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Commentaire de Renaud Bouchard

sur Les gentils monstres n'existent pas. Une prophétie autoréalisatrice : effondrement systémique et simulation de pandémie


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Renaud Bouchard Renaud Bouchard 28 septembre 2021 15:00

Suite de ma réponse à M. RURUTU

Ma propre interprétation est aujourd’hui la suivante : il est probable sinon possible que l’on ait été pris de court au point de patauger, à ceci près que la réaction de l’industrie pharmaceutique mondiale a été immédiate et remarquable puisque en un temps record elle a montré sa capacité à lancer des processus de recherche scientifique et industrielles d’une ampleur inimaginable. 180 candidats-vaccins contre le Covid-19 étaient en cours de développement et plus de 40 en phase clinique chez l’homme en novembre 2020.

L’ennui est que cette précipitation s’est inscrite dans un tout autre schéma autre que la santé publique pure, schéma d’ordre financier et politique, ce que confirme avec prudence l’article qui suit : https://www.notre-planete.info/actualites/4849-vaccins-COVID-19-risques-morts

"Depuis que la pandémie de COVID-19 a entraîné une psychose dans les pays développés, des « vaccins » ont été mis au point en un temps record avec un seul mot d’ordre : la vaccination pour toutes et tous, dès 12 ans, coûte que coûte. Toutefois, les « vaccins » révolutionnaires qui nous sont proposés puis imposés ne sont pas sans risques. Les données de pharmacovigilance qui remontent très timidement sont déjà catastrophiques et laissent craindre le pire poussant de plus en plus de scientifiques et médecins à demander l’arrêt immédiat de la vaccination, principalement chez les personnes jeunes et en bonne santé.Avertissement : nos recherches montrent que la désinformation est très importante, autant du côté des « pro-vaccins » que des « anti-vaccins » COVID. Nous espérons simplement que cet article pousse à la réflexion et à la prudence.

Suite à la pandémie de COVID-19, les pays développés ont adopté une curieuse stratégie sanitaire : plutôt que de soigner rapidement les malades avec des traitements qui font leurs preuves (Ivermectine, Azythromicine...) - comme en témoignent le Brésil, l’Inde, le Japon et de nombreux pays africains - et qui sont utilisés depuis des décennies sans contre-indication, ils ont accepté, dans l’urgence des soit-disant « vaccins ».Et pourtant, en plus de 40 ans de recherches, aucun vaccin n’avait jamais été mis au point contre les coronavirus... Jusqu’à ce jour ?L’ivermectine est maintenant utilisé comme traitement anti-COVID par 28 % de la population mondiale.En temps normal, il faut environ 8 à 12 ans pour qu’un vaccin soit autorisé mais l’urgence de la pandémie et le nombre soi-disant « catastrophique » de morts a incité les gouvernements à accepter des autorisations temporaires de mise sur le marché, sans aucun recul sur les conséquences sanitaires d’une telle décision. "Cette précipitation a généré une série de problèmes potentiels, comme l’impossibilité de connaître les événements indésirables à moyen et long terme, qui se confirment en pratique jour après jour, sans parler du silence gênant et même l’interdiction, dû à la censure des grands médias et réseaux sociaux et même de l’OMS elle-même, concernant les propositions de traitements pour cette nouvelle maladie en utilisant des médicaments sûrs et établis pour maladies virales et thromboemboliques similaires." (déclaration de 300 médecins brésiliens du 20 juillet 2021)La pandémie de COVID-19 aurait tué environ 3,6 millions de personnes en un an (01/09/2020 au 01/09/2021), à comparer aux quelque 40 millions de morts évitables par an mais qui n’intéressent guère et aux 83 millions de personnes en plus sur Terre chaque année...


En France, cette stratégie est avant tout politique et financière (la vente des « vaccins » rapporte beaucoup d’argent notamment à Pfizer dont les revenus ont bondi de 92 %) puisque le débat scientifique et médical est muselé et les traitements précoces ont rapidement été interdits.Les messages abrutissants et terrorisants puis les mesures liberticides fonctionnent bien : 44 % de la population mondiale est maintenant vaccinée et 6,1 milliards de doses de « vaccins » ont été injectées (Our world in Data, 09/2021) dans ce qui est dorénavant la plus grande expérience médicale de l’histoire de l’humanité.Les conséquences, minimisées, étouffées, ridiculisées et balayées par les politiques et la plupart des journalistes, sont pourtant du jamais vu dans l’histoire des médicaments.« Quant à l’idée d’un sombre dessein, dit de dépopulation majeure, je pense personnellement que l’idée est loin d’être farfelue.

Voyez ci-après, à propos de Klaus Schwab et Thierry Malleret, l’analyse d’Eric Verhaeghe ( que je partage pleinement) :

https://youtu.be/xIPo5VJfRdg?t=75

Le Great Reset est l’idée à la mode des élites mondialisées qui gravitent autour du Forum de Davos. Mais que signifie-t-il au juste ? Le Great Reset, c’est l’appel officiel à utiliser la pandémie pour changer les comportements, une occasion historique d’accélérer la digitalisation. C’est aussi un éloge de l’intervention de l’État pour imposer la transition écologique. C’est encore une justification à la surveillance de tous les individus. L’ouvrage d’Eric Verhaeghe »Le Great Reset : mythes et réalités« propose une lecture littérale du livre de Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos, co-écrit avec Thierry Malleret (ancien conseiller de Michel Rocard), »COVID-19 : La grande réinitialisation" publié en juillet 2020 et en donne une interprétation conforme à sa lettre.La conclusion de M. Verhaeghe est optimiste, même si l’idée de tirer avantage de l’aubaine de l’urgence sanitaire donne licence à des dérapages réels contre lesquels il faut se battre.

Mais écoutez plutôt ce que dit M. Verhaeghe dans son entretien, a propos du capitalisme de surveillance et de la syndication mondiale d’un club qui dégage une vision commune d’intérêts mondiaux.

Mais le géant a des pieds d’argile.

Il faut donc rester résolument optimiste et confiant car il existe de nombreux leviers et déterminants qui sont encore à venir.


Cordialement,

Renaud Bouchard


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