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Accueil du site > Culture & Loisirs > Étonnant > Le temps des surprises

Le temps des surprises

Tout le monde connaît la belle chanson de Jean-Baptiste Clément, « le temps des cerises », mais on sait moins que cette chanson, née des évènements de La Commune de Paris, évoque bien plus que le petit fruit rouge du mois de mai, et n’est pas seulement une chanson d’amour...

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En effet, en 1866, l’auteur avait vécu le dramatique épisode de la Commune, et sa chanson s’est voulu surtout un espoir de renaissance de ces temps de liberté. Lien

Par contre, on sait moins qu’il existe 2 versions de cette célèbre chanson, la première avait un caractère révolutionnaire évident : « pandores idiots, (les flics) magistrats moqueurs, seront tous en tête. Les bourgeois auront la folie en tête, à l’ombre seront poètes chanteurs ! Mais quand reviendra le temps des cerises, siffleront bien haut chassepots (fusils) vengeurs  »…

Quant à la deuxième version, Clément, réfugié en Belgique, la dédia à une belle ambulancière de la Commune, dont il était amoureux …

...et si on veut lire entre les lignes, on découvre que « la plaie ouverte », que «  les cerises d’amour tombant en gouttes de sang », ainsi que « les belles » (les balles) « qu’il vaut mieux éviter », prennent une tout autre signification. lien

Plus près de nous, Charles Trenet, dont la vie sentimentale posait question, avait écrit : «  je t’attendrais à la porte du garage  »...dévoilant plus tard un sens caché : « je tâte André, à la porte du garage. », chanson dédiée à son amant de l’époque. lien

Remontons un peu dans le temps pour découvrir d’autres chansons, pour lesquelles il faut aussi lire entre les lignes…

Prenons par exemple le cas de la célèbre comptine « au clair de la lune »…

Sous des aspects innocents, cette chanson est surtout une chanson libertine…

quand l’on sait que l’expression « battre le briquet  » signifie faire l’amour, et quand Lubin se rend chez la voisine de l’ami Pierrot, il va y chercher l’amour la priant de lui ouvrir sa porte. lien

Quant à la chandelle « ma chandelle est morte, je n’ai plus de feu  », elle prend alors une tout autre signification en forme de débandade...lien

Il en va de même avec « nous n’irons plus au bois »...chanson qui fait surtout référence à la fermeture des maisons de passe, et aux pratiques de libertinage, courantes déjà sous Louis XIV... la réalité de ces maisons étant signalées par une couronne de laurier, gravée sur leur fronton (les lauriers sont coupés)

La phrase « sautez, dansez, embrassez qui vous voudrez » prend alors un tout autre sens. lien

Et si les lauriers ont été coupés, c’était sur ordre du Roi, qui pour empêcher ses soldats de fréquenter les bordels, où ils attrapaient des maladies vénériennes, les avait fait fermer...mais le peuple va passer outre : « les lauriers du bois sont déjà repoussés ».

On pourrait aussi évoquer « il était une bergère », cette bergère qui « tue son petit chaton  », sauf que l’expression « laisser le chat aller au fromage » signifiait alors perdre sa virginité avant le mariage...lien

D’ailleurs à la fin de la chanson, la bergère, pour se faire pardonner, va se confesser...et le prêtre lui propose « nous nous embrasserons », « la pénitence est douce, nous recommencerons  »… lien

Rien de nouveau sous le soleil donc…

L’occasion d’évoquer aussi la chanson «  il court, il court, le furet », chanson apparemment anodine, sauf qu’elle était dédiée à un ecclésiastique qui avait mauvaise réputation : le cardinal Dubois en l’occurrence, (conseiller de Philippe d’Orléans, lui même neveu de Louis XIV), lequel abbé était plutôt porté sur la bagatelle…

Saint-Simon décrivait l’ecclésiastique ainsi : « tous les vices combattaient en lui... la débauche, l’avarice, étaient ses dieux... ». lien...

Ce qui a incité un troubadour taquin à cacher dans le titre une contrepèterie : « il fourre, il fourre, le curé »… lien

Dans le même ordre d’idée, on pourrait aller du coté de Jeanneton, qui prend sa faucille...et découvrir qu’il s’agit d’évoquer ni plus ni moins que d’un viol en réunion…

En effet, quand elle part « couper du jonc », le jonc étant le sexe masculin, elle se trouve en face de 4 garçons, ...le premier l’embrasse sur le menton, le second la couche sur le gazon, le troisième lui relève son blanc jupon, et ce que fait le quatrième « n’est pas dit dans la chanson ».

La morale de la chanson pose question, car si elle affirme « que les hommes sont des cochons », quid de la suite qui prétend « que les femmes aiment les cochons  » ? lien

De la comptine au conte il n’y a qu’un pas, et grâce à Patrick Burensteinas, un écrivain, de formation scientifique, auteur de nombreux ouvrages, qui dans sa production s’est orienté progressivement de la physique à la métaphysique, et de la chimie à l’alchimie, (lien) regardons de plus près le conte de Blanche Neige

Entre le miroir de la reine qui réfléchit...dans les deux sens du mot, puisque le miroir réfléchit, mais il parle aussi, et grâce aux frères Grimm, on découvre petit à petit que ce conte soi-disant pour enfant, est en fait un conte alchimique…

Rappelez-vous : lorsque Blanche Neige s’enfuit dans la forêt, menacée de mort par la Reine, elle passe par le minéral, le végétal et l’animal...en même temps la sorcière, mandatée par la reine, a besoin des preuves de la mort de Blanche Neige, et demande à un chasseur vert, le vert étant la couleur des choses cachées, (et celle de Lucifer), de lui ramener le foie et les poumons de celle-ci.

Or la Reine-sorcière est en train de faire « l’œuvre », pour laquelle il lui faut décomposer la matière première, soit le sel, le souffre et le mercure…

Pourquoi les poumons ? Le poumon c’est aussi le souffle donc, le souffre aussi…

Le foie ?... c’est le siège de la foi ... le mercure celui de l’esprit... sans la foi, l’âme erre, (amer) et finit par mourir (l’amer-tumeur)… dixit Burensteinas.

Quand au sel, il scelle...et ré-associe le souffre et le mercure, permettant la réalisation de la pierre philosophale...…

Séduit par Blanche Neige, le chasseur tuera finalement un jeune sanglier, sur lequel il prélèvera le foie et les poumons, permettant de lier le sang...le sang-lié...Blanche Neige, après avoir franchi les 7 montagnes d’airain, l’airain étant le bronze, le bronze qui résonne/raisonne aussi, nous met au diapason, en accord afin de trouver l’uni-son..., elle y rencontrera 7 nains, en réalité 7 gnomes... (gnose=connaissance)… 7 gnomes... les 7 états, les 7 étapes, les 7 métaux... le travail des 7 nains étant de creuser la terre, afin de trouver les matières précieuses nécessaires à la réalisation de l’œuvre... et quand Blanche Neige pénètre dans la maison des nains, elle mange dans chaque assiette, elle boit dans chaque verre, franchissant ainsi, l’une après l’autre, les 7 marches afin de se purifier... puis elle se repose, ayant bizarrement trouvé un lit à sa taille... or, le repos est aussi l’étape finale, car il faut laisser reposer la préparation...et tout le conte est à l’unisson : le 7 est le chiffre qui revient inlassablement en alchimie : calcination, dissolution, séparation, conjonction, fermentation, distillation, et coagulation, (lien) mais il y a aussi les 7 métaux : l’or, l’argent, le mercure, le plomb, l’étain, le fer, et le cuivre...lien

On le voit, il s’agit bien d’un conte alchimique... et c’est donc le moment de le relire plus attentivement pour découvrir tous les sens cachés de ce conte soi-disant pour enfants. lien

Quant à la pomme empoisonnée, la pomme étant comme on le sait le fruit de la connaissance... bien connu d’Adam et d’Eve...

et il n’y a pas que Blanche Neige, il y a aussi Cendrillon, dont Burensteinas nous décrit dans cette vidéo, le sens caché...

comme dit mon vieil ami africain : «  l’oiseau qui chante ne sait pas faire son nid ».

la photo illustrant l’article vient de Luberon apt.fr

Merci aux internautes pour leur aide précieuse

Olivier Cabanel

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36 réactions à cet article    


  • Sirius Brutus 29 avril 11:57

    sans parler des sucettes à l’anis d’Annie ni de l’aigle noir de Barbara

    mais ces chansons-là, même si leur sens échappe encore à ceux qui ne veulent pas voir, on ne les fait pas chanter par les enfants comme celles que vous évoquez.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 29 avril 12:27

      @Brutus
       
       pour les amateurs de contrepèteries :
       
      « Il court il court le furet, le furet du bois mesdames »


    • olivier cabanel olivier cabanel 29 avril 12:49

      @Brutus
      oui, les sucettes de ce cher Serge, tout comme l’aigle de Barbara... merci de cette proposition !


    • Seth 29 avril 15:23

      @olivier cabanel

      Les deux ne sont pas comparables dans leur sens.


    • Sirius Brutus 29 avril 19:11

      @Seth

      les deux sont des métaphores à caractère sexuel, voire incestueux


    • Fergus Fergus 29 avril 19:33

      @Brutus

      « même si leur sens échappe encore... »

      Le plus drôle à propos des « Sucettes à l’anis », c’est que France Gall elle-même n’en a pas compris le sens durant des mois. Jusqu’à une émission de Jean-Christophe Averty en 1967 où elle a connu la honte de sa vie. J’ai raconté cela dans un article de 2016 : 
      1966 : un goût de sucettes


    • mursili mursili 29 avril 12:08

      Sans oublier Les Mains de Jeanne-Marie de Rimbaud avec ces vers magnifiques :

      Elles ont pâli, merveilleuses,
      Au grand soleil d’amour chargé,
      Sur le bronze des mitrailleuses
      À travers Paris insurgé !

      https://www.poetica.fr/poeme-534/arthur-rimbaud-les-mains-de-jeanne-marie/


      • olivier cabanel olivier cabanel 29 avril 12:50

        @mursili
        oui !!!


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 29 avril 12:34

        Le déserteur :

        Version originale : « Prévenez vos gendarmes, que je serai en armes, et que je saiq tirer »

        Version politiquement correcte : « Prévenez vos gendarmes, que je serai sans armes, et qu’ils pourront tirer »


        • olivier cabanel olivier cabanel 29 avril 12:49

          @Francis, agnotologue
          oui, la censure avait déjà frappé !
          merci de l’avoir rappelé.


        • Aristide Aristide 29 avril 13:49

          @olivier cabanel

          Sauf que ce n’est pas la censure qui est en cause pour cette modification des paroles, mais un accord entre l’auteur Boris VIAN et Mouloudji qui considérait que le déserteur est un pacifiste et tenir une arme et tuer même pour se défendre est contradictoire ...


        • olivier cabanel olivier cabanel 29 avril 14:04

          @Aristide
          oui, j’avais lu ça quelque part... mais finalement, la chanson a été interdite quand même, et pour un bout de temps...


        • Seth 29 avril 14:14

          Dans les rigolotes pour marmots, il y a aussi la Mère Michel.

          J’ai du bon tabac, chanson populaire que ma nounou me chantait tout minot, n’a pas été au départ une chanson pour enfant mais c’est un texte de l’abbé de Lattaignant, abbé de cour célèbre pour ses poésies à double sens (cf. Le mot et la chose).

          Mais faut quand même pas exagérer et voir le mal partout. A ce compte là tout est à double sens. Les Anglais qui en sont des maîtres appellent cela « double entendre », un exemple de « francisisme ». smiley


          • olivier cabanel olivier cabanel 29 avril 17:00

            @Seth
            double entendre !
            belle formule...merci


          • cevennevive cevennevive 29 avril 14:26

            Bonjour olivier,

            Un jour, étant enfant, je me suis fait punir car je fredonnais « viens poupoule, viens poupoule, viens » en toute innocence...

            Toutes les comptines ont des sens cachés, mais pour les adultes seulement.

            Une fois à la fac, j’ai dû me farcir : « psychologie des contes pour enfants », de Bruno Bettelheim. Plus indigeste que « Jeanneton » ;

            Puis, une fois adulte, en bonne huguenote, j’ai bien aimé « le père Dupanloup » que l’on chantait en coeur à la fac. lors de soirées en aparté. (Mais ce n’est pas une comptine...)


            • Seth 29 avril 14:39

              @cevennevive

              Je connaissais aussi la première strophe de la petite Huguette sans les machins salaces, on faisait tralalala à leur place.

              Je n’ai appris la suite que plus tard. smiley


            • Seth 29 avril 14:46

              @Seth

              On était moins bégueule avec les marmots que maintenant. Ma nounou m’avait appris un truc en occitan : elle disait une phrase et je répondais « moi aussi » (io tàbè) et ça donnait :

              Je vais au bois moi aussi
              Je coupe un chêne moi aussi
              J’en fais un baquet moi aussi
              Je chie dedans moi aussi
              Les corbeaux la mange moi aussi :))

              A tous les coups ça marchait !
              Mais je suis un peu HS, il n’y avait pas de musique là dessus, dommage. smiley


            • Seth 29 avril 15:25

              @Seth

              C’est vrai que quand on vieillit, qu’est ce qu’on radote sur ses souvenirs !!!! smiley


            • cevennevive cevennevive 29 avril 15:45

              Non Seth, on ne radote pas.
              Ce sont juste les impressions que nous avons gardées parce qu’incomprises dans notre enfance, et qui ressortent, mûries dans nos pensées d’adulte.

              Il faudra demander à Olivier de nous parler de Jean de la Fontaine, car ses fables ne sont qu’un côté « gentillet » de ses écrits. Il faut lire « les contes licencieux » et regarder certaines des gravures parues en ce temps là.
              Puis la phrase significative de Wikipédia :
               « Il prend ainsi soin d’emprunter des détours, de suggérer, de voiler ses propos pour les rendre plus amusants. »


            • Seth 29 avril 15:53

              @cevennevive

              Je ne connais pas ses contes licencieux. Quand j’étais en 3ème un prof nous avait fait bosser sur Daphné, ce qui nous présentait un autre aspect de lui que celui des fables.

              Sinon merci pour ton explication, ça rassure. smiley


            • olivier cabanel olivier cabanel 29 avril 17:02

              @cevennevive
              bonjour !
              toutes ? pas sur, mais il y en a énormément...en faisant des recherches, j’en suis encore ébahi !


            • rhea 1481971 29 avril 16:04

              Pas 1866 mais 1876, la commune ayant eu lieu en 1870 / 71.

              Une chanson d’Alain Souchon « le fil » chanson qui évoque le fait que

              l’on est tous lié sur terre. ( la chanson n’a pratiquement jamais été

              diffusé, elle est sur un de ses CD en position 17 )


              • olivier cabanel olivier cabanel 29 avril 17:06

                @rhea 1481971
                pourtant France Musique, généralement bien informée, assure qu’il s’agit bien de 1866...une erreur ?
                en effet, il parait plus logique de dater la chanson plus tard...


              • Fergus Fergus 29 avril 19:22

                Bonsoir, Olivier

                Excellent texte qui a sans doute ouvert les yeux à quelques lectrices et lecteurs. J’y ai moi-même appris 2 ou 3 choses que j’ignorais. Merci à toi ! 


                • olivier cabanel olivier cabanel 29 avril 19:41

                  @Fergus
                  bonsoir Fergus, et merci !


                • alinea alinea 30 avril 11:19

                  @olivier cabanel
                  Ça m’a fait penser à cette chanson proposée par Fergus dans un de ses articles, je ne sais pas s’il y a une insinuation alchimiste, ésotérique ou franc maçonne, mais elle est très belle, et nous rajeunit avec Miley Cyrus !
                  (3) MELANIE & MILEY CYRUS Look What They’ve Done To My Song, Ma (2015) - YouTube

                  Sinon il y a les comptines aussi : la souris verte, la mère Michel qui a perdu son chat, le petit bois derrière chez moi, au clair de la Lune... mais si j’en ai lu la « traduction », je n’en garde aucun souvenir !
                  En tout cas cet article est un régal, merci olivier.


                • olivier cabanel olivier cabanel 30 avril 12:54

                  @alinea
                  merci de l’avoir apprécié, 
                  je dois avouer que c’est en rédigeant l’article que j’ai découvert pas mal de choses...
                  finalement, nous devrions tenter de décrypter toutes ces comptines soi-disant enfantines, et leur sens caché..
                  non ?
                  amicalement


                • chantecler chantecler 30 avril 07:43

                  Salut !

                  Petite rectification : j’avais lu il n’y a pas longtemps que « le nous n’irons plus aux bois » date de Saint louis (Louis IX), et non louis XIV qui était un sauteur comme un autre roi , ...sauf à la fin de sa vie ...

                  Ce brave Saint Louis ayant été affublé d’une maman impossible, terriblement pieuse et aussi frigide que possible , voyant dans la sexualité la marque du diable , et en en imprégnant son fils ...

                  Lequel pour prendre distance n’a pas hésité à se projeter dans une croisade qui lui a été fatale d’ailleurs .

                  Donc « les lauriers sont coupés » est en réaction à l’interdiction des prostituées dans les bois de Vincennes ...

                  PS : bravo l’article .


                  • olivier cabanel olivier cabanel 30 avril 12:57

                    @chantecler
                    je ne sais pas...louis IX...louis XIV... ? 
                    sur le fond ça ne change pas grand chose, mais merci de l’avoir relevé
                    et apprécié...


                  • chantecler chantecler 30 avril 15:47

                    @olivier cabanel
                    Franchement tu vois une Blanche de Castille mettre au monde un Louis XIV ?
                    Déjà la Régence , la Fronde et la révocation de l’Edit de Nantes ont été suffisamment compliquées ...
                    Et encore il n’a pas touché à Jérusalem !


                  • ETTORE ETTORE 30 avril 09:04

                    Bonjour Olivier, et merci pour cette ouverture au « caché, pourtant visible de tous ».

                    J’eusse aimé, que vous abordiez, le marivaudage de notre présidenti-alité actuel, histoire de conter les PAN... PAN à double sens, véritable Dieu de la fertilité, qui semble pourtant en berne de ses prérogatives .....

                    Mais qui semble, par ce grand vent de priapisme, agiter violemment, les taillis du bois de Boulogne !


                    • olivier cabanel olivier cabanel 30 avril 13:01

                      @ETTORE
                      j’y songe depuis longtemps... quand un ex-banquier, devient président de la république, après avoir épousé sa maitresse, ce qui ne manque pas d’humour, il est vrai que ça mérite réflexion, d’autant que certains sont persuadés que la maitresse en question s’appellerait JM... smiley
                      mais bof, ce n’est pas le cœur du problème...ces services publics étouffés, ces électeurs aveuglés, cette république aux abois...ça , c’est le vrai problème.


                    • @olivier cabanel

                      en question s’appellerait JM.

                      Ben oui , mais pour quoi Véronique Dreux, Mère de Jean*Jacques Trogneux, se cache & ne veut pas témoigné .... ??

                      https://twitter.com/PChaibriant/status/1774327963028259150

                      À gauche Emmanuel Macron.
                      À droite Jean-Jacques Trogneux fils de Jean-Michel Trogneux le frère de Brigitte Macron que personne n’a jamais vu.
                      Et c’est complotiste de se poser des questions..
                      .....lol


                    • A tous prenez 5 mn de votre temps pour lire ce twitte de l’Avocat Di VIZIO ....
                      Plus que la féodalité ,
                      Plus que la dictature ,
                      Plus que la haine ,....Des Irma Grese il y en a beaucoup en France actuellement !

                      https://twitter.com/DIVIZIO1/status/1785316854489096206


                      • ETTORE ETTORE 1er mai 22:14

                        @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
                        .....
                        En ce pays, nous somme dorénavant comme en.....
                        A quoi bon les maux....
                        Tenez, pour mieux faire comprendre la portée de cet état facho au quotidien...
                        C’est l’histoire d’un russe, d’un certain âge, qui a quitté sa mère patrie, et qui vit maintenant dans un tout autre pays, pour y vivre sa retraite.....
                        Il dit un jour......,
                        «  »«  »«  »« Vous savez, je me réveille encore en sueur, et sursautant de peur, le matin, même si je sais que, ce n’est que le livreur de lait, qui frappe à ma porte, de si bonne heure »«  »"
                        Avant, avant, c’était la Stasi.....
                        Nous maintenant, nous avons l’Ex-tasi . Et on voit bien, comment cela agit, sur le cerveau des commanditaires.


                      • @ETTORE

                        (
                        Aussi violente qu’un homme

                        Parce que le nazisme n’est pas qu’une histoire d’hommes, et parce que le mal n’est pas inné, le parcours d’Irma Grese, gardienne dans plusieurs camps d’extermination, interroge sur l’origine de la violence et l’efficacité d’un endoctrinement mortifère : comment cette si jeune femme (elle commence à travailler dans les camps à 19 ans) qui se rêvait infirmière s’est-elle transformée si vite, si bien, en bourreau ? A-t-on sous-estimé la place et donc la responsabilité des femmes dans le Troisième Reich ?

                        Joseph Goebbels, le ministre de la Propagande d’Adolf Hitler, le disait lui même : « Les hommes organisent l’existence, les femmes les soutiennent et appliquent leurs décisions. » Sous le régime nazi, les Allemandes deviennent cadres au sein de la Gestapo, secrétaires, enseignantes, infirmières, ou gardiennes de camps de concentration. Et dans ce système sexiste, misogyne, elles ont bien l’intention de montrer qu’elles peuvent être aussi violentes et perverses que leurs collègues masculins.

                        )

                        Actuellement en France des Irma Grese il y en a par milliers .

                        La fonction qui représente, selon mon expérience , parfaitement ce type de comportement est le ou la cadre administratif hospitalier .

                        La loi rien que la loi c’est à croire que ces gens sont venu au monde par le trou du c... de l’administration hospitalière .

                        Me concernant l’année 2006 fut une année compliquée .

                        Mais je pense qu’après avoir vécu la période Macron-Covid19 les cadres administratifs hospitaliers se sont taillés la part du lion pour faire la chasse aux NON-VAX ..Mais pas que ?


                        Macron et sa bande ont tout organisé pour diviser les français et se servir des uns et autres pour mener la répression , encore aujourd’hui .

                        N’oubliez pas sa phrase /menace  : On va les emmerder ! ...

                        L’ensemble( la majorité) des élus des deux chambres( Sénat— A.N) l’ont soutenu dans sa quête de vengeance ..


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