des nourrissons, qui en cas de symptômes, souffrances post-vaccinales sont bien incapables de s’exprimer.
de l’importance fondamentale de distinguer ces deux notions, et de l’âge auquel les vaccinations sont pratiquées :
4. Explication des termes : encéphalite et encéphalopathie post-vaccinale. source : « Vaccinations, le marché de l’angoisse », du Dr Gherard Buchwald, pages 177 à 179
Depuis que le professeur Lucksch, pathologiste à l’université de
Prague, a apporté la preuve dans plusieurs travaux scientifiques du lien
de cause à effet entre certaines lésions cérébrales et la vaccination
précédente, il est impossible de contester que les vaccinations causent
des séquelles. Lucksch publia entre 1924 et 1927 plusieurs travaux où il
appela l’endommagement cérébral causé par la vaccination anti-variolique « l’encéphalite post-vaccinale ». On peut apprendre dans mon article « Postvakzinale Enzephalitis und postvakzinale Enzephalopathie », Medizinische Welt, 22, p. 1697 (1971) comment Luksch a fait sa découverte.
En 1938 les professeurs autrichiens Kaiser et Zappert présentèrent
plus de 240 cas connus jusqu’alors en Autriche. Ils réutilisèrent le
terme introduit par le professeur Lucksch, nommèrent la maladie « encéphalite post-vaccinale » et firent état de leurs expériences dans un livre du même titre. A ce moment-là ils n’avaient pas encore remarqué l’importance
du fait suivant : 237 des 240 enfants mentionnés dans leur livre
avaient au moment de la vaccination plus de 3 ans. Seulement 3 enfants
avaient entre 1 et 3 ans.
La loi vaccinale en vigueur en Allemagne stipulait que la vaccination
devait avoir lieu avant la fin de la deuxième année. Contrairement à
l’Autriche, on vaccina les enfants en Allemagne durant leur première,
voire leur deuxième année. L’âge atteint par l’enfant lors de la
vaccination joue un rôle important.
Le pathologiste hollandais A. de Vries montra que le cerveau
infantile, du fait de son immaturité, n’est pas en mesure jusqu’à trois
ans de réagir par une inflammation à l’atteinte portée par la
vaccination. On observe simplement durant les trois premières années un
énorme œdème cérébral. Ce qui signifie que des composants sanguins
pas formés se répandent au-delà des vaisseaux sanguins. Ainsi le poids
du cerveau peut-il presque doubler (le cerveau d’un homme adulte pèse
normalement 1250 g). Les méninges pies-mères et arachnoïde sont toujours
riches en sang et en liquide, et les signes d’une hypertension
intracrânienne ne manquent presque jamais. Il s’agit d’un dérèglement de
type « Bluthirnschrankenstörung » (altération de la circulation sanguine dans la cavité cérébrale).
De Vries nomma ce type de réaction « encéphalopathie post-vaccinale » (atteinte cérébrale consécutive aux vaccinations).
La dénomination choisie par De Vries est très précise dans la mesure où
l’on ne peut pas observer de phénomènes inflammatoires, qui sont
généralement désignés en médecine par la syllabe finale « ite ».
Les quelques spécialistes qui s’intéressent aux accidents post-vaccinaux utilisèrent depuis lors la distinction entre « encéphalopathie post-vaccinale pauvre en symptômes » et « encéphalite post-vaccinale ».
En 1972 par exemple le professeur Ehrengut, directeur du Centre de
vaccination de Hambourg, et ses collaborateurs publièrent dans l’édition
Schattauer une plaquette intitulée : « L’encéphalopathie post-vaccinale ». La
distinction des deux maladies ne fait toujours pas partie des
connaissances médicales générales bien qu’elle soit lourde de
conséquences.
Elle explique par exemple pourquoi il y avait moins d’accidents
vaccinaux en Allemagne qu’en Autriche. L’encéphalopathie n’est guère ou
difficilement reconnaissable. On a pu reconnaître en Autriche
(vaccination tardive) les accidents post-vaccinaux tandis que l’on ne
les a pas reconnus en Allemagne (vaccination précoce) (comp. pp. 44-45).
Non seulement l’encéphalopathie est difficile à reconnaître dans la
phase aiguë, mais encore produit-elle des suites lointaines d’une plus
grande sévérité. Le fait de savoir que les suites lointaines sont
d’autant plus graves que l’enfant est jeune, fait partie des
connaissances médicales générales. Malheureusement à l’époque de la
vaccination néfaste contre la variole, on s’exprima longtemps en faveur
d’une vaccination précoce, c’est à dire durant les six premiers mois de
vie. Ceci n’entraîna pas la réduction du nombre d’accidents
post-vaccinaux, mais une plus grande difficulté à reconnaître ceux-ci,
une augmentation du nombre de décès et l’apparition de suites lointaines
particulièrement sévères.
Extraits http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/Dr-Buchwald—symptomes-et-description-d-un-accident-post-va.pdf