« …ce président, qui ne
semble jamais se soucier des intérêts de son propre pays »
Quand arrêtera-t-on de faire
semblant des croire que dans un même pays, tout le monde aes mêmes intérêts ?
Macron défend les intérêts d’une
partie de la population : les « possédants » ceux qui sont « quelque
chose » et « qui ne sont pas illettrés ».
Le choix de se soumettre
totalement à la domination financière (les capitaux), économique (industries et
commerces), politique (traités et organisations) et culturelle (« way of
life ») américaine n’est pas le choix d’un seul homme qui aurait trahi les
siens, pas même une mainmise autoritaire des Etats-Unis sur une colonie, mais
le choix d’une classe sociale dominante de n’être plus que l’un des éléments d’un
réseau international en considérant que la profitabilité est plus forte pour
eux qu’une gestion sinon autonome, du moins « souveraine ». Ce choix
n’est pas seulement celui de la bourgeoisie française, mais des bourgeoisies
les plus puissants d’Europe qui ont dréé ‘UE et mis en place l’Euro pour gérer
leurs business à coups de délocalisations et de paradis fiscaux intégrés (Irlande
et Luxembourg).
Ce président ne défend pas
plus les intérêts de « son pays » que ses prédécesseurs mais, comme
eux, ceux d’une partie de la population, toujours la même. La différence, c’est
qu’en effet, la notion même d’’état-nation » risque de disparaitre et ,
avec elle toutes le particularités héritées de l’histoire concernant ce qu’on
appelle aujourd’hui la « solidarité ».
Et ne me parlez pas de De
Gaulle ! Il a été coopté pour faire face à un coup d’état en s’appuyant sur
une partie de l’armée contre une autre partie, mais le bras doit et successeur,
c’était Pompidou, fondé de pouvoir de la banque Rothschild.
Ce qui est vrai, c’est que le
jeune manager actuel se distingue de son prédécesseur par une morgue et une
arrogance qui rappelle celles des muscadins qui avaient fait la chsse aux
sans-culotte comme il a fait celle aux gilets jaunes. !
« Si
c’était à refaire, je le referais », a-t-il proféré à propos du
dossier Uber.