@Renaud Bouchard
L’HERA permettrait à l’U€ de se parer d’un messianisme philanthropique en carton-pâte faute d’avoir une âme qu’elle n’aura jamais par le truchement de la santé qui est une question transversale, qui comme la religion n’a pas de frontières. Idem pour le (soi-disant) réchauffement climatique. L’U€ saura trouver des apôtres idiots utiles pour promouvoir pareil instrument politique, du genre Greta Thunberg...
Si cela pourrait contribuer à déniaiser au moins un peu ceux qui
croient encore aux miracles des vaccins et en cette pseudo-science.
parce que c’est business as usual ! « NOUS CRÉONS DES MARCHÉS. » ! du capitalisme, nothing else !
itw à ne pas manquer !
« Il ne s’agit pas de guérison. » Le point de vue d’une ancienne représentante pharmaceutique
Elisabeth Linder a travaillé pendant 28 ans pour l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques.
Dans le cadre de son travail de représentante pharmaceutique, elle a
commencé à se demander s’il s’agissait vraiment de guérir les gens.
Aujourd’hui, elle parle de ses expériences …
Intro : Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club
philanthropique ». Et là j’ai vu clairement qu’il ne s’agit pas du tout
du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque
chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd’hui. Je crois
toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque
chose, c’est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l’autre. C’est
pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou
produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je
suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch
(RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C’est
juste cruel, ce qui s’est passé là…
Elisabeth Linder : Je m’appelle Elisabeth Linder. J’ai travaillé en
pharmacie pendant de nombreuses années, dans le domaine des vaccins. J’y
suis venue parce que j’étais mère célibataire et que je devais
simplement gagner de l’argent, et c’est grâce à une de mes amies qui
travaillait en pharmacie, que je suis arrivée là. En 1980 j’ai suivi une
formation de représentant pharmaceutique, puis j’ai commencé à
travailler pour une grande entreprise, la première société de vaccins
sur le marché mondial. Au début déjà je n’étais pas d’accord avec ce qui
se passait. Mais comme je devais nourrir mon enfant et que nous
devions aussi nous loger, je me suis dit, – Ok, c’est l’opportunité où
je peux le mieux gérer mon temps, où je peux gagner assez d’argent pour
subvenir à nos besoins à tous les deux.
Et oui, au début, il n’y avait que quelques vaccins, je pouvais vivre
avec ça. L’hépatite B et le tétanos, la diphtérie, la polio et ainsi de
suite, et puis au fil des années, il y en a eu de plus en plus. J’ai
toujours cru ce qu’on nous disait, que les vaccins sont si important et
que nous en avons besoin, et c’est ainsi que les maladies infectieuses
déclineront. Je croyais tout ça à l’époque, j’étais complètement
nouvelle. Et au fil des années et des cours de formation, et de ce que
nous avons entendu, j’ai eu peu à peu le sentiment que ce que je faisais
n’était peut-être pas aussi bien après tout. Que ce n’est pas quelque
chose qui aide vraiment l’humanité. La première fois que la polio a été
injectée, ce sentiment s’est cristallisé de plus en plus lorsque le
vaccin a été disponible. Ce n’était pas parce que tant de personnes
mouraient lorsqu’il était administré par voie orale, mais parce qu’il
était plus cher, dans les 45 marks de l’époque. Puis quand le vaccin
suivant est arrivée, ça m’a fait beaucoup réfléchir. C’était à l’époque
où il y avait le vaccin contre la varicelle. Et lors d’un événement, il a
été dit littéralement : « Nous créons des marchés. » Il ne s’agit pas
des enfants, c’est ce qui m’a immédiatement traversé l’esprit. Il ne
s’agit pas de protéger les enfants. Je l’ai calculé très vite. Il
s’agissait du fait que c’était un problème économique et cela m’a
choquée. Déjà à l’époque toute la Commission permanente des vaccinations
(en abrégé STIKO) était là, avec leur slogan « Nous créons des marchés.
»- : Nous créons des marchés signifie qu’il n’y a en fait aucun
marché pour cela. Aussi brutal que cela puisse paraître. J’ai eu une
boule dans l’estomac parce que j’ai pensé : « Qu’est-ce que vous voulez
dire, par – Nous créons des marchés ? » Et puis nous avons dû aller voir
les médecins et leur vendre le vaccin…. ; et ensuite beaucoup d’enfants
sont morts à cause de cela. Aucun pédiatre n’a eu d’enfants qui sont
morts de la varicelle.
Finalement, c’est une question d’argent, oui !
voir la vidéo – lire – enregistrer – le verbatim de la traduction est sous la vidéo
https://www.kla.tv/19893
en VO https://www.kla.tv/19551