@Polentzi Lohizuni
Rien n’est immuable, et moi je veux croire à la force de la vie.
Ceci dit je suis persuadée que les modes de luttes devront changer, on fait sur des vieux modèles où les dirigeants avaient encore un minimum de morale !
Là où je rejoins votre pessimisme, c’est l’état de santé,psychique et physique des populations, en général. Et aussi, sinon surtout, ce que l’on fait de la jeunesse ; quand on sait que les premières années sont déterminantes, oui, on peut craindre le pire : entre les « battants » bien formatés, et les autres, abandonnés, reste une frange... sera-t-elle suffisante pour inverser la « tendance » ? Ceci dit, cette jeunesse est en train de se bouger, mais on peut craindre que ce soit aussi vain que les autres manifestations !
Ou tout s’embrase ou tout tombe en cendres...