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Commentaire de Robin Guilloux

sur Vladimir Jankélévitch : Le mystère de la mort


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Robin Guilloux Robin Guilloux 9 novembre 2022 14:03

@PascalDemoriane

Je retiens votre idée que le mot « mort » est un signifiant sans signifié et aussi l’idée de « clé » : « Le mourant est dans la situation d’un homme qui sort de chez soi sans la clef et ne peut plus rentrer parce que la porte fermée ne s’ouvre que du dedans. » (Jankélévitch)

Tout ce que vous dites est très intéressant, même si j’ai envie de défendre mon « vieux maître » qui n’est plus là pour se défendre. Son père avait traduit Freud. Je pense qu’il serait d’accord avec votre désaccord !  smiley.

J’appréciais personnellement quand les élèves n’étaient pas d’accord quand ils recherchaient un accord « plus haut ». quand ils tentaient de « penser par eux -mêmes ». (ça arrivait rarement, mais enfin ça arrivait).

C’est évidement dans le dialogue et non dans le monologue (soit-il musical à la manière des cours de Jankélévich) que la pensée se construit.

Comme dit Merleau-Ponty (Eloge de la Philosophie), la « vérité » est dans le dialogue. Elle n’est ni à toi, ni à moi« , elle est »entre deux",


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