« En Chine, les fils héritent des biens de la famille et, surtout, ils s’occupent de leurs parents lorsque le grand âge approche, une charge fondamentale dans un pays qui ne dispose d’aucun système organisé de retraite. En Inde, c’est la tradition de la dot qui porte malheur aux filles : lors de leur mariage, elles doivent apporter à leur belle-famille une somme importante qui oblige souvent les foyers modestes à s’endetter. Dans les régions hindouistes, seul un garçon peut embraser le bûcher funéraire de ses parents, ce qui leur permet d’échapper à l’errance éternelle. » En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2007/03/08/demographie-les-filles-sacrifiees-d-asie_880680_3216.html#oDy4C0puUjD0OLbb.99