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Commentaire de Adèle Coupechoux

sur L'impasse des tests


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Adèle Coupechoux 16 janvier 2022 19:14

@eau-du-robinet

Parmi ceux qui ont été vaccinés autour de moi, ils y sont allés spontanément sur le site de leur hôpital et m’ont expliqué comment cela s’était passé. 
Le choix limité des vaccins, l’information au dernier moment des délais entre les deux doses selon les vaccins, les questions très rapides sur des antécédents possibles telles des allergies et, à la sortie, 15 mn d’attente au cas où un choc anaphylactique surviendrait.
Certains parmi ceux qui ont eu des effets secondaires, ne les ont pas remontés et ne les remonteront pas. Trop difficile à déclarer ou dissuadés de le faire, de par l’autoritarisme et le mépris de « celui qui sait ». Aucune preuve que cela vienne du vaccin. Myocardites, thromboses, phlébites, sont devenues depuis la vaccination Covid, des pathologies dont on se remet facilement. Un biologiste m’a même sorti qu’un simple rhume provoque régulièrement des myocardites, donc circulez, y a rien à voir.
Idem pour ceux qui ont eu trois doses, qui sont malades comme des chiens et/ou qui sont quand même positifs et ceci à plusieurs reprises.
Tout est normal...Hors du vaccin, pas de solution.

Les autres personnes, retraitées l’ont fait suite à la pression de leurs enfants. Et n’ont pas percuté quant à l’absence de leur accord de consentement libre et éclairé.

Beaucoup de personnes dans la population ne connaissent pas le déroulement des essais cliniques et d’autres ne l’ont pas vécu comme un essai clinique, mais comme une « aventure collective », « parce ce que les non-vaccinés n’ont pas la liberté de contaminer, il faut se faire vacciner » pour les citer ou « pour enfin retrouver une vie normale » surtout quand l’obligation de la vaccination pour voyager leur est tombée dessus brutalement pendant les vacances. Ils se sont assis sur leur consentement et les effets secondaires.
Pas de recul et surtout une totale absence d’analyse. En plus de la désinformation officielle et permanente.

Maxime Beltran, 22 ans, ne s’est pas posé de questions. A cet âge, on est confiant. On n’imagine pas que les adultes qui décident de nos vies sont à ce point dangereux. On veut profiter de la vie surtout quand on en a été amputé pendant des mois. On ne se sent pas trop proche de la mort, et pour partir en vacances, on minimise ses allergies. A 22 ans, on apprend. Mais pas encore à se méfier malheureusement. Parce que pour vivre, il faut un minimum de confiance.
Et quand une injonction aussi brutale vous tombe dessus, l’analyse de la situation est difficile voire impossible.


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