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Commentaire de Francis, agnotologue

sur Question posée à une Intelligence Artificielle parfois complotiste...


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Francis, agnotologue Francis, agnotologue 27 février 10:44

@Jean Keim
 
 ’’Si vous voulez’’
>
Permettez moi d’insister : la nuance est considérable.
 
Ce qui est pensé par l’un est souvent impensé par l’autre et réciproquement. Par exemple, pour Yuval Harari la différence entre une IA et un être humain est un impensé. Il ignore sciemment ou non, le concept de sentence, ce qu’une machine ne possèdera jamais, du moins à l’égal d’un être fait de chair et d’os.
 
 :« La connaissance en elle-même n’est ni bonne ni mauvaise, mais le mal prospère lorsque les gens commencent à vénérer la connaissance au détriment de tout le reste. L’application de la connaissance sans sagesse ni discipline morale est dangereuse. » https://lesakerfrancophone.fr/pour-comprendre-les-globalistes-il-faut-comprendre-leur-religion-psychopathique
 
 C’est le vieux « Science sans conscience ...  »
 
 :« La sentience (du latin sentio, sentis « percevoir par les sens ») désigne la capacité d’éprouver des choses subjectivement, d’avoir des expériences vécues. Les philosophes du XVIIIe siècle utilisaient ce concept pour distinguer la capacité de penser (la raison) de la capacité de ressentir (sentience). En philosophie occidentale contemporaine, la sentience désigne la conscience phénoménale : la capacité de vivre des expériences subjectives, des sensations, que l’on appelle aussi qualia en philosophie de l’esprit. Dans les philosophies orientales (comme la philosophie bouddhiste), la sentience est une qualité métaphysique qui implique respect et sollicitude. Le concept de sentience est central en éthique animale car un être sentient ressent la douleur, le plaisir, et diverses émotions ; ce qui lui arrive lui importe. Ce fait lui confère une perspective sur sa propre vie, des intérêts (à éviter la souffrance, à vivre une vie satisfaisante, etc.), voire des droits (à la vie, au respect…). Ces intérêts et ces droits impliquent l’existence des devoirs moraux de notre part envers les autres êtres sentients. » plus là

 


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