@GrandGuignol
Il n’y a pas de « variants ». Il y a des conditions atmosphériques qui font que les matières particulaires polluantes sont plus ou moins nombreuses dans notre environnement. En situation d’inversion thermique nous « décrochons le pompon » et c’est l’épidémie de maladies respiratoires qui se déclenche.
https://www.meteoconsult.fr/actualites-meteo/2022-11-11/65095-froid-en-plaine-et-doux-en-montagne-l-inversion-thermique?fbclid=IwAR2FxMGPqVLluJftD2OYPECreeW1otu0gQniFFMqMITjKEvhsv3RS9XSeyQ
Inversion thermique et pollution atmosphérique : une liaison dangereuse !
Lors d’une inversion thermique, l’atmosphère est stable et l’air circule très peu, la couche d’inversion joue le rôle d’un couvercle, comme sur le schéma ci-dessous. Les polluants, émis tout au long de l’inversion, se retrouvent bloqués sous cette couche et s’accumulent. La qualité de l’air se dégrade alors rapidement et l’apparition de pics de pollution devient inévitable.
https://www.fne-aura.org/actualites/isere/inversion-thermique-et-pollution-atmospherique-une-liaison-dangereuse/?fbclid=IwAR3qIcBvBnK_omA30JlCpNW0V3WoGZFmkerhLwrrjsaTAnhJe1rMyEgyojc
Les pics épidémiques de maladies respiratoires hivernales montrent une corrélation parfaite avec les phénomènes d’inversion thermique et de pollution exacerbée.