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Commentaire de njama

sur Eléments de réponse à l'Inserm : « Que dit la science à propos des 11 vaccins obligatoires ? »[1]


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njama njama 28 décembre 2017 13:51

Pour « En finir avec Pasteur » un siècle de mystification scientifique par le docteur Eric Ancelet (1998). Collection Résurgence - Editions Marco Pietteur

Extraits :
"Les nations modernes ont fait de la Science une religion universelle, qui permet à ses promoteurs de faire triompher certains concepts ou idées par tous les moyens de tirer profit des circonstances sociales, d’imposer pragmatiquement, et même politiquement, certaines croyances et certaines pratiques. Ainsi la Science peut s’emparer des inconscients collectifs, intimider, semer la confusion, et les scientifiques façonner le monde au détriment de ses habitants. Mais est-il sûr que les méthodes employées mènent à la vérité ?« 
[...]
« Depuis plus d’un siècle quatre dogmes faux, introduits dans la science par Pasteur, et qu’on peut qualifier de catastrophiques, ont arrêté les progrès de la bactériologie et de la lutte contre les maladies des êtres vivants, animaux et végétaux. Ces quatre dogmes sont : la panspermie atmosphérique, l’asepsie des organismes vivants, la contagion et le monomorphisme.
Panspermie : En premier lieu, tous les germes sont transmis par l’air ambiant, car ils existent uniquement dans l’environnement et ne peuvent en aucun cas naître et se développer à partir du milieu intérieur des êtres complexes.
Aseptie des organismes vivants : s’ils pénètrent et se développent à l’intérieur d’un être vivant considéré a priori comme sain, ils génèrent obligatoirement un état pathologique. Ainsi sont posés les dogmes de la panspermie atmosphérique et de l’aseptie des organismes vivants, dont découle celui de la contagion. Or ces axiomes sont faux, dans le sens où ils affirment contenir la totalité de la réalité et non seulement certains de ses aspects. Ils sont faux, tant qu’ils considèrent le germe pathogène comme une entité monomorphe et seule responsable de telle ou telle maladie. Ils sont faux, lorsqu’ils cherchent à démontrer que toutes les maladies sont dues à un micro-organisme. Ce qui était pardonnable hier ne l’est plus aujourd’hui. Les microbes de l’ulcère de l’estomac, du diabète, du cancer ou de la dépression sont des chimères obsessionnelles, dignes des médecins de Molière. Les germes existent bien dans le milieu environnant (panspermie), mais aussi dans un organisme sain sous forme de virus gènes, inclus dans les chromosomes. Les uns et les autres sont susceptibles de changer de forme et d’être activés, si la situation psycho dans le milieu environnant (panspermie), mais aussi dans un organisme sain sous forme de virus gènes, inclus dans les chromosomes. Les uns et les autres sont susceptibles de changer de forme et d’être activés, si la situation psychopsysiologique du porteur nécessite un réajustement. Autrement dit, le conflit à l’origine de la « maladie » est antérieure à toute « infection » et le système immunitaire va moduler le travail des microbes en phase de guérison, afin de restaurer ce que nous nommons terrain. »
[…]
« Pour Pasteur, chaque famille de micro-organismes est clairement individualisée, comme le sont les espèces de mammifères. Un staphylocoque ne peut pas se transformer en autre chose : virus, bactérie ou champignon, comme un éléphant ne peut devenir une girafe. Il s’agit ici du dogme du monomorphisme microbien. Voir les choses ainsi, c’est méconnaître l’extraordinaire plasticité des procaryotes. D’incessantes mutations, comme celle des virus de la grippe, de l’hépatite ou du sida, qui désespèrent les fabricants de vaccin, en font des êtres protéiformes impossibles à caractériser définitivement. »
[…]
« C’est une vision rétrécie et erronée du microcosme qui est enseignée, génération après génération, aux responsables de la santé. Il en découle un certain nombre de préjugés et de peurs qui se sont profondément incrustés dans l’inconscient collectif humain : le microbe est forcément un ennemi. »
[…]
« La guerre a démarré au 19e siècle, avec pour toile de fond la rivalité qui opposa le champion français Pasteur à son homologue allemand Koch. Elle est toujours largement pratiquée de nos jours, avec ses applications techniques auxquelles nous payons un lourd tribut sanitaire et financier. « À chaque maladie son vaccin. » »
[…]
http://www.sante-nutrition.org/en-finir-avec-pasteur/


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