de « on n’a pas le droit de dire ça d’IBM », de formations jetables, etc.

    Une remarque supplémentaire : les problèmes de l’Université française sont quand même assez largement dus à des années de négligence et de budget insuffisant. Il ne me semble pas évident qu’encore plus de négligence, même si on appelle ça de l’autonomie, soit la solution...



  • Traroth Traroth 12 novembre 2007 18:47

    Une bien belle histoire. Ca se passe rarement comme ça... Que dire d’autre, sinon qu’on leur souhaite tout le bonheur du monde et de profiter de leur conte de fée tant qu’il dure.



  • Traroth Traroth 9 novembre 2007 17:21

    Il ne suffit de faire du vent pour être un « winner », hein ! Et depuis mai, le peu qui a été fait est plutôt mauvais. Mais je ne suis pas inquiet : vous saurez voir votre erreur quand le prochain démago débarquera...



  • Traroth Traroth 7 novembre 2007 11:44

    Le problème, c’est que beaucoup de gens prennent la démocratie pour quelque chose d’acquis et d’irréversible là où elle existe (en supposant qu’elle existe). Ils oublient que la démocratie n’existe que dans un très petit nombre de pays, et depuis très peu de temps, par rapport à l’Histoire. La démocratie est l’exception, pas la règle. Et elle est fragile : il aura suffit de 2 mandats de Bush pour que la démocratie aux Etats-Unis soit largement mise en cause, à peu près dans l’indifférence générale.



  • Traroth Traroth 5 novembre 2007 15:03

    Et dire qu’Agoravox refuse de publier mes articles. C’est vrai qu’il faut laisser de la place pour ce type de chef-d’oeuvre immortel...